Dans ma vidéo de fêtes de fin d’année, je marquais la fin d'une décennie et l'aube d'une nouvelle.
Pourtant, je me trompais complètement. Comme beaucoup, je pensais qu'une décennie allait de 0 à 9 au lieu de 1 à 10, ce qui signifie que 2021 devrait être le début des années folles à venir, si on veut croire que ce genre de phénomène se reproduise.
Si nous acceptons cette règle, nous aurions encore un an pour profiter des années 10s. Cela serait donc la bonne façon de voir les choses, mais cela n’est pas intuitif du tout.
Pour moi, 1960 sonnait le début des années 60, donc peu importe ce que pensent les gens bien pensants, me voila arrivé à la fin des années 10, dites « Trumpiennes », et je suis tout à fait prêt à entrer dans la décennie suivante, celles des nouvelles années 20, qui espérons le, seront à la mesure nos attentes …
Bonne Décennie !
mardi, décembre 31, 2019
lundi, décembre 30, 2019
Vous skiez mal? Ajoutez de la technique
Skier, c'est un processus en constante évolution.
Un jour, il y une poudreuse de rêve, un autre, une neige affreuse qui ne pardonne rien, encore un autre jour et c’est une toute nouvelle panoplie de conditions. Celles-ci ont une énorme influence sur notre façon de skier, que celles-ci soient mesurées en satisfaction personnelle, en chutes, en fatigue ou en tension nerveuse.
Une piste passée au peigne fin favorise à la fois de merveilleuses sensations et une grosse paresse technique. Quand il nous est possible de croire que nous skions « comme des dieux » sur des rubans parfaits, nous nous sentons malheureusement vite dépassés quand les conditions de neige deviennent précaires.
Pour sortir de ces situations difficiles, il est absolument impératif de retourner à une bonne technique de base. Outre la vitesse optimum pour chaque situation, quelle est alors le geste technique qui paie le plus ?
Je continue de croire qu’il s’agit de l’anticipation du haut du corps ou « poussée pelvienne », comme j'appelle cette impulsion. Un mouvement pas du tout inné qui nécessite une attention volontaire, c’est pourquoi je me permet de le rappeler à tous mes amis skieurs!
Un jour, il y une poudreuse de rêve, un autre, une neige affreuse qui ne pardonne rien, encore un autre jour et c’est une toute nouvelle panoplie de conditions. Celles-ci ont une énorme influence sur notre façon de skier, que celles-ci soient mesurées en satisfaction personnelle, en chutes, en fatigue ou en tension nerveuse.
Une piste passée au peigne fin favorise à la fois de merveilleuses sensations et une grosse paresse technique. Quand il nous est possible de croire que nous skions « comme des dieux » sur des rubans parfaits, nous nous sentons malheureusement vite dépassés quand les conditions de neige deviennent précaires.
Pour sortir de ces situations difficiles, il est absolument impératif de retourner à une bonne technique de base. Outre la vitesse optimum pour chaque situation, quelle est alors le geste technique qui paie le plus ?
Je continue de croire qu’il s’agit de l’anticipation du haut du corps ou « poussée pelvienne », comme j'appelle cette impulsion. Un mouvement pas du tout inné qui nécessite une attention volontaire, c’est pourquoi je me permet de le rappeler à tous mes amis skieurs!
dimanche, décembre 29, 2019
Je m'invite à skier avec vous...
En début de mois, ma femme et moi skions ensemble et le télésiège, un type a entamé la conversation.
Après avoir bien expliqué son expérience professionnelle impressionnante et avoir parlé de ses biens fabuleux, sans oublier de nous demander notre pedigree - ce que nous avons fait, sans toutefois lui donner tous nos numéros de comptes bancaires, l'homme a décidé, unilatéralement, de skier avec nous.
Ma femme ne skie pas souvent avec moi et chacune de nos sorties de ski ensemble est assez spéciale, et pas forcément « ouverte au grand public »… Donc après une première descente au cours de laquelle l'intrus skiait entre nous sans aucune considération, mon épouse a suggéré qu’il me suive sur une piste plus difficile pendant qu'elle nous attendrait au pied du télésiège après avoir refait la même descente.
Il a accepté et je l'ai emmené à dans un mur bien raide, où bien sûr j'ai l’ai tout de suite « largué ». En hôte bien élevé, je l'ai attendu à deux reprise pour qu'il puisse me rattraper, et le gars est malgré tout resté pour faire deux autres pistes avec nous.
Fatigué d'être harcelé et dans l’espoir de nous débarrasser du parasite, nous avons prétendu que nous allions arrêter de skier pour la journée. Ce subterfuge n'a pas vraiment fonctionné, car l'intrus a trouver le moyen de skier avec nous jusqu'au parking.
La prochaine fois, nous serons plus directs ...
Après avoir bien expliqué son expérience professionnelle impressionnante et avoir parlé de ses biens fabuleux, sans oublier de nous demander notre pedigree - ce que nous avons fait, sans toutefois lui donner tous nos numéros de comptes bancaires, l'homme a décidé, unilatéralement, de skier avec nous.
Ma femme ne skie pas souvent avec moi et chacune de nos sorties de ski ensemble est assez spéciale, et pas forcément « ouverte au grand public »… Donc après une première descente au cours de laquelle l'intrus skiait entre nous sans aucune considération, mon épouse a suggéré qu’il me suive sur une piste plus difficile pendant qu'elle nous attendrait au pied du télésiège après avoir refait la même descente.
Il a accepté et je l'ai emmené à dans un mur bien raide, où bien sûr j'ai l’ai tout de suite « largué ». En hôte bien élevé, je l'ai attendu à deux reprise pour qu'il puisse me rattraper, et le gars est malgré tout resté pour faire deux autres pistes avec nous.
Fatigué d'être harcelé et dans l’espoir de nous débarrasser du parasite, nous avons prétendu que nous allions arrêter de skier pour la journée. Ce subterfuge n'a pas vraiment fonctionné, car l'intrus a trouver le moyen de skier avec nous jusqu'au parking.
La prochaine fois, nous serons plus directs ...
samedi, décembre 28, 2019
Rétrospective
Ce qui suit s’est passé quand mon ami Bill, à l’occasion des Fêtes, m'a envoyé ce message qui disait:
« Nous arrivons à cet âge quand la mémoire aime à rappeler les anciennes amitiés qui n’ont pas été éprouvées par la routine de la vie et le côtoiement journalier, et à cette période de l’année—ce marqueur de temps arbitraire—où le regard vers l’arrière est pratiquement de rigueur ... »
J'ai adoré la philosophie de son observation et cela m'a rappelé ce joli tout nouveau rétroviseur que j'avais commandé au Père Noël plus tôt dans la saison.
Quand j'ai reçu et déballé ce cadeau le matin de Noël, j'étais absolument ravi car non seulement c'était précisément le modèle particulier que je voulais, mais c'était celui avec un beau coucher de soleil dedans.
Bien sûr, comme ma femme qui a toujours les pieds sur terre n'a pas manqué de me rappeler :
« Couchers de soleil romantiques ou pas, tu ne devrais pas être si obsà l’occasion des Fêtesdé par le passé ; à la place, tu ferais mieux de faire bien attention et de regarder en face de toi, pour éviter de venir d’emplâtrer dans un obstacle !
« Nous arrivons à cet âge quand la mémoire aime à rappeler les anciennes amitiés qui n’ont pas été éprouvées par la routine de la vie et le côtoiement journalier, et à cette période de l’année—ce marqueur de temps arbitraire—où le regard vers l’arrière est pratiquement de rigueur ... »
J'ai adoré la philosophie de son observation et cela m'a rappelé ce joli tout nouveau rétroviseur que j'avais commandé au Père Noël plus tôt dans la saison.
Quand j'ai reçu et déballé ce cadeau le matin de Noël, j'étais absolument ravi car non seulement c'était précisément le modèle particulier que je voulais, mais c'était celui avec un beau coucher de soleil dedans.
Bien sûr, comme ma femme qui a toujours les pieds sur terre n'a pas manqué de me rappeler :
« Couchers de soleil romantiques ou pas, tu ne devrais pas être si obsà l’occasion des Fêtesdé par le passé ; à la place, tu ferais mieux de faire bien attention et de regarder en face de toi, pour éviter de venir d’emplâtrer dans un obstacle !
vendredi, décembre 27, 2019
Rappel musical
L'autre soir, alors que je regardais "The Irishman" une nouvelle saga sur Netflix, mes oreilles n’ont pu s’empêcher de reconnaître une chanson que je n’avais pas entendue depuis ma tendre jeunesse, quand je commençais à fréquenter « L’isba » la discothèque par excellence à Morzine, en Haute-Savoie.
La mélodie « I hear you knocking » par Smiley Davis ou Fats Domino y jouais littéralement en boucle. Entendre à nouveau cette chanson après plus de cinquante ans a ramené beaucoup de souvenirs oubliés dont je ne soupçonnais même pas l'existence…
Merci la musique !
La mélodie « I hear you knocking » par Smiley Davis ou Fats Domino y jouais littéralement en boucle. Entendre à nouveau cette chanson après plus de cinquante ans a ramené beaucoup de souvenirs oubliés dont je ne soupçonnais même pas l'existence…
Merci la musique !
jeudi, décembre 26, 2019
Ouvert pour Noël?
L’après-midi de Noël, nous avons décidé de nous rendre au centre-ville de Park City pour mesurer l’ambiance des lieux, faire du shopping et juste flâner. Il neigeait et nous avons pris deux voitures pour y aller.
Comme que je pensais que l'endroit serait noir de monde, je me suis amusé à faire la course avec mon fils pour trouver une place pour garer mon auto. Quand nous sommes arrivés sur place, l'endroit était étrangement vide.
Nous étions presque les seuls visiteurs et nous nous sommes vite rendu compte que plus de 90% des commerces étaient fermés pour l’après-midi.
Ce n'était pas le cas au cours des années passées, quand la plupart des entreprises étaient fort occupées à faire d’impressionnantes recette à l’occasion de cette fête de famille. Pas cette année !
Quant à ce qui aurait pu être à l'origine de cette fermeture généralisée, nous n’arrivions pas à expliquer. Nous avons alors conclus qu’il ne pouvait s’agir que d'un problème lié à leur personnel.
Quoi d'autre, je me demande ?
Comme que je pensais que l'endroit serait noir de monde, je me suis amusé à faire la course avec mon fils pour trouver une place pour garer mon auto. Quand nous sommes arrivés sur place, l'endroit était étrangement vide.
Nous étions presque les seuls visiteurs et nous nous sommes vite rendu compte que plus de 90% des commerces étaient fermés pour l’après-midi.
Ce n'était pas le cas au cours des années passées, quand la plupart des entreprises étaient fort occupées à faire d’impressionnantes recette à l’occasion de cette fête de famille. Pas cette année !
Quant à ce qui aurait pu être à l'origine de cette fermeture généralisée, nous n’arrivions pas à expliquer. Nous avons alors conclus qu’il ne pouvait s’agir que d'un problème lié à leur personnel.
Quoi d'autre, je me demande ?
mercredi, décembre 25, 2019
Noël de mon enfance
Il y a 65 ans, mon Noël, ainsi que celui de la plupart de mes amis, était plutôt frugal et c'était littéralement ça.
Considérez le fait que frugal signifie « Qui se nourrit de peu, qui vit d'une manière simple. » et vient du latin « frugalis » dérivé de « fruit » et qui dit tout ce qu’il faut dire car nous recevions comme cadeau, une simple orange, un luxe en cette période de l'année, et une excellente manière de nous apprendre ce qu’était la frugalité !
Considérez le fait que frugal signifie « Qui se nourrit de peu, qui vit d'une manière simple. » et vient du latin « frugalis » dérivé de « fruit » et qui dit tout ce qu’il faut dire car nous recevions comme cadeau, une simple orange, un luxe en cette période de l'année, et une excellente manière de nous apprendre ce qu’était la frugalité !
mardi, décembre 24, 2019
La fin des jours courts
Je ne sais pas si c’est pareil pour vous, mais j'aime les choses positives et n’arrive guère à supporter les déclins continus, et cela est d’autant plus vrai quand nos jours diminuent avec cette réduction constante de la lumière du jour que nous subissons pendant les trois-quart du mois de décembre.
Donc passé le solstice, je suis ravi de voir revenir cette croissance qui nous apporte l'espoir, plein d’options positives et beaucoup de lumière. Je n'ai pas besoin de me rendre à Stonehenge pour célébrer l’événement.
Un simple coup d'œil à travers mes fenêtres le matin, me rappelle enfin que nous sommes enfin repartis dans la bonne direction !
Donc passé le solstice, je suis ravi de voir revenir cette croissance qui nous apporte l'espoir, plein d’options positives et beaucoup de lumière. Je n'ai pas besoin de me rendre à Stonehenge pour célébrer l’événement.
Un simple coup d'œil à travers mes fenêtres le matin, me rappelle enfin que nous sommes enfin repartis dans la bonne direction !
lundi, décembre 23, 2019
Rien n'est jamais assez pour les Français !
Le week-end dernier, le président Macron annonçait qu'il renonçait non seulement à sa pension mensuelle de 6 220 euros en tant que président, mais aussi à son allocation mensuelle de 11500 euros en qualité de membre du Conseil Constitutionnel, dès qu’il aura terminé son mandat présidentiel.
C'est, je pense, une bonne manière de donner le bon exemple, jusqu’à ce que Fabien Roussel, secrétaire national du PCF et député, déclare que « [renoncer à de tels avantages] est un luxe que peu de Français peuvent se permettre », ce qui signifie que Macron, lui le peut, et que cela n’a rien à comparer au reste des français et ce n'est donc pas un gros problème.
Au lieu d’y voir un geste positif, trop de mes compatriotes ont l’esprit tellement tordu que cela en est désespéré. J'espère seulement que Macron ne bougera pas sous la pression de ces imbéciles!
C'est, je pense, une bonne manière de donner le bon exemple, jusqu’à ce que Fabien Roussel, secrétaire national du PCF et député, déclare que « [renoncer à de tels avantages] est un luxe que peu de Français peuvent se permettre », ce qui signifie que Macron, lui le peut, et que cela n’a rien à comparer au reste des français et ce n'est donc pas un gros problème.
Au lieu d’y voir un geste positif, trop de mes compatriotes ont l’esprit tellement tordu que cela en est désespéré. J'espère seulement que Macron ne bougera pas sous la pression de ces imbéciles!
Libellés :
affaires étrangères,
societé
dimanche, décembre 22, 2019
À la bourre …
C’est la première fois que j’ai l’impression de me trouver en retard par rapport à tout ce que je dois faire depuis que j’ai pris ma retraite.
Peut-être que je suis trop ambitieux pour le temps qui m’est impartit ou est-ce là une simple tendance passagère ?
En tout cas, ça ne m’amuse pas et je n'aime pas. L'un des problèmes est que j'ai besoin de plus de sommeil que par le passé et cela me laisse moins d'heures d'éveil disponible.
Cela dit, je n’ai plus qu’ à augmenter ma productivité !
Peut-être que je suis trop ambitieux pour le temps qui m’est impartit ou est-ce là une simple tendance passagère ?
En tout cas, ça ne m’amuse pas et je n'aime pas. L'un des problèmes est que j'ai besoin de plus de sommeil que par le passé et cela me laisse moins d'heures d'éveil disponible.
Cela dit, je n’ai plus qu’ à augmenter ma productivité !
samedi, décembre 21, 2019
Première séance de formation à l'école de ski d'Avoriaz
Il y a une cinquantaine d'années cette semaine, je venais de commencer à travailler à l'école de ski d'Avoriaz et Edmond Denis, son directeur, avait emmené toute l'école de ski pour réviser d’important concepts pédagogiques.
Je me souviens que nous travaillions sous télésiège de Foillis, aujourd’hui disparu. À l’époque, le dérapage était roi, du latéral, au dérapage en biais, en passant par les feston-dégagements et le dérapage arrondit qui menait tout droit au Christiania léger et qui constituait le Graal de la technique française.
Il s’agissait d’un virage fin et parfait, n’utilisant qu’un léger allégement du bas vers le haut et une projection circulaire du haut du corps, des skis restant parfaitement parallèles et serrés. Le tout devait être exécuté à une vitesse la plus basse possible et avec la plus grande grâce qui soit.
Edmond faisait partie d'une expédition française qui avait grimpé pour la première fois la face sud de l'Aconcagua au Chili, en 1954, et avait perdu ses orteils suites à des gelures subies lors de cette ascension.
Il nous disait que le secret de tous les virages Christiania se trouvait dans une pression longitudinale du gros orteil que le skier devait pouvoir ressentir et exercer tout au cours du virage. Le pauvre devait sans doute se référer aux sensations fantômes de ses orteils amputés !
J'aimais bien ce que que racontait Edmond ; à l’époque, j’avais un désir intense d’apprendre la technique du ski et j’aimais bien son coté anticonformiste. Il parlait comme un livre et cela m’impressionnait.
Quatre ans plus tard, il quittait l'école de ski pour devenir « Contrôleur de l’Enseignement du Ski », un job en or pour un mec cool comme lui ...
Je me souviens que nous travaillions sous télésiège de Foillis, aujourd’hui disparu. À l’époque, le dérapage était roi, du latéral, au dérapage en biais, en passant par les feston-dégagements et le dérapage arrondit qui menait tout droit au Christiania léger et qui constituait le Graal de la technique française.
Il s’agissait d’un virage fin et parfait, n’utilisant qu’un léger allégement du bas vers le haut et une projection circulaire du haut du corps, des skis restant parfaitement parallèles et serrés. Le tout devait être exécuté à une vitesse la plus basse possible et avec la plus grande grâce qui soit.
Edmond faisait partie d'une expédition française qui avait grimpé pour la première fois la face sud de l'Aconcagua au Chili, en 1954, et avait perdu ses orteils suites à des gelures subies lors de cette ascension.
Il nous disait que le secret de tous les virages Christiania se trouvait dans une pression longitudinale du gros orteil que le skier devait pouvoir ressentir et exercer tout au cours du virage. Le pauvre devait sans doute se référer aux sensations fantômes de ses orteils amputés !
J'aimais bien ce que que racontait Edmond ; à l’époque, j’avais un désir intense d’apprendre la technique du ski et j’aimais bien son coté anticonformiste. Il parlait comme un livre et cela m’impressionnait.
Quatre ans plus tard, il quittait l'école de ski pour devenir « Contrôleur de l’Enseignement du Ski », un job en or pour un mec cool comme lui ...
vendredi, décembre 20, 2019
Biden et son « sans faute »…
Le 6ème débat démocratique offrait du bon et du mauvais.
Le bon c’était qu’ils n’y avaient que 7 candidats en lice, ce qui est nettement mieux que 10, un nombre inférieur de participants permettant un bien meilleur échange.
Le mauvais coté c’est qu’aucun candidat n’a pu vraiment émerger de cette sélection réduite. Beaucoup d'entre eux étaient trop imparfaits, sans aucun clair leader et sans qu’un candidat(e) convaincant(e) ne se démarque.
Selon les experts, Biden n'a fait aucune erreur, et aurait donc gagné (drôle de raisonnement!) même s'il ressemblait à un moribond, se moquait des bègues, et s’empêtrait pour défendre sa position sur la guerre en Afghanistan.
Sanders montrait son pire côté entêté, tandis que Warren avait bien du mal à contenir son éternelle colère et, de concert avec Klobuchar, s’en prendre à Buttigieg pour des foutaises, ce dernier étant un candidat, qui – en bout de compte - pourrait être le meilleur du groupe ...
Le bon c’était qu’ils n’y avaient que 7 candidats en lice, ce qui est nettement mieux que 10, un nombre inférieur de participants permettant un bien meilleur échange.
Le mauvais coté c’est qu’aucun candidat n’a pu vraiment émerger de cette sélection réduite. Beaucoup d'entre eux étaient trop imparfaits, sans aucun clair leader et sans qu’un candidat(e) convaincant(e) ne se démarque.
Selon les experts, Biden n'a fait aucune erreur, et aurait donc gagné (drôle de raisonnement!) même s'il ressemblait à un moribond, se moquait des bègues, et s’empêtrait pour défendre sa position sur la guerre en Afghanistan.
Sanders montrait son pire côté entêté, tandis que Warren avait bien du mal à contenir son éternelle colère et, de concert avec Klobuchar, s’en prendre à Buttigieg pour des foutaises, ce dernier étant un candidat, qui – en bout de compte - pourrait être le meilleur du groupe ...
jeudi, décembre 19, 2019
France : une retraite d’exception
Si vous suivez l'actualité et si vous ne vivez pas en France, vous avez entendu parler de la vague de grèves constante contre le projet de réforme de la retraite dans mon pays d'origine.
Il y existerai actuellement 42 régimes de pension différents qui varient considérablement en termes de calcul des pensions et d’âge auquel les travailleurs peuvent prendre leur retraite.
Officiellement, l'âge de la retraite est de 62 ans en France, mais de nombreuses personnes bénéficiant de « régimes spéciaux » tels que les conducteurs de train ou de métro peuvent prendre leur retraite beaucoup plus tôt, dans certains cas à partir de 55 ans.
Si vous comparez l'âge de la retraite en France sur la table ci-jointe avec celui d'autres pays, vous pouvez voir que mes compatriotes peuvent arrêter de travailler bien plus tôt que dans la plupart des autres nations européennes et nord-américaines.
Peut-être alors, vous demanderez-vous peut-être, « De quoi se plaignent-ils ? »
Il y existerai actuellement 42 régimes de pension différents qui varient considérablement en termes de calcul des pensions et d’âge auquel les travailleurs peuvent prendre leur retraite.
Officiellement, l'âge de la retraite est de 62 ans en France, mais de nombreuses personnes bénéficiant de « régimes spéciaux » tels que les conducteurs de train ou de métro peuvent prendre leur retraite beaucoup plus tôt, dans certains cas à partir de 55 ans.
Si vous comparez l'âge de la retraite en France sur la table ci-jointe avec celui d'autres pays, vous pouvez voir que mes compatriotes peuvent arrêter de travailler bien plus tôt que dans la plupart des autres nations européennes et nord-américaines.
Peut-être alors, vous demanderez-vous peut-être, « De quoi se plaignent-ils ? »
mercredi, décembre 18, 2019
Mon pied est prisonnier !
Si vous vivez assez longtemps, vous allez faire un grand nombre d’expériences « pour la première fois », et l'une d'entre elles m'est arrivée quand j'ai eu fini de skier cette semaine. Ma femme et moi avions décidé de sortir malgré une température très froide de -7 ° C.
La neige était excellente, mais le soleil est resté caché par les nuages qui ont traîné tout l’après-midi, et quand nous avons décidé d’arrêter vers la fin de l'après-midi, nous étions littéralement gelés. Comme nous le faisons toujours, nous avons enlevé nos chaussures de ski assis sur le hayon arrière de l’auto, et le simple fait de quitter ma chaussure de ski gauche a été presque impossible et m’a demandé des efforts surhumains.
Quand il a fallu ôter la chaussure droite, je n’ai pas pu y parvenir. Impossible d’extraire mon pied de la coque en plastique qui avait terriblement durcie. J’ai bien cru que je devrais rentrer chez moi avec ma chaussure au pied.
C’est là que mon épouse a eu l’excellente idée de forcer le collier supérieur de la coque en position ouverte pour que je puisse m’arc-bouter sur le spoiler arrière que j'ai finalement pu libérer mon pied. Ne soyez jamais trop timide pour demander ou accepter l’aide d’une autre personne !
La neige était excellente, mais le soleil est resté caché par les nuages qui ont traîné tout l’après-midi, et quand nous avons décidé d’arrêter vers la fin de l'après-midi, nous étions littéralement gelés. Comme nous le faisons toujours, nous avons enlevé nos chaussures de ski assis sur le hayon arrière de l’auto, et le simple fait de quitter ma chaussure de ski gauche a été presque impossible et m’a demandé des efforts surhumains.
Quand il a fallu ôter la chaussure droite, je n’ai pas pu y parvenir. Impossible d’extraire mon pied de la coque en plastique qui avait terriblement durcie. J’ai bien cru que je devrais rentrer chez moi avec ma chaussure au pied.
C’est là que mon épouse a eu l’excellente idée de forcer le collier supérieur de la coque en position ouverte pour que je puisse m’arc-bouter sur le spoiler arrière que j'ai finalement pu libérer mon pied. Ne soyez jamais trop timide pour demander ou accepter l’aide d’une autre personne !
mardi, décembre 17, 2019
Utah Canyons «après ski»
Dimanche dernier, mon petit-fils et moi sommes allés skier à Solitude pour l'après-midi, et après de merveilleux moments ensemble, nous nous sommes retrouvés littéralement à descendre le canyon, pare-chocs contre pare-chocs, alors que nous revenions à Salt Lake City.
Je n'avais jamais expérimenté cette forme d '«après-ski» et ce fut l'occasion idéale de réaliser à quel point j'ai eu la chance de skier à 5 à 10 minutes de chez moi!
Je n'avais jamais expérimenté cette forme d '«après-ski» et ce fut l'occasion idéale de réaliser à quel point j'ai eu la chance de skier à 5 à 10 minutes de chez moi!
lundi, décembre 16, 2019
Bonne neige, meilleur ski !
Tout comme un beau soleil et un ciel d’azur, une excellente neige fait de nous de bien meilleurs skieurs. Bien que cela ne soit pas tellement sorcier, voici les raisons derrière l'incroyable pouvoir d’une bonne neige:
Lubrification:
Une excellente fluidité de la neige facilite le passage des skis ainsi que leur glissement et leur dérapage latéral. C'est une question d’un juste équilibre entre densité et humidité, ou teneur en eau. Une bonne neige bien fluide demande beaucoup mois de force musculaire.
Absorption des chocs:
La neige fraîche fait une énorme différence dans ce domaine et se comporte comme un coussin qui, à son tour, minimise considérablement le travail exigé des articulations des jambes pour absorber tout les impacts. Elle encourage aussi la vitesse et l'évolution facile dans des passages habituellement intimidants où il est nécessaire de sauter ou de laisser tomber depuis de fortes hauteurs.
Enchaînement:
Une neige régulière et prévisible exige un contrôle de la vitesse moins rigoureux, moins de ralentissements sporadiques, et contribue à une fluidité de mouvement beaucoup plus grande, qui à son tour fait un meilleur usage de la motricité naturel fournie par la gravité.
Absence de bruit et de vibrations:
Pour de nombreux skieurs, le bruit que peut faire la neige est souvent interprété comme une source de danger. Les conditions rencontrées sur pistes glacées en sont un excellent exemple. Plus il y a de bruit et de vibrations, plus le skieur devient nerveux, ce qui affecte encore d’avantage les moins bons skieurs. Une belle neige douce ne produit aucun bruit vraiment perceptible.
Sens de sécurité:
La douceur, l'absorption des chocs, le silence et le plaisir qui en resulte, ont tendance à minimiser notre peur et à accroître notre sentiment de sécurité, ce qui se traduit à son tour par une performance beauoup plus efficaces et un plus grand plaisir.
Lubrification:
Une excellente fluidité de la neige facilite le passage des skis ainsi que leur glissement et leur dérapage latéral. C'est une question d’un juste équilibre entre densité et humidité, ou teneur en eau. Une bonne neige bien fluide demande beaucoup mois de force musculaire.
Absorption des chocs:
La neige fraîche fait une énorme différence dans ce domaine et se comporte comme un coussin qui, à son tour, minimise considérablement le travail exigé des articulations des jambes pour absorber tout les impacts. Elle encourage aussi la vitesse et l'évolution facile dans des passages habituellement intimidants où il est nécessaire de sauter ou de laisser tomber depuis de fortes hauteurs.
Enchaînement:
Une neige régulière et prévisible exige un contrôle de la vitesse moins rigoureux, moins de ralentissements sporadiques, et contribue à une fluidité de mouvement beaucoup plus grande, qui à son tour fait un meilleur usage de la motricité naturel fournie par la gravité.
Absence de bruit et de vibrations:
Pour de nombreux skieurs, le bruit que peut faire la neige est souvent interprété comme une source de danger. Les conditions rencontrées sur pistes glacées en sont un excellent exemple. Plus il y a de bruit et de vibrations, plus le skieur devient nerveux, ce qui affecte encore d’avantage les moins bons skieurs. Une belle neige douce ne produit aucun bruit vraiment perceptible.
Sens de sécurité:
La douceur, l'absorption des chocs, le silence et le plaisir qui en resulte, ont tendance à minimiser notre peur et à accroître notre sentiment de sécurité, ce qui se traduit à son tour par une performance beauoup plus efficaces et un plus grand plaisir.
dimanche, décembre 15, 2019
Important rappel de début de saison de ski !
Le ski est un sport que nous tenons trop souvent pour acquis et sommes persuadés que sa pratique est toujours là, dans notre subconscient, à notre entière disposition et ne nous laissera jamais tomber.
Cela est un peu vrai pour un ski sur bonne neige et sur terrain facile, quand on peut se permettre d'être paresseux et qu’on laisse la vitesse, la force centrifuge et une résistance minimale faire tout le travail.
Cependant, quand les conditions se corsent, quand la neige n'est plus aussi bonne, que le terrain devient raide et difficile, le recours à une bonne technique revient triomphalement et nous rappelle que nous ne sommes pas du tout dispensés de suivre les règles et les lois du ski.
C'est souvent une bonne remise à l’ordre qui ne fait de mal à aucun skieur !
Cela est un peu vrai pour un ski sur bonne neige et sur terrain facile, quand on peut se permettre d'être paresseux et qu’on laisse la vitesse, la force centrifuge et une résistance minimale faire tout le travail.
Cependant, quand les conditions se corsent, quand la neige n'est plus aussi bonne, que le terrain devient raide et difficile, le recours à une bonne technique revient triomphalement et nous rappelle que nous ne sommes pas du tout dispensés de suivre les règles et les lois du ski.
C'est souvent une bonne remise à l’ordre qui ne fait de mal à aucun skieur !
samedi, décembre 14, 2019
Était-ce la neige ou mon âge ? (suite
Il y a une semaine, je me demandais si ma façon de skier était sur la pente … descendante, et après une semaine passée à vérifier cette hypothèse plutôt démoralisante, j’en suis arrivé à conclure qu'entre ma condition physique à ski et la qualité de la neige, cette dernière était bien la cause du problème.
C’est donc vrai que quand les conditions de neige sont mauvaises, la fluidité du skieur n'est plus là et l'un des secrets du bon ski c’est précisément cet enchaînement fluide de tous les mouvements requis par le sport.
C'est un peu comme si on comparait ça au ch’i ou au qi, de la culture traditionnelle chinoise. Nos amis d’orient pensent que le Ch’i est cette force vitale qui jaillit de toute matière vivante. Ch’i se traduit par « air » au sens propre et par « énergie matérielle »au sens figuré.
Plus exactement, dans la pratique du ski cela veut dire que ce flux d’énergie ou encore cette fluidité rejoint une forme d’art ou de danse à la pratique du ski.
Restez donc bien fluides sur vos planches et vous serez surpris du bon résultat !
C’est donc vrai que quand les conditions de neige sont mauvaises, la fluidité du skieur n'est plus là et l'un des secrets du bon ski c’est précisément cet enchaînement fluide de tous les mouvements requis par le sport.
C'est un peu comme si on comparait ça au ch’i ou au qi, de la culture traditionnelle chinoise. Nos amis d’orient pensent que le Ch’i est cette force vitale qui jaillit de toute matière vivante. Ch’i se traduit par « air » au sens propre et par « énergie matérielle »au sens figuré.
Plus exactement, dans la pratique du ski cela veut dire que ce flux d’énergie ou encore cette fluidité rejoint une forme d’art ou de danse à la pratique du ski.
Restez donc bien fluides sur vos planches et vous serez surpris du bon résultat !
vendredi, décembre 13, 2019
Moutarde Amora à la rescousse !
Gray-Poupon est une marque de moutarde originaire de Dijon, patrie de la spécialité en France.
Les droits américains sur en matière de marque et de distribution avaient d’abord été achetés par la société Heublein, avant que celle-ci soit reprise par Kraft Foods. La moutarde est maintenant fabriquée en Amérique.
Lorsque nous nous sommes installés à New York à la fin des années 1970, Gray Poupon etait devenu très populaire grâce à une campagne publicitaire particulièrement originale et était notre moutarde de choix, jusqu'à cet automne, quand Costco, notre grande surface locale, a cessé de l’offrir pendant la saison d'hiver durant laquelle les barbecues sont mis de coté.
Comme nous détestons la moutarde jaune américaine traditionnelle, nous n'avions pas d'autre choix que de rechercher si la fameuse moutarde Amora était distribuée aux États-Unis.
Nous l'avons trouvé pour 2,80 le dollar, le pot de 440 gr. contre 4,00 dollar pour le pot de 450 gr. chez Grey-Poupon. Comme vous le verrez dans la vidéo, Amora n’est pas du tout la même « classe », mais le goût est à peu près le même, donc pour l’instant nos assaisonnements vont dépendre d’Amora ...
Les droits américains sur en matière de marque et de distribution avaient d’abord été achetés par la société Heublein, avant que celle-ci soit reprise par Kraft Foods. La moutarde est maintenant fabriquée en Amérique.
Lorsque nous nous sommes installés à New York à la fin des années 1970, Gray Poupon etait devenu très populaire grâce à une campagne publicitaire particulièrement originale et était notre moutarde de choix, jusqu'à cet automne, quand Costco, notre grande surface locale, a cessé de l’offrir pendant la saison d'hiver durant laquelle les barbecues sont mis de coté.
Comme nous détestons la moutarde jaune américaine traditionnelle, nous n'avions pas d'autre choix que de rechercher si la fameuse moutarde Amora était distribuée aux États-Unis.
Nous l'avons trouvé pour 2,80 le dollar, le pot de 440 gr. contre 4,00 dollar pour le pot de 450 gr. chez Grey-Poupon. Comme vous le verrez dans la vidéo, Amora n’est pas du tout la même « classe », mais le goût est à peu près le même, donc pour l’instant nos assaisonnements vont dépendre d’Amora ...
jeudi, décembre 12, 2019
À court de jus créatif ?
Depuis des années, je me suis embarqué dans une tâche difficile qui consiste à faire une vidéo pour marquer les Fêtes.
C’est ça, un peu pour remplacer la carte de Noël traditionnelle. C'est différent et me semble original.
Cela pose cependant un défi, car il faut du jus créatif pour la réaliser et que le projet n'est pas à l'abri du manque d’idées classique qui bloque tout !
Cette année a été particulièrement difficile pour moi, mais finalement, le blocage s'est libéré et le jus s’est mis à couler.
Combien de temps ce petit projet ambitieux va-t-il encore pouvoir se faire ?
C’est ça, un peu pour remplacer la carte de Noël traditionnelle. C'est différent et me semble original.
Cela pose cependant un défi, car il faut du jus créatif pour la réaliser et que le projet n'est pas à l'abri du manque d’idées classique qui bloque tout !
Cette année a été particulièrement difficile pour moi, mais finalement, le blocage s'est libéré et le jus s’est mis à couler.
Combien de temps ce petit projet ambitieux va-t-il encore pouvoir se faire ?
mercredi, décembre 11, 2019
Un régime alimentaire de plus ?
Il ne se passe pas une année ou une saison sans que nous entendions parler d'un nouveau régime alimentaire.
Aujourd’hui, je veux vous parler du nouveau régime « Manger sur 10 heures et jeûner le reste de la journée », censé, entre autres avantages, de prévenir le diabète, les maladies cardiaques ou autres AVC, de perdre du poids, de réduire le cholestérol et de mieux dormir.
Cela consiste à manger dans un créneau de 10 heures et à mettre votre métabolisme au repos pendant les 14 heures suivantes. Difficile à suivre pour les gens qui travaillent longtemps, mais super facile pour les retraités comme moi!
Ce régime est le résultat d'une étude menée par l'École de médecine de l'Université de Californie à San Diego. L’expérience réunissait 19 participants (un petit échantillon), qui avaient reçu un diagnostic de syndrome métabolique, et à qui on avait dit de ne pas compter les calories ou de faire plus d'exercice pendant les 12 semaines que duraient l'étude.
Les participants ont perdu en moyenne 3% de leur poids et leur graisse abdominale. Beaucoup ont vu leur taux de cholestérol ainsi que leur tension artérielle baisser, et ont constaté une amélioration de leur taux de glycémie.
Je me sens beaucoup mieux depuis que suis ce régime depuis un bon bout de temps sans même le savoir !
Aujourd’hui, je veux vous parler du nouveau régime « Manger sur 10 heures et jeûner le reste de la journée », censé, entre autres avantages, de prévenir le diabète, les maladies cardiaques ou autres AVC, de perdre du poids, de réduire le cholestérol et de mieux dormir.
Cela consiste à manger dans un créneau de 10 heures et à mettre votre métabolisme au repos pendant les 14 heures suivantes. Difficile à suivre pour les gens qui travaillent longtemps, mais super facile pour les retraités comme moi!
Ce régime est le résultat d'une étude menée par l'École de médecine de l'Université de Californie à San Diego. L’expérience réunissait 19 participants (un petit échantillon), qui avaient reçu un diagnostic de syndrome métabolique, et à qui on avait dit de ne pas compter les calories ou de faire plus d'exercice pendant les 12 semaines que duraient l'étude.
Les participants ont perdu en moyenne 3% de leur poids et leur graisse abdominale. Beaucoup ont vu leur taux de cholestérol ainsi que leur tension artérielle baisser, et ont constaté une amélioration de leur taux de glycémie.
Je me sens beaucoup mieux depuis que suis ce régime depuis un bon bout de temps sans même le savoir !
mardi, décembre 10, 2019
Les (tristes) maths modernes américaines
Récemment, je lisais un article intitulé « Une bonne raison pour laquelle les Américains sont fauchés et en surpoids », par Catey Hill, rédactrice en chef de Market Watch une publication financière en ligne.
L'article affirmait qu'un Américain sur trois admet qu’il va trop souvent au restaurant, entraînant du même coup leur appauvrissement financier et l’augmentation de leur tour de taille. Il est assez clair que manger au restaurant coûte très cher et que la nourriture qui y est servie est généralement trop abondante et contribue à la prise de poids des clients.
Cela illustre parfaitement bien le sujet du jour selon lequel les mathématiques ou même l'arithmétique de base sont impitoyable et ne parfaitement noires et blanche. Toute équation doit être équilibrée.
Par exemple, en Amérique, les gens mangent trop, font trop peu d'exercice = un surplus est créé (de la graisse for faire simple). De la même façon, les gens ne gagnent pas assez mais dépensent trop = un déficit apparaît (endettement généralisé).
L'Amérique serait révolutionnée si les gens faisaient plus d'exercice qu'ils ne mangent, perdaient de la graisse en conséquence, et même s'ils voulaient un équilibre parfait, ils n’auraient qu’ à ramener les deux comportements au même niveau.
De même, si les gens dépensaient moins qu'ils ne gagnent, ils économiseraient de l'argent (quel idée originale !) Si l'épargne devait violenter leur croyance, ils pourraient simplement maintenir leurs dépenses au niveau de ce qu'ils gagnent.
Voici mes pensées pour la journée.
L'article affirmait qu'un Américain sur trois admet qu’il va trop souvent au restaurant, entraînant du même coup leur appauvrissement financier et l’augmentation de leur tour de taille. Il est assez clair que manger au restaurant coûte très cher et que la nourriture qui y est servie est généralement trop abondante et contribue à la prise de poids des clients.
Cela illustre parfaitement bien le sujet du jour selon lequel les mathématiques ou même l'arithmétique de base sont impitoyable et ne parfaitement noires et blanche. Toute équation doit être équilibrée.
Par exemple, en Amérique, les gens mangent trop, font trop peu d'exercice = un surplus est créé (de la graisse for faire simple). De la même façon, les gens ne gagnent pas assez mais dépensent trop = un déficit apparaît (endettement généralisé).
L'Amérique serait révolutionnée si les gens faisaient plus d'exercice qu'ils ne mangent, perdaient de la graisse en conséquence, et même s'ils voulaient un équilibre parfait, ils n’auraient qu’ à ramener les deux comportements au même niveau.
De même, si les gens dépensaient moins qu'ils ne gagnent, ils économiseraient de l'argent (quel idée originale !) Si l'épargne devait violenter leur croyance, ils pourraient simplement maintenir leurs dépenses au niveau de ce qu'ils gagnent.
Voici mes pensées pour la journée.
lundi, décembre 09, 2019
Vieillir c’est aussi perdre ses forces !
Il y a environ 5 ans, j’évoquais la VO2 max (consommation maximale d'oxygène) et déplorais qu'à mesure que nous vieillissons, l’effet que nous procure l'oxygène diminue et, par conséquent, cela affecte notre performance physique.
Cela ne comprenait pas, bien sûr, en plus du souffle, un déclin physique supplémentaire causé par l’atrophie de notre masse musculaire. En vieillissant, nos muscles deviennent plus rigides et commencent à perdre du tonus, même si nous continuons de faire de l’exercice régulièrement.
C'est ce qu'on appelle la sarcopénie, une affection caractérisée par une perte de masse, de forme et fonctionnalité musculaire.
Le terme sarcopénie signifie « manque de chair » et c’est une conséquence supplémentaire du vieillissement qui se manifeste chez les individus de plus de 50 ans.
Comme le montre le graphique, cet état s'aggrave aussi avec l'âge, donc entre VO2 max et sarcopénie, l'avenir semble encore plus sombre.
Eh bien moi, je vais skier pour oublier tout ça !
Cela ne comprenait pas, bien sûr, en plus du souffle, un déclin physique supplémentaire causé par l’atrophie de notre masse musculaire. En vieillissant, nos muscles deviennent plus rigides et commencent à perdre du tonus, même si nous continuons de faire de l’exercice régulièrement.
C'est ce qu'on appelle la sarcopénie, une affection caractérisée par une perte de masse, de forme et fonctionnalité musculaire.
Le terme sarcopénie signifie « manque de chair » et c’est une conséquence supplémentaire du vieillissement qui se manifeste chez les individus de plus de 50 ans.
Comme le montre le graphique, cet état s'aggrave aussi avec l'âge, donc entre VO2 max et sarcopénie, l'avenir semble encore plus sombre.
Eh bien moi, je vais skier pour oublier tout ça !
dimanche, décembre 08, 2019
Stage d’éducateur scolaire de ski à Chamrousse
Il y a tout juste cinquante ans, avant de commencer mon travail à l'école de ski d'Avoriaz, j'avais dû suivre une semaine de formation à Chamrousse, lieu où s’était déroulée la descente olympique des J.O. de Grenoble en 1968.
Non, on ne m'a pas demandé de faire la descente de Casserousse qui avait rendu Killy célèbre, mais d’apprendre le b.a.-ba de l’enseignement du ski, pour pouvoir à la fin, montrer ma capacité à exécuter le Christiania Léger, qui était alors le virage officiel de l’enseignement du ski français, et d’afficher mon talent naturel pour dévaler une pente raide en assez mauvaise neige avec un minimum de contrôle.
J'y étais en compagnie de mon ami Bernard Gradel de l'école d’horlogerie de Cluses et de Michel Lascar, également d'Avoriaz.
Je me souviens que le jour de l'examen, le temps était extrêmement froid, et afin de faire une bonne impression et bien mettre en valeur mon style sur les planches, j'avais décidé de ne pas porter d’anorak au profit de mon seul pull rouge.
Conclusion, je me suis gelé l’extrémité de trois de mes doigts, mais j'ai quand même réussi l’examen.
Non, on ne m'a pas demandé de faire la descente de Casserousse qui avait rendu Killy célèbre, mais d’apprendre le b.a.-ba de l’enseignement du ski, pour pouvoir à la fin, montrer ma capacité à exécuter le Christiania Léger, qui était alors le virage officiel de l’enseignement du ski français, et d’afficher mon talent naturel pour dévaler une pente raide en assez mauvaise neige avec un minimum de contrôle.
J'y étais en compagnie de mon ami Bernard Gradel de l'école d’horlogerie de Cluses et de Michel Lascar, également d'Avoriaz.
Je me souviens que le jour de l'examen, le temps était extrêmement froid, et afin de faire une bonne impression et bien mettre en valeur mon style sur les planches, j'avais décidé de ne pas porter d’anorak au profit de mon seul pull rouge.
Conclusion, je me suis gelé l’extrémité de trois de mes doigts, mais j'ai quand même réussi l’examen.
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samedi, décembre 07, 2019
Était-ce la neige ou mon âge?
Ce Jeudi, 9990, mon massif et mon télésiège préférés ouvraient enfin et je ne pouvais pas me permettre de manquer ça. Je n’y suis pas allé le matin, j'ai pris mon temps et ne m’y suis rendu que l'après-midi.
C'était ma première journée de ski « athlétique » en quelque sorte et cela allait mobiliser toute mon attention Comme toujours, j'étais assez confiant dans mes talents à maîtriser ce terrain difficile.
La neige, qui n'avait pas encore été skié cette saison et la température élevée s’étaient combinées pour créer une densité semblable à du gros béton frais, ce qui rendait le ski extrêmement délicat et difficile.
Ajoutez à cela le fait qu'avec une couverture relativement peu profonde, j'étais très attentif aux cailloux, rochers et autres branches cachées ou aux petits arbres, et cela réduisait considérablement ma vitesse afin de briser cette neige si résistante.
Résultat, donc je me suis fatigué plus vite et cela n’a pas réussit à me mettre en confiance. Le problème provenait-il de tout cela ou bien du fardeau apportée par une année supplémentaire ?
Peux être un peu des deux, même si mes temps de rotation au télésiège étaient du niveau de ceux de l’an passé. Il va falloir vérifier cela !
C'était ma première journée de ski « athlétique » en quelque sorte et cela allait mobiliser toute mon attention Comme toujours, j'étais assez confiant dans mes talents à maîtriser ce terrain difficile.
La neige, qui n'avait pas encore été skié cette saison et la température élevée s’étaient combinées pour créer une densité semblable à du gros béton frais, ce qui rendait le ski extrêmement délicat et difficile.
Ajoutez à cela le fait qu'avec une couverture relativement peu profonde, j'étais très attentif aux cailloux, rochers et autres branches cachées ou aux petits arbres, et cela réduisait considérablement ma vitesse afin de briser cette neige si résistante.
Résultat, donc je me suis fatigué plus vite et cela n’a pas réussit à me mettre en confiance. Le problème provenait-il de tout cela ou bien du fardeau apportée par une année supplémentaire ?
Peux être un peu des deux, même si mes temps de rotation au télésiège étaient du niveau de ceux de l’an passé. Il va falloir vérifier cela !
vendredi, décembre 06, 2019
Vision du ski évolutive ...
Quand j'ai commencé à skier, tout était extrêmement simple. Je remontais la pente en « escalier », je descendais tout droit et je terminais mon schuss par un christiania arrêt.
Par la suite, j'ai découvert la magie de l’ascension assistée par remontée mécanique et ma vie de skieur s’est soudainement métamorphosée. J'adorais adopter la position de recherche de vitesse en faisant la course avec mes amis et je me régalais déjà de toutes ces sensations de vitesse.
L’étape suivante allait consister à affiner mes virages, à les nuancer en maîtrisant l’art du dérapage et ce n’est seulement que quelques années plus tard que je découvrais la neige profonde, le slalom et que j’étais émerveillé par ce nouvel éventail de possibilités.
Aujourd'hui, alors que j'aborde la vieillesse, j'aime toujours l'énorme variété qu’offre le ski et, sauf pour la compétition alpine, j'y participe toujours à fond, même si cela est à des degrés divers, bien sûr, mais mon ski reste très varié, opportuniste et toujours avec un œil tourné vers de nouvelles découvertes.
Mon aventure à ski n’en fini pas de de me faire vibrer !
Par la suite, j'ai découvert la magie de l’ascension assistée par remontée mécanique et ma vie de skieur s’est soudainement métamorphosée. J'adorais adopter la position de recherche de vitesse en faisant la course avec mes amis et je me régalais déjà de toutes ces sensations de vitesse.
L’étape suivante allait consister à affiner mes virages, à les nuancer en maîtrisant l’art du dérapage et ce n’est seulement que quelques années plus tard que je découvrais la neige profonde, le slalom et que j’étais émerveillé par ce nouvel éventail de possibilités.
Aujourd'hui, alors que j'aborde la vieillesse, j'aime toujours l'énorme variété qu’offre le ski et, sauf pour la compétition alpine, j'y participe toujours à fond, même si cela est à des degrés divers, bien sûr, mais mon ski reste très varié, opportuniste et toujours avec un œil tourné vers de nouvelles découvertes.
Mon aventure à ski n’en fini pas de de me faire vibrer !
jeudi, décembre 05, 2019
Pourquoi Park City attire-t-elle la faune ?
Progressivement et tout au cours de ces dix dernières années, nous avons constaté une augmentation sensible de la faune autour des habitations de Park City.
Lorsque nous y sommes arrivés en 1985, l'endroit était remarquablement dépourvu d'arbres et nous ne pouvions observer que très peu d'animaux sauvages, à l'exception des écureuils terrestres au printemps, des pies toute l'année et des merles d’Amérique en été.
Et puis, peu à peu, tous les petits arbres qui avaient été plantés autour des maisons se sont mis à grandir et au dans cette dernière décennie, ont formés une véritable forêt urbaine, créant ainsi son propre environnement et encourageant l’établissement de pigeons, écureuils et l’incursion occasionnelle de coyotes.
Dans le même temps, en plus des trembles et des sapins, de plus en plus d'arbres variés ont été plantés, des arbustes de toutes sortes ont commencé à remplir la plupart des jardins et grâce à l'irrigation automatique, notre ville s'est transformée en une oasis de verdure fraîche et comestible qui ne pouvait qu’attirer chevreuils, orignaux et wapitis.
Et ce n’est pas autre chose que cette abondance de nourriture fraîche et cet environnement forestier qui a irrésistiblement attiré tout ce beau monde. Le manque de prédateurs naturels (à l'exception des véhicules motorisés) a également joué un rôle important dans l'explosion démographique de cette faune.
Cela dit, l’idée que la croissante fulgurante de notre petite ville a forcé ces pauvres créatures à fuir de leur habitat est une idée totalement fausse. Appelez ça une légende urbaine si vous préférez ...
Lorsque nous y sommes arrivés en 1985, l'endroit était remarquablement dépourvu d'arbres et nous ne pouvions observer que très peu d'animaux sauvages, à l'exception des écureuils terrestres au printemps, des pies toute l'année et des merles d’Amérique en été.
Et puis, peu à peu, tous les petits arbres qui avaient été plantés autour des maisons se sont mis à grandir et au dans cette dernière décennie, ont formés une véritable forêt urbaine, créant ainsi son propre environnement et encourageant l’établissement de pigeons, écureuils et l’incursion occasionnelle de coyotes.
Dans le même temps, en plus des trembles et des sapins, de plus en plus d'arbres variés ont été plantés, des arbustes de toutes sortes ont commencé à remplir la plupart des jardins et grâce à l'irrigation automatique, notre ville s'est transformée en une oasis de verdure fraîche et comestible qui ne pouvait qu’attirer chevreuils, orignaux et wapitis.
Et ce n’est pas autre chose que cette abondance de nourriture fraîche et cet environnement forestier qui a irrésistiblement attiré tout ce beau monde. Le manque de prédateurs naturels (à l'exception des véhicules motorisés) a également joué un rôle important dans l'explosion démographique de cette faune.
Cela dit, l’idée que la croissante fulgurante de notre petite ville a forcé ces pauvres créatures à fuir de leur habitat est une idée totalement fausse. Appelez ça une légende urbaine si vous préférez ...
mercredi, décembre 04, 2019
Comment profiter de l’instant présent
Nous avons tous différentes façons d'embrasser une nouvelle journée. Trop souvent, ce sont les événements extérieurs et les humeurs du moment qui déterminent comment cette précieuse fraction de temps est consommée, et quand se couche le soleil, nous sommes toujours frustrés de n'avoir pas su contrôle ce que nous aurions dû faire.
Comme après 70 ans, le temps et la vie deviennent de plus en plus précieux, je m'efforce de suivre la procédure suivante afin d'éviter tout gaspillage irrécupérable :
Comme après 70 ans, le temps et la vie deviennent de plus en plus précieux, je m'efforce de suivre la procédure suivante afin d'éviter tout gaspillage irrécupérable :
- Je m'efforce de maintenir autant que possible ce qu’il me reste, qu'il s'agisse de capacités physiques ou mentales, en ne les gaspillant pas ou ne en les exposant pas à des risques inutiles.
- J’essaie aussi de profiter du moment, en le prenant comme il vient et en faisant de mon mieux pour transformer le banal en expérience enrichissante.
- J'essaie également de toujours prendre les bonnes décisions, ou du moins les meilleures que je puisse identifier dans le moment, et d'aller de l’avant avec celles-ci.
- Enfin, une nouvelle journée est une occasion exceptionnelle d’apprendre quelque chose de nouveau ou, au minimum, de voir la vie d’un point de vue inédit et spontané.
mardi, décembre 03, 2019
Retour de la chaussure de ski pratique (suite) ?
Enfiler une chaussure de ski à quatre ou trois boucles à entrée avant, ou en sortir en fin de ski, n’est jamais agréable.
Que vous soyez un gars ou une fille, un individu bedonnant, un super skieur ou un tout-débutant, la chaussure à boucles traditionnelle n’est pas une sinécure, surtout quand il fait très froid.
C'est quelque chose dont Georges Salomon s’était vite rendu compte en fin des années soixante-dix quand il avait lancé son projet chaussure qui allait prendre la commodité pour cible comme il l’avait fait déjà avec ses fixations.
A l’apogée du concept, la performance de la SX 92 de Salomon avaient incroyablement progressé et il était évident que si la branche du ski avait été plus patiente, imaginative et sûre d’elle, elle aurait pu développer d’avantage encore l’entrée-arrière en l’amenant au niveau des meilleures chaussures de course à boucles que nous connaissons aujourd’hui.
Eh bien voilà, après une interruption de 25 ans, le concept de chaussure à entrée-arrière reprendrait du service chez Atomic et Nordica.
Le design offert par Atomic qui se nomme « Savour » semble de toute évidence une perte de temps totale et « sans saveur » car c’est du bas de gamme DalBello ou Hierling tout craché qui était fabriqué dans les années 1990. C’est cependant bien étrange, car au strict minimum, Atomic aurait pu tout bêtement « copier » la SX 80 qui elle, avait d’énormes qualités. En tout cas, cela semble en dire long sur le manque d’harmonie qui existe entre Atomic et Salomon au sein du groupe Amer.
De son côté, Nordica, qui talonnait Salomon de part la qualité de ses chaussures à entrée-arrière, pourrait avoir un produit intéressant à offrir avec son modèle HF (Hand Free – Mains Libres). Nous verrons si les employés des magasins de ski d’aujourd’hui sont un peu plus ouverts et bien moins butés que par le passé.
Si ce n’est pas le cas ce genre de produit pourrait être la chaussure de ski idéale pour leurs concurrents qui font de vente directe par Internet !
Que vous soyez un gars ou une fille, un individu bedonnant, un super skieur ou un tout-débutant, la chaussure à boucles traditionnelle n’est pas une sinécure, surtout quand il fait très froid.
C'est quelque chose dont Georges Salomon s’était vite rendu compte en fin des années soixante-dix quand il avait lancé son projet chaussure qui allait prendre la commodité pour cible comme il l’avait fait déjà avec ses fixations.
A l’apogée du concept, la performance de la SX 92 de Salomon avaient incroyablement progressé et il était évident que si la branche du ski avait été plus patiente, imaginative et sûre d’elle, elle aurait pu développer d’avantage encore l’entrée-arrière en l’amenant au niveau des meilleures chaussures de course à boucles que nous connaissons aujourd’hui.
Eh bien voilà, après une interruption de 25 ans, le concept de chaussure à entrée-arrière reprendrait du service chez Atomic et Nordica.
Le design offert par Atomic qui se nomme « Savour » semble de toute évidence une perte de temps totale et « sans saveur » car c’est du bas de gamme DalBello ou Hierling tout craché qui était fabriqué dans les années 1990. C’est cependant bien étrange, car au strict minimum, Atomic aurait pu tout bêtement « copier » la SX 80 qui elle, avait d’énormes qualités. En tout cas, cela semble en dire long sur le manque d’harmonie qui existe entre Atomic et Salomon au sein du groupe Amer.
De son côté, Nordica, qui talonnait Salomon de part la qualité de ses chaussures à entrée-arrière, pourrait avoir un produit intéressant à offrir avec son modèle HF (Hand Free – Mains Libres). Nous verrons si les employés des magasins de ski d’aujourd’hui sont un peu plus ouverts et bien moins butés que par le passé.
Si ce n’est pas le cas ce genre de produit pourrait être la chaussure de ski idéale pour leurs concurrents qui font de vente directe par Internet !
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lundi, décembre 02, 2019
Qui a tué la chaussure entrée-arrière ?
J'ai quitté le secteur de la chaussure de ski au moment où une chaussure pratique, dénommée entrée-arrière, était sur le point d’être assassinée, sans cérémonie aucune, « aidée » surtout par les employés de magasin de ski, pour la plupart mâles et bien machos (la plupart d'entre eux n’étant souvent même pas de bons skieurs).
Ceux-ci avaient d’eux-mêmes décidé qu'il était temps de mettre fin à cette conception de chaussure, car à leurs yeux, c’était une godasse de « gonzesse », pas assez macho et qui ressemblait trop à un produit pour débutant.
Pourtant, depuis le temps que Hanson avait inventé l’entrée arrière, Salomon s’était démené sans relâche pour perfectionner sa commodité d’emploi et sa skiabilité, comme en témoignait son dernier modèle, la SX 92, l’apogée de cette évolution, dotée d’un bon support arrière, d’une flexion ajustable et d’un bon réglage sur le cou-de-pied.
À l'époque (au début des années 90), je vendais également une chaussure entrée-arrière, appelée Koflach Intec, un bon concept sur le papier, mais un produit mal testé, terriblement conçu et mal mis en œuvre par l’usine autrichienne qui allait être reprise par Atomic. Ainsi, la chaussure à quatre boucles avait fait un retour en force, même si les coques trois pièces avec languette pivotantes constituaient déjà un meilleur compromis.
En 1995, la chaussure à entrée-arrière était bien morte et enterrée par les petits détaillants de ski, ce qui, au cours du processus, ont ainsi privé un grand nombre de skieurs de rester dans le sport car avec cette chaussure facile d’utilisation, la barre d’accès au sport baissait radicalement forçant ainsi trop de skieurs à abandonner le ski, ce qui a représenté une perte sévère pour la branche tout entière.
Aujourd’hui, on pourrait se poser la question si ce type de chaussure peut ressusciter un jour ? (À suivre...)
Ceux-ci avaient d’eux-mêmes décidé qu'il était temps de mettre fin à cette conception de chaussure, car à leurs yeux, c’était une godasse de « gonzesse », pas assez macho et qui ressemblait trop à un produit pour débutant.
Pourtant, depuis le temps que Hanson avait inventé l’entrée arrière, Salomon s’était démené sans relâche pour perfectionner sa commodité d’emploi et sa skiabilité, comme en témoignait son dernier modèle, la SX 92, l’apogée de cette évolution, dotée d’un bon support arrière, d’une flexion ajustable et d’un bon réglage sur le cou-de-pied.
À l'époque (au début des années 90), je vendais également une chaussure entrée-arrière, appelée Koflach Intec, un bon concept sur le papier, mais un produit mal testé, terriblement conçu et mal mis en œuvre par l’usine autrichienne qui allait être reprise par Atomic. Ainsi, la chaussure à quatre boucles avait fait un retour en force, même si les coques trois pièces avec languette pivotantes constituaient déjà un meilleur compromis.
En 1995, la chaussure à entrée-arrière était bien morte et enterrée par les petits détaillants de ski, ce qui, au cours du processus, ont ainsi privé un grand nombre de skieurs de rester dans le sport car avec cette chaussure facile d’utilisation, la barre d’accès au sport baissait radicalement forçant ainsi trop de skieurs à abandonner le ski, ce qui a représenté une perte sévère pour la branche tout entière.
Aujourd’hui, on pourrait se poser la question si ce type de chaussure peut ressusciter un jour ? (À suivre...)
dimanche, décembre 01, 2019
L’ouverture « constipée » de Park City
Cela faisait des années que nous n’avions pas eu autant de neige à la fin du mois de novembre, et en dépit de ces conditions d’enneigement parfaite, Park City Mountain ne semble pas fichu d’ouvrir plus largement son massif.
Un strict minimum de remontées aura donc suffit à agglutiner bien trop de monde sur des pistes dangereuses, étroites et courtes, et permettre à la station de glousser que la plus grande station des États-Unis était ouverte.
Les détenteurs du forfait Epic méritent bien mieux que cela et cela montre s’il le fallait que Vail Resorts se fiche royalement de ses clients.
Il y avait aussi beaucoup de visiteurs qui étaient venus en ville pour le week-end de Thanksgiving et qui auraient adoré profiter des pistes si le rapport qualité-prix offert par un forfait journalier de 144 dollars n’était tout simplement pas du vol manifeste.
Je me demande ce qui fait oublier à Vail Resorts ce qui motive les gens à skier, mais ce n’est sûrement pas son offre étriquée à des prix prohibitifs.
Un strict minimum de remontées aura donc suffit à agglutiner bien trop de monde sur des pistes dangereuses, étroites et courtes, et permettre à la station de glousser que la plus grande station des États-Unis était ouverte.
Les détenteurs du forfait Epic méritent bien mieux que cela et cela montre s’il le fallait que Vail Resorts se fiche royalement de ses clients.
Il y avait aussi beaucoup de visiteurs qui étaient venus en ville pour le week-end de Thanksgiving et qui auraient adoré profiter des pistes si le rapport qualité-prix offert par un forfait journalier de 144 dollars n’était tout simplement pas du vol manifeste.
Je me demande ce qui fait oublier à Vail Resorts ce qui motive les gens à skier, mais ce n’est sûrement pas son offre étriquée à des prix prohibitifs.
samedi, novembre 30, 2019
Leçons apprises en investissant ...
Cela fait presque 30 ans que j’achetais mes premières actions et me mettais à investir, mais à l’époque, je ne savais pas vraiment ce que je faisais.
Ce n’est que depuis le début des années 2000 que je suis devenu un investisseur plus sérieux et plus engagé. Disons 15 ans. J’ai commis des erreurs, fait de bonnes affaires et en général, j’ai eu beaucoup de chance.
J'ai appris que personne ne sait rien de ce que le marché va faire, qu’importent les qualifications ou la notoriété. J'ai également de suivre le célèbre précepte de Warren Buffet: « Essayons simplement d'avoir peur quand la foule s’excite et excitons nous seulement que lorsque celle-ci prend peur ».
J'ai aussi découvert que je ne devrais pas trop me stresser quand le marché baissait ou quand il m’arrivait de ne pas participer dans un marché en hausse.
En résumé, j’ai appris à rester très diversifié, être plus calme, patient et à ne jamais trop m'inquiéter.
Ce n’est que depuis le début des années 2000 que je suis devenu un investisseur plus sérieux et plus engagé. Disons 15 ans. J’ai commis des erreurs, fait de bonnes affaires et en général, j’ai eu beaucoup de chance.
J'ai appris que personne ne sait rien de ce que le marché va faire, qu’importent les qualifications ou la notoriété. J'ai également de suivre le célèbre précepte de Warren Buffet: « Essayons simplement d'avoir peur quand la foule s’excite et excitons nous seulement que lorsque celle-ci prend peur ».
J'ai aussi découvert que je ne devrais pas trop me stresser quand le marché baissait ou quand il m’arrivait de ne pas participer dans un marché en hausse.
En résumé, j’ai appris à rester très diversifié, être plus calme, patient et à ne jamais trop m'inquiéter.
vendredi, novembre 29, 2019
La bourse va-t-elle plonger ?
Après avoir battu tous les records ces derniers temps, le marché boursier américain ne montre aucun signe d’affaiblissement malgré toute l’incertitude sur nos échanges commerciaux et toutes les rumeurs de récession.
On peut donc se demander si le marché est surévalué et, en tant qu'investisseur, si il faut sortir avant de boire le bouillon ? Mon indice de référence habituel, qu’offre la publication Morningstar, indique que la bourse n’est surévalué que de 2%, tandis que le ratio CAPE (Cyclically adjusted price-to-earnings ratio) est une mesure d’évaluation qui s'applique au marché boursier américain et à l’indice S & P 500 en particulier.
Celui-ci est le résultat du prix du titre divisé par le moyenne des gains sur dix ans en tenant compte de l’inflation. Cette mesure est aussi utilisée pour voir si un titre est sous-évalué ou surévalué en comparant son prix actuel par rapport à sa performance passée en tenant compte de l'inflation. C'est similaire au ratio populaire cours / bénéfice, mais un peu plus pointu.
C’est l’idée de l’économiste américain Robert Shiller. Bien qu’il ne soit pas conçu pour indiquer un effondrement imminent des marchés, les valeurs élevées de cet indice CAPE sont souvent associées à des chutes brutales en bourse. À ce stade, cela n’est pas aussi grave qu’en 1999, mais le ratio est même assez élevé… Temps d’ouvrir l’œil !
On peut donc se demander si le marché est surévalué et, en tant qu'investisseur, si il faut sortir avant de boire le bouillon ? Mon indice de référence habituel, qu’offre la publication Morningstar, indique que la bourse n’est surévalué que de 2%, tandis que le ratio CAPE (Cyclically adjusted price-to-earnings ratio) est une mesure d’évaluation qui s'applique au marché boursier américain et à l’indice S & P 500 en particulier.
Celui-ci est le résultat du prix du titre divisé par le moyenne des gains sur dix ans en tenant compte de l’inflation. Cette mesure est aussi utilisée pour voir si un titre est sous-évalué ou surévalué en comparant son prix actuel par rapport à sa performance passée en tenant compte de l'inflation. C'est similaire au ratio populaire cours / bénéfice, mais un peu plus pointu.
C’est l’idée de l’économiste américain Robert Shiller. Bien qu’il ne soit pas conçu pour indiquer un effondrement imminent des marchés, les valeurs élevées de cet indice CAPE sont souvent associées à des chutes brutales en bourse. À ce stade, cela n’est pas aussi grave qu’en 1999, mais le ratio est même assez élevé… Temps d’ouvrir l’œil !
jeudi, novembre 28, 2019
Joyeux Thanksgiving !
Si vous n'êtes pas américain ou ne connaissez pas bien la culture d’outre-Atlantique, le jour de Thanksgiving (Action de Grace) est une fête nationale célébrée aux États-Unis, au Canada, dans certaines îles des Caraïbes et même au Libéria.
C’est un jour de remerciement pour la bénédiction de la récolte et de l’année précédente qui a évoluée dans les soldes que l’on connaît le jour suivant (Black Friday). Cette fête est célébré le deuxième lundi d’octobre au Canada et (aujourd’hui) le quatrième jeudi de novembre aux États-Unis.
Bien que Thanksgiving ait des racines historiques dans les traditions religieuses et culturelles, elle a longtemps été célébrée comme une fête laïque et aujourd'hui, beaucoup s'interrogent sur sa place, compte-tenu du traitement qui a ete réservé aux autochtones par les colons européens ...
mercredi, novembre 27, 2019
Ce qu’une (bonne) histoire doit raconter !
La semaine dernière, j’ai assisté (très brièvement) au 14e Festival des Cinéastes de Park City (Park City’s Annual Filmmaker Showcase). Il s’agissait d’une soirée de projection de courts métrages produits par des réalisateurs et des artistes de l’Utah.
J'y suis allé en quête d’inspiration, mais je n’en ai pas trouvé beaucoup.
Ce que j’ai pu remarquer, c’est que l’usage des drones, les manipulations d’images et les astuces techniques étaient au goût du jour, mais ce que j’ai trouvé fut plutôt une confirmation de ce que je savais déjà : à la base de tout bon film, il doit y avoir une histoire forte est bien racontée, et plus le film est court, plus c'est difficile de bien y parvenir.
J'aime faire des vidéos familiales et je continuerai d’en réaliser aussi longtemps que possible, en y donnant le meilleur de moi-même et en y ajoutant un zeste de ma personnalité !
J'y suis allé en quête d’inspiration, mais je n’en ai pas trouvé beaucoup.
Ce que j’ai pu remarquer, c’est que l’usage des drones, les manipulations d’images et les astuces techniques étaient au goût du jour, mais ce que j’ai trouvé fut plutôt une confirmation de ce que je savais déjà : à la base de tout bon film, il doit y avoir une histoire forte est bien racontée, et plus le film est court, plus c'est difficile de bien y parvenir.
J'aime faire des vidéos familiales et je continuerai d’en réaliser aussi longtemps que possible, en y donnant le meilleur de moi-même et en y ajoutant un zeste de ma personnalité !
mardi, novembre 26, 2019
Gastronomie en dessous de toute attente
Dimanche soir, nous avons décidé d’aller dîner au Montage, ce bel hôtel de luxe à Deer Valley.
L'Apex est leur meilleur restaurant, et lorsque nous sommes entrés dans la salle à manger, celle-ci était presque vide, ce qui est assez normal en cette période de basse saison où tout semble mort.
La salle était impressionnante, le menu cher comme nous nous y attendions, mais en plus assez difficile à déchiffrer. Quant à la carte des vins, elle était aussi longue que les bouteilles étaient chères! Nous avons commandé, sommes restés assis pendant un moment et bientôt, le froid venant de la porte vitrée extérieure était aussi sensible que mordant.
La qualité de la nourriture n'était pas en mesure de compenser ce petit inconvénient et toute l'expérience nous a laissé bien déçus. La grande rue de Park City, non seulement est beaucoup plus proche de notre maison, mais la nourriture qu’offre ses restaurant y est bien plus savoureuse et beaucoup plus abordable.
Le pire, c'est que nous avions déjà déjeuné à l’Apex en 2011 et que je l'avais totalement oubliée notre (mauvaise) expérience ! Conclusion, des aujourd’hui, nous laisserons le Montage à tous ces ignorants qui se font piéger trop facilement par un décor pompeux, un service obséquieux d’une part, et ne savent pas ce qu’est la bonne cuisine servie dans une atmosphère conviviale.
Cette fois, il faut que je note quelque part de ne jamais, jamais retourner à ce maudit resto !
L'Apex est leur meilleur restaurant, et lorsque nous sommes entrés dans la salle à manger, celle-ci était presque vide, ce qui est assez normal en cette période de basse saison où tout semble mort.
La salle était impressionnante, le menu cher comme nous nous y attendions, mais en plus assez difficile à déchiffrer. Quant à la carte des vins, elle était aussi longue que les bouteilles étaient chères! Nous avons commandé, sommes restés assis pendant un moment et bientôt, le froid venant de la porte vitrée extérieure était aussi sensible que mordant.
La qualité de la nourriture n'était pas en mesure de compenser ce petit inconvénient et toute l'expérience nous a laissé bien déçus. La grande rue de Park City, non seulement est beaucoup plus proche de notre maison, mais la nourriture qu’offre ses restaurant y est bien plus savoureuse et beaucoup plus abordable.
Le pire, c'est que nous avions déjà déjeuné à l’Apex en 2011 et que je l'avais totalement oubliée notre (mauvaise) expérience ! Conclusion, des aujourd’hui, nous laisserons le Montage à tous ces ignorants qui se font piéger trop facilement par un décor pompeux, un service obséquieux d’une part, et ne savent pas ce qu’est la bonne cuisine servie dans une atmosphère conviviale.
Cette fois, il faut que je note quelque part de ne jamais, jamais retourner à ce maudit resto !
lundi, novembre 25, 2019
C’est repartit pour une autre saison de ski !
Après avoir bien préparé tous les skis de la famille, installé mon porte-skis sur la voiture et vérifié que le reste de mon matos était bien de la partie, j'étais tout à fait prêt à commencer ma 67e saison de ski, un jour après la date d'ouverture officielle de Park City et moins de six mois après avoir rangé mes planches pour l'été.
Samedi dernier, le soleil était au rendez-vous, et bien que le fond de l'air fut assez froid, j'ai passé quelques bonnes heures à skier, sans aucune queue au télésiège, et n’ayant pour seul soucis que d'éviter adroitement tous les skieurs qui encombraient l’étroite bande de neige artificielle bien glacée.
Avec d’abondantes chutes de neige prévues pour aujourd'hui et le reste de la semaine, je me sens prêt physiquement et mentalement à entamer une autre saison de ski sous les meilleurs auspices ...
Samedi dernier, le soleil était au rendez-vous, et bien que le fond de l'air fut assez froid, j'ai passé quelques bonnes heures à skier, sans aucune queue au télésiège, et n’ayant pour seul soucis que d'éviter adroitement tous les skieurs qui encombraient l’étroite bande de neige artificielle bien glacée.
Avec d’abondantes chutes de neige prévues pour aujourd'hui et le reste de la semaine, je me sens prêt physiquement et mentalement à entamer une autre saison de ski sous les meilleurs auspices ...
dimanche, novembre 24, 2019
Une expression ambiguë
Il y a des décennies de cela, alors que je vivais encore en France, un jour que je me sentais très triste et déprimé, on m’avait dit : « chin up ! », un peu pour me botter les fesses et me réveiller.
À l'époque, mon anglais était assez limité et je n'avais pas bien compris le sens des deux mots « chin up ! » Depuis, j’ai appris que c’était ce que l’on disait à quelqu’un confronté à une situation difficile, pour l’encourager à faire preuve de courage, à ne pas sombrer dans la tristesse et à aller de l’avant.
Bien entendu, tout cela est assez ambigu et ce précepte écrit à la main par une personne non-anglophone pouvait encore ajouter à la confusion, de sorte que toutes les parties impliquées dans cet échange sont peut-être passée - ou pas - « à coté de la plaque » dans cet enchevêtrement d'ambiguïtés ...
À l'époque, mon anglais était assez limité et je n'avais pas bien compris le sens des deux mots « chin up ! » Depuis, j’ai appris que c’était ce que l’on disait à quelqu’un confronté à une situation difficile, pour l’encourager à faire preuve de courage, à ne pas sombrer dans la tristesse et à aller de l’avant.
Bien entendu, tout cela est assez ambigu et ce précepte écrit à la main par une personne non-anglophone pouvait encore ajouter à la confusion, de sorte que toutes les parties impliquées dans cet échange sont peut-être passée - ou pas - « à coté de la plaque » dans cet enchevêtrement d'ambiguïtés ...
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samedi, novembre 23, 2019
John Bolton serait-il le lanceur d'alerte ?
Même s’il n’était pas impliqué dans le désormais fameux coup de téléphone du 25 juillet qui, du coté américain, réunissait Donald Trump, Mike Pompeo, Robert Blair, Mick Mulvaney, Keith Kellogg, Jennifer Williams, Charles Kupperman, Timothy Morrison et Alexander Vindman, celui-ci a bien du parvenir aux oreilles de John Bolton et - à mon humble avis – faire de lui le mystérieux lanceur d'alerte qui a déposé sa plainte le 12 août.
D’après ce que nous avons appris lors des différents témoignages, il n’était pas du tout content de la transaction concoctée par Trump et Guiliani.
Il a démissionné de son poste de conseiller à la sécurité nationale le 10 septembre, juste un jour avant la libération des fonds destinés à l'Ukraine. Bolton n'avait probablement aucun désir de témoigner, ce qui aurait pu alors dévoiler le pot aux roses, et ne voulait pas non plus compromettre le reste de sa carrière au sein du parti républicain.
Cela n’empêche toutefois pas que je le soupçonne d’avoir révélé cette conversation. Je ne suis pas un fan des théories de complot, mais celle-ci a me paraît plutôt plausible …
D’après ce que nous avons appris lors des différents témoignages, il n’était pas du tout content de la transaction concoctée par Trump et Guiliani.
Il a démissionné de son poste de conseiller à la sécurité nationale le 10 septembre, juste un jour avant la libération des fonds destinés à l'Ukraine. Bolton n'avait probablement aucun désir de témoigner, ce qui aurait pu alors dévoiler le pot aux roses, et ne voulait pas non plus compromettre le reste de sa carrière au sein du parti républicain.
Cela n’empêche toutefois pas que je le soupçonne d’avoir révélé cette conversation. Je ne suis pas un fan des théories de complot, mais celle-ci a me paraît plutôt plausible …
vendredi, novembre 22, 2019
De moins en moins clair !
C'est ce que j’ai pensé après avoir regardé le 5e débat démocratique mercredi soir.
On devrait pouvoir s’attendre à ce qu’au fur et à mesure que ce processus de sélection progresse, un leader se dessine, et j’étais complètement déçu quand j’ai réalisé que les cartes semblaient avoir étés redistribuées et que je ne savais toujours pas pour qui je voterais lors des élections primaires.
Pour des raisons d’âge et de vulnérabilité vis-à-vis de Trump, je continue de penser que Biden n’est pas le bon choix. Sanders s’est mieux comportée que d’habitude lors ce débat, mais il est toujours vieux, radoteur et continue de s’appeler « socialiste ».
Warren, qui semble toujours en vouloir aux riches, qui n’offre qu’un plan assez irréaliste et un impôt sur la fortune a perdu beaucoup de son attrait en ce qui me concerne. Il y a aussi maintenant quelque chose en Buttigieg qui me déplaît et je n’ai plus confiance en Harris.
Enfin, Klobuchar serait maintenant ma préférée, mais compte tenu de ce qui m’arrive aujourd’hui, je ferai mieux d’attendre le prochain débat pour mettre à jour mon état de désorientation !
On devrait pouvoir s’attendre à ce qu’au fur et à mesure que ce processus de sélection progresse, un leader se dessine, et j’étais complètement déçu quand j’ai réalisé que les cartes semblaient avoir étés redistribuées et que je ne savais toujours pas pour qui je voterais lors des élections primaires.
Pour des raisons d’âge et de vulnérabilité vis-à-vis de Trump, je continue de penser que Biden n’est pas le bon choix. Sanders s’est mieux comportée que d’habitude lors ce débat, mais il est toujours vieux, radoteur et continue de s’appeler « socialiste ».
Warren, qui semble toujours en vouloir aux riches, qui n’offre qu’un plan assez irréaliste et un impôt sur la fortune a perdu beaucoup de son attrait en ce qui me concerne. Il y a aussi maintenant quelque chose en Buttigieg qui me déplaît et je n’ai plus confiance en Harris.
Enfin, Klobuchar serait maintenant ma préférée, mais compte tenu de ce qui m’arrive aujourd’hui, je ferai mieux d’attendre le prochain débat pour mettre à jour mon état de désorientation !
jeudi, novembre 21, 2019
La rédemption des skis
Cette semaine, je suis en train de travailler sur les skis de la famille. Cela inclus mes skis de « caillasse » et représente cinq paires dans différents états de délabrement, les skis de caillasse étant les pires.
C’est le moment de l’année où il est temps de payer pour ces mauvaises rencontres avec des souches, des pierres et des graviers qui ont tous fait une forte impression sur les semelles en cours de saison.
Pourtant, je devrais être reconnaissant que la saison dernière ait été dans l’ensemble aussi bien enneigée, et que seules les premières semaines d’hiver ont contribué à faire le plus gros des dégâts que j’ai pu constater.
En fait, il n’y a rien qu’une bougie de P-tex et qu’un limage énergique à la main ne sauraient résoudre…
Tout cela pour dire que ce travail assez pénible devrait servir de le leçon qui devrait me faire réfléchir deux fois avant d’engager mes planches dans des pentes inconnues et hostiles au cours de ces prochains mois !
C’est le moment de l’année où il est temps de payer pour ces mauvaises rencontres avec des souches, des pierres et des graviers qui ont tous fait une forte impression sur les semelles en cours de saison.
Pourtant, je devrais être reconnaissant que la saison dernière ait été dans l’ensemble aussi bien enneigée, et que seules les premières semaines d’hiver ont contribué à faire le plus gros des dégâts que j’ai pu constater.
En fait, il n’y a rien qu’une bougie de P-tex et qu’un limage énergique à la main ne sauraient résoudre…
Tout cela pour dire que ce travail assez pénible devrait servir de le leçon qui devrait me faire réfléchir deux fois avant d’engager mes planches dans des pentes inconnues et hostiles au cours de ces prochains mois !
mercredi, novembre 20, 2019
La légalisation du mensonge
Notre président a introduit les États-Unis d'Amérique dans un monde où le mensonge est roi et nous a montré que, jusqu'à un certain point, cela fonctionne merveilleusement bien.
Non seulement a-t-il vulgarisé le mensonge qui dépanne, mais il a également promu l’usage généralisé de l'incivilité dans la pratique courante, rendant celle-ci de plus en plus acceptable. Cela inclut les insultes et les injures en tout genres qui en disent long sur ses compétences pédagogiques et son intarissable créativité.
Bien sûr, les résultats sont terrifiants et ne constituent pas le genre d’exemple qu’il faudrait offrir à une nouvelle génération. Cela va tellement loin que cela me fait regretter l’usage de la langue de bois et du style « politiquement correct ».
Je me résigne à constater que c'est ce qui se produit quand le pendule est poussé trop fort dans la mauvaise direction ...
Non seulement a-t-il vulgarisé le mensonge qui dépanne, mais il a également promu l’usage généralisé de l'incivilité dans la pratique courante, rendant celle-ci de plus en plus acceptable. Cela inclut les insultes et les injures en tout genres qui en disent long sur ses compétences pédagogiques et son intarissable créativité.
Bien sûr, les résultats sont terrifiants et ne constituent pas le genre d’exemple qu’il faudrait offrir à une nouvelle génération. Cela va tellement loin que cela me fait regretter l’usage de la langue de bois et du style « politiquement correct ».
Je me résigne à constater que c'est ce qui se produit quand le pendule est poussé trop fort dans la mauvaise direction ...
mardi, novembre 19, 2019
La technique Steve Bannon
Il y a quelques semaines, j'avais offert une analyse détaillée de ce que je pensais de Steve Bannon et hier soir, je le revois une fois de plus dans une interview de la chaîne Vice, menée par Liz Landers, une journaliste très compétente, une milléniale (en anglais seulement, à voir ci-dessous).
En regardant bien, j’ai observé une fois de plus que M. Bannon utilisait quelques outils essentiels pour la grande gueule qu’il est, à savoir qu'il parle très, très vite, pour que personne n'ait le temps d'analyser ce qui est réellement dit et à la fin, cette juxtaposition incessante de mots qui se succèdent, n'a pas beaucoup de sens, et se trouve généralement dépourvues de faits appuyant son argument.
De plus, Bannon ne laisse aucune place aux interruptions, interactions ou au simple dialogue, car il est essentiel qu’il débite ses mots tout le temps, sans s’arrêter. Enfin, sa présentation unique (style débraillé, mauvaise dentition, mal rasé, sale) est une distraction supplémentaire par rapport au contenu - ou à son absence – qu’il débite.
Grandes Gueules du monde entier, suivez bien sa façon d’opérer si vous voulez faire forte impression sur les personnes mentalement mal loties !
En regardant bien, j’ai observé une fois de plus que M. Bannon utilisait quelques outils essentiels pour la grande gueule qu’il est, à savoir qu'il parle très, très vite, pour que personne n'ait le temps d'analyser ce qui est réellement dit et à la fin, cette juxtaposition incessante de mots qui se succèdent, n'a pas beaucoup de sens, et se trouve généralement dépourvues de faits appuyant son argument.
De plus, Bannon ne laisse aucune place aux interruptions, interactions ou au simple dialogue, car il est essentiel qu’il débite ses mots tout le temps, sans s’arrêter. Enfin, sa présentation unique (style débraillé, mauvaise dentition, mal rasé, sale) est une distraction supplémentaire par rapport au contenu - ou à son absence – qu’il débite.
Grandes Gueules du monde entier, suivez bien sa façon d’opérer si vous voulez faire forte impression sur les personnes mentalement mal loties !
lundi, novembre 18, 2019
Angoisses saisonnières
Lorsque j'ai décidé de devenir moniteur de ski (?) il y a tout juste 50 ans, je savais qu'il me faudrait un autre emploi rémunéré pendant les sept ou huit autres mois de l'année.
Dès le départ, j'avais déjà développé une « anxiété saisonnière » qui n’allait plus vraiment me quitter pendant les cinq années qui allaient suivre. J’avais peu d’intérêt à devenir aubergiste, restaurateur ou vendeur de souvenirs, comme j’en avait fait l’expérience quand je travaillais avec mes parents.
Au début, je m’étais fixé comme objectif de devenir géomètre-expert. Cette tentative à ce que je pensais être une carrière honorable m'avait emmenée, au printemps 1970, dans la station de ski de Saint-Gervais, juste en dessous du Mont. Blanc, où j'ai travaillé environ trois mois avant de jeter l'éponge.
L’automne suivant, j’ai essayé de devenir métreur-vérificateur, à Cluses. Il s’agissait là d’une activité assez bizarre dans le bâtiment qui n’a pas suffisamment su m’inspirer pour que je continue.
Puis, pendant les deux étés suivants, mes angoisses saisonnières ont pris une pause bien méritée quand j’ai décidé d’aller enseigner le ski en Australie pendant les saisons d’hiver australes. Cette activité, tout en étant très amusante et au demeurant assez logique, ne me permettait pas vraiment de « casser la croûte » et n’était donc pas viable à long terme.
L'année suivante, je me suis concentré sur l'acquisition de nouvelles compétences linguistiques (allemand et italien). De plus, à la demande de mon ami Michel Duret, j’avais passé un mois à Paris pour y vendre et prospecter les skis qu’il fabriquait ; un bon stage en préparation à une future carrière dont j’ignorais encore la possibilité !
Enfin, en janvier 1974, mon ami J.P. Chatellard m'a suggéré de tenter ma chance en cherchant un emploi dans la branche du ski et plus spécifiquement dans le domaine du ski de compétition.
J'ai bien écouté ses conseils, suivi plusieurs des offres d’emploi dont il m’avait parlé, décroché un poste auprès des fixations Look et mis ainsi un terme définitif à mes angoisses saisonnières récurrentes !
Dès le départ, j'avais déjà développé une « anxiété saisonnière » qui n’allait plus vraiment me quitter pendant les cinq années qui allaient suivre. J’avais peu d’intérêt à devenir aubergiste, restaurateur ou vendeur de souvenirs, comme j’en avait fait l’expérience quand je travaillais avec mes parents.
Au début, je m’étais fixé comme objectif de devenir géomètre-expert. Cette tentative à ce que je pensais être une carrière honorable m'avait emmenée, au printemps 1970, dans la station de ski de Saint-Gervais, juste en dessous du Mont. Blanc, où j'ai travaillé environ trois mois avant de jeter l'éponge.
L’automne suivant, j’ai essayé de devenir métreur-vérificateur, à Cluses. Il s’agissait là d’une activité assez bizarre dans le bâtiment qui n’a pas suffisamment su m’inspirer pour que je continue.
Puis, pendant les deux étés suivants, mes angoisses saisonnières ont pris une pause bien méritée quand j’ai décidé d’aller enseigner le ski en Australie pendant les saisons d’hiver australes. Cette activité, tout en étant très amusante et au demeurant assez logique, ne me permettait pas vraiment de « casser la croûte » et n’était donc pas viable à long terme.
L'année suivante, je me suis concentré sur l'acquisition de nouvelles compétences linguistiques (allemand et italien). De plus, à la demande de mon ami Michel Duret, j’avais passé un mois à Paris pour y vendre et prospecter les skis qu’il fabriquait ; un bon stage en préparation à une future carrière dont j’ignorais encore la possibilité !
J'ai bien écouté ses conseils, suivi plusieurs des offres d’emploi dont il m’avait parlé, décroché un poste auprès des fixations Look et mis ainsi un terme définitif à mes angoisses saisonnières récurrentes !
dimanche, novembre 17, 2019
La nature profonde de Trump
Nous nous sommes surpris d’avoir presque regardé toute l’audience où Marie Yovanovitch, l’ancienne ambassadrice d’Ukraine, témoignait dans le cadre du processus de destitution engagé contre Donald Trump.
Nous avons tout simplement trouvé son témoignage fascinant. Bien sûr, Trump n'a pas pu s’empêcher de Twitter un commentaire particulièrement désobligeants, en plein milieu de sa déposition, ce qui est revenu pour lui à s’enfoncer d’avantage dans le bourbier qu’il s’est créé.
Cela m'a rappelé ce conte russe de la grenouille et du scorpion, dans lequel - vous l'avez deviné - Donald Trump est le scorpion:
Un scorpion, qui ne sait pas nager, demande à une grenouille de le transporter sur l’autre rive d’une rivière. D’abord, la grenouille hésite, craignant de se faire piquer par le scorpion, mais le scorpion lui explique que s'il le faisait, ils se noieraient tous les deux.
La grenouille accepte cet argument car la piquer conduirait tous les deux à leur perte. Au beau milieu de la rivière, le scorpion pique la grenouille, les condamnant tous les deux. Avant de mourir, la grenouille demande au scorpion pourquoi il a agi ainsi, ce à quoi le scorpion répond: "C'est dans ma nature, je ne pouvais pas m'en empêcher."
Nous avons tout simplement trouvé son témoignage fascinant. Bien sûr, Trump n'a pas pu s’empêcher de Twitter un commentaire particulièrement désobligeants, en plein milieu de sa déposition, ce qui est revenu pour lui à s’enfoncer d’avantage dans le bourbier qu’il s’est créé.
Cela m'a rappelé ce conte russe de la grenouille et du scorpion, dans lequel - vous l'avez deviné - Donald Trump est le scorpion:
Un scorpion, qui ne sait pas nager, demande à une grenouille de le transporter sur l’autre rive d’une rivière. D’abord, la grenouille hésite, craignant de se faire piquer par le scorpion, mais le scorpion lui explique que s'il le faisait, ils se noieraient tous les deux.
La grenouille accepte cet argument car la piquer conduirait tous les deux à leur perte. Au beau milieu de la rivière, le scorpion pique la grenouille, les condamnant tous les deux. Avant de mourir, la grenouille demande au scorpion pourquoi il a agi ainsi, ce à quoi le scorpion répond: "C'est dans ma nature, je ne pouvais pas m'en empêcher."
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samedi, novembre 16, 2019
OK, Boomer
Je ne dois plus être tellement dans le coup, car ce n'est que récemment que j'ai pris conscience de cette expression américaine « OK, Boomer » (Ça suffit, gens de l’après-guerre) qui est devenue le point de démarcation de nos générations.
Cette expression d'argot n'est en fait pas si ancienne que cela, car elle n’a fait son apparition qu'en début d'année et qu'on l’attribue aux jeunes adultes nés avant 1983, en réponse ou en réaction à leurs « anciens » identifiés à juste titre de « baby-boomers ».
Ceux-ci sont accusés de publier des informations jugées condescendantes par ces nouvelles générations ou peuvent, dans certains cas, exacerber leur sensibilités. Appelez cela une réaction instinctive, si vous voulez, par rapport à une guerre de mots qui divisent les générations.
Certains y verront une réponse prévisible d'adolescents et de jeunes adultes à des vidéos ringardes, à tous ceux qui résistent aux changements technologiques, qui nient tout changement climatique, aux tweets de Trump, et à tous les commentaires qui s’opposent aux générations futures et qui émanent d'individus âgés de plus de 40 ans.
D’après ce que j’ai lu et entendu, un grand nombre de baby-boomers n’apprécient pas trop l’expression « OK, Boomer ». Il y a quelque jours, Bob Lonsberry, un animateur radio avait mis les pieds dans le plat en tweetant que « Boomer » était devenu le mot d'ordre de l'âgisme.
Malgré ce duel qui risque de durer bien longtemps, je ne me sens pas trop concerné car je continue de penser que je reste très jeune d’esprit, que je suis toujours super progressiste, et je ne me sens pas du tout préoccupé si je devais entendre « OK, Boomer », je serai convaincu que cette interjection ne m’est pas vraiment destinée !
Cette expression d'argot n'est en fait pas si ancienne que cela, car elle n’a fait son apparition qu'en début d'année et qu'on l’attribue aux jeunes adultes nés avant 1983, en réponse ou en réaction à leurs « anciens » identifiés à juste titre de « baby-boomers ».
Ceux-ci sont accusés de publier des informations jugées condescendantes par ces nouvelles générations ou peuvent, dans certains cas, exacerber leur sensibilités. Appelez cela une réaction instinctive, si vous voulez, par rapport à une guerre de mots qui divisent les générations.
Certains y verront une réponse prévisible d'adolescents et de jeunes adultes à des vidéos ringardes, à tous ceux qui résistent aux changements technologiques, qui nient tout changement climatique, aux tweets de Trump, et à tous les commentaires qui s’opposent aux générations futures et qui émanent d'individus âgés de plus de 40 ans.
D’après ce que j’ai lu et entendu, un grand nombre de baby-boomers n’apprécient pas trop l’expression « OK, Boomer ». Il y a quelque jours, Bob Lonsberry, un animateur radio avait mis les pieds dans le plat en tweetant que « Boomer » était devenu le mot d'ordre de l'âgisme.
Malgré ce duel qui risque de durer bien longtemps, je ne me sens pas trop concerné car je continue de penser que je reste très jeune d’esprit, que je suis toujours super progressiste, et je ne me sens pas du tout préoccupé si je devais entendre « OK, Boomer », je serai convaincu que cette interjection ne m’est pas vraiment destinée !
vendredi, novembre 15, 2019
Passons au solaire !
Mercredi dernier, nous sommes finalement passés à l’ère de l’énergie solaire.
Il est vrai qu’avec une moyenne de 229 jours d’ensoleillement par an, il serait insensé de ne pas exploiter cette énergie. Il est également probable que notre prochain véhicule sera un électrique et qu’il se rechargera pendant que l’astre solaire brille.
Il y a aussi le réchauffement climatique et la probabilité que nous ayons d’avantage besoin de climatisation dans les années à venir. Enfin, on pourrait aussi dire que c’est peut-être pour compenser tous mes nombreux voyages en avion pendant ma carrière professionnelle, même si cela ne pourra jamais ni effacer, ni pardonner mon empreinte carbone.
Même si notre consommation actuelle électricité est faible, ce sont autant de bonnes raisons pour aller de l’avant et faire un petit effort pour préserver notre planète en détresse!
Bien sûr, comme ma femme l’a fait, je suis sûr que vous demanderez « Mais comment un panneau photo-voltaïque peut-il transformer les rayons du soleil en électricité ? »
Ma réponse : « Excellente question. C’est en fait une combinaison de soleil et de sable, et vous comprendrez toute cette histoire en visionnant la vidéo qui suit ! »
Il est vrai qu’avec une moyenne de 229 jours d’ensoleillement par an, il serait insensé de ne pas exploiter cette énergie. Il est également probable que notre prochain véhicule sera un électrique et qu’il se rechargera pendant que l’astre solaire brille.
Il y a aussi le réchauffement climatique et la probabilité que nous ayons d’avantage besoin de climatisation dans les années à venir. Enfin, on pourrait aussi dire que c’est peut-être pour compenser tous mes nombreux voyages en avion pendant ma carrière professionnelle, même si cela ne pourra jamais ni effacer, ni pardonner mon empreinte carbone.
Même si notre consommation actuelle électricité est faible, ce sont autant de bonnes raisons pour aller de l’avant et faire un petit effort pour préserver notre planète en détresse!
Bien sûr, comme ma femme l’a fait, je suis sûr que vous demanderez « Mais comment un panneau photo-voltaïque peut-il transformer les rayons du soleil en électricité ? »
Ma réponse : « Excellente question. C’est en fait une combinaison de soleil et de sable, et vous comprendrez toute cette histoire en visionnant la vidéo qui suit ! »
jeudi, novembre 14, 2019
De la course à la marche ...
Depuis des décennies, nous avons étés des coureurs passionnés et réguliers. Ce n’est guère que ces dernières années que nous avons quelque peu ralenti et avons cessés la course à pied et passés à la marche.
J'avais du mal à gravir une pente raide sur notre parcours habituel et ma femme était inquiète pour ses genoux. Aujourd’hui, nous ne marchons pas en nous promenant, mais allons quand même plutôt vite.
Les scientifiques disent qu'une personne de 72,5 kg marchant à 5,6 km / h pendant 30 minutes consommerait environ 156 calories. D'un autre coté, courir à une vitesse de 9,6 km / h pendant ces mêmes 30 minutes en brûlerait plus du double.
Une autre façon de voir les choses, est qu'il faudra un peu plus de deux fois plus de temps pour parcourir la même distance en marchant plutôt qu’en courant pour dépenser autant de calories.
La principale différence étant que la course à pied est moins efficace et plus fatigante que la marche, donc celle-ci brûle plus de calories dans le même laps de temps.
La bonne nouvelle est que nous disposons désormais de beaucoup plus de temps qu’avant, et que nous pouvons désormais nous permettre de parcourir nos 10 km quotidiens sans avoir à courir !
J'avais du mal à gravir une pente raide sur notre parcours habituel et ma femme était inquiète pour ses genoux. Aujourd’hui, nous ne marchons pas en nous promenant, mais allons quand même plutôt vite.
Les scientifiques disent qu'une personne de 72,5 kg marchant à 5,6 km / h pendant 30 minutes consommerait environ 156 calories. D'un autre coté, courir à une vitesse de 9,6 km / h pendant ces mêmes 30 minutes en brûlerait plus du double.
Une autre façon de voir les choses, est qu'il faudra un peu plus de deux fois plus de temps pour parcourir la même distance en marchant plutôt qu’en courant pour dépenser autant de calories.
La principale différence étant que la course à pied est moins efficace et plus fatigante que la marche, donc celle-ci brûle plus de calories dans le même laps de temps.
La bonne nouvelle est que nous disposons désormais de beaucoup plus de temps qu’avant, et que nous pouvons désormais nous permettre de parcourir nos 10 km quotidiens sans avoir à courir !
mercredi, novembre 13, 2019
Le champion de l’insulte
Le seul vrai talent de Trump c'est d’insulter les gens, et en particulier ses adversaires.
Nous l'avons tous entendu appeler Biden « Joe qui roupille », Sanders « Bernie le fou », Clinton « Hillary la tordue », Pelosi « Nerveuse Nancy », etc.
Si j'étais la victime de ses insultes, ma réaction instinctive serait de lui rendre la pareille, mais la plupart des gens plus intelligents que moi disent que cela reviendrait à valider ce que dit Trump en lui répondant de la sorte, car cela ne vaut surtout pas la peine de dépenser la moindre énergie pour adopter un style de communication auquel nous ne croyons pas.
Être insulté n’est jamais agréable, mais ce qui compte est notre façon de réagir. Si la personne attaquée se prend au jeu, c'est Trump le gagnant.
Dans d’autres circonstances et selon le style d’insulte, il pourrait y avoir une ouverture, comme celle-ci, illustrée par l’ancien secrétaire à la Défense James Mattis, qui avait été traité de « surévalué » par Trump.
Mattis y avait répondu ainsi : « Je ne suis pas simplement un général surévalué. Je suis le plus grand, le plus surestimé de tous le généraux. Je suis honoré que Donald Trump prenne cela en considération, car il a également qualifié Meryl Streep d'actrice surestimée. Je suppose donc que je suis le Meryl Streep des généraux et, franchement, cela me semble plutôt flatteur. En plus, il faut bien reconnaître qu’entre moi et Meryl, au moins nous avons eu pas mal de victoires. »
Mattis n’a pas à défendre sa performance ; celle-ci parle pour elle-même et la personne ridiculisée a été ce cher Trump ...
Nous l'avons tous entendu appeler Biden « Joe qui roupille », Sanders « Bernie le fou », Clinton « Hillary la tordue », Pelosi « Nerveuse Nancy », etc.
Si j'étais la victime de ses insultes, ma réaction instinctive serait de lui rendre la pareille, mais la plupart des gens plus intelligents que moi disent que cela reviendrait à valider ce que dit Trump en lui répondant de la sorte, car cela ne vaut surtout pas la peine de dépenser la moindre énergie pour adopter un style de communication auquel nous ne croyons pas.
Être insulté n’est jamais agréable, mais ce qui compte est notre façon de réagir. Si la personne attaquée se prend au jeu, c'est Trump le gagnant.
Dans d’autres circonstances et selon le style d’insulte, il pourrait y avoir une ouverture, comme celle-ci, illustrée par l’ancien secrétaire à la Défense James Mattis, qui avait été traité de « surévalué » par Trump.
Mattis y avait répondu ainsi : « Je ne suis pas simplement un général surévalué. Je suis le plus grand, le plus surestimé de tous le généraux. Je suis honoré que Donald Trump prenne cela en considération, car il a également qualifié Meryl Streep d'actrice surestimée. Je suppose donc que je suis le Meryl Streep des généraux et, franchement, cela me semble plutôt flatteur. En plus, il faut bien reconnaître qu’entre moi et Meryl, au moins nous avons eu pas mal de victoires. »
Mattis n’a pas à défendre sa performance ; celle-ci parle pour elle-même et la personne ridiculisée a été ce cher Trump ...
mardi, novembre 12, 2019
« Vendre » l’idée du contrôle de population
La petite Greta Thunberg s'est montrée extrêmement capable et efficace en faisant comprendre à la population que prendre l’avion n’était pas bon pour l'environnement, quand elle a fait son aller-retour en en Amérique en voilier.
Maintenant, les gens qui se disent « cool » pensent désormais que les vols commerciaux devraient être interdits ou du moins réduits. Interdire certains comportements comme fumer ou contraindre les couples chinois à n'avoir qu'un seul enfant ne fonctionne jamais. Le changement de comportement doit venir de l'individu concerné.
Dans les années 70, quand il est devenu évident que l'usage du tabac était en train de tuer la population, l'Amérique a été capable de décrire le tabagisme comme étant une habitude « rustre » et peu évoluée. Assez rapidement, l'habitude de fumer a chuté à un rythme fascinant.
La détérioration de notre planète (réchauffement, pollution, etc.) est le résultat direct de la surpopulation. En 1800, au début de la révolution industrielle, la population de la planète venait d’atteindre le milliard de personnes. Aujourd'hui, nous en sommes à 7,7 milliards et cela continue d’augmenter.
Arrêter cette croissance serait fabuleux avant que nous puissions commencer à penser à la ramener à des niveaux plus durables, mais pour y parvenir, nous devons convaincre la plus grande partie du monde que ce serait effectivement une très bonne idée.
Des concepts tels que « les enfants coûtent très cher à élever », « il est préférable d'avoir un enfant bien éduqué qu’une flopée qui aura beaucoup du mal à trouver sa place dans la société », « les robots tuent des emplois, pourquoi augmenter les rangs des chômeurs », etc. L'idée est de n’avoir qu’un seul enfant devrait être « cool », c'est aussi simple que cela.
Bien sûr, les économistes et les hommes politiques vont résister, eux qui prêchent pour une croissance constante et continue, mais nous devrions tous savoir maintenant que la croissance, pour le plaisir de celle-ci, tue la planète et nous tue tous en même temps.
Greta, il est maintenant temps de montrer au monde comment utiliser une capote anglaise !
Maintenant, les gens qui se disent « cool » pensent désormais que les vols commerciaux devraient être interdits ou du moins réduits. Interdire certains comportements comme fumer ou contraindre les couples chinois à n'avoir qu'un seul enfant ne fonctionne jamais. Le changement de comportement doit venir de l'individu concerné.
Dans les années 70, quand il est devenu évident que l'usage du tabac était en train de tuer la population, l'Amérique a été capable de décrire le tabagisme comme étant une habitude « rustre » et peu évoluée. Assez rapidement, l'habitude de fumer a chuté à un rythme fascinant.
La détérioration de notre planète (réchauffement, pollution, etc.) est le résultat direct de la surpopulation. En 1800, au début de la révolution industrielle, la population de la planète venait d’atteindre le milliard de personnes. Aujourd'hui, nous en sommes à 7,7 milliards et cela continue d’augmenter.
Arrêter cette croissance serait fabuleux avant que nous puissions commencer à penser à la ramener à des niveaux plus durables, mais pour y parvenir, nous devons convaincre la plus grande partie du monde que ce serait effectivement une très bonne idée.
Des concepts tels que « les enfants coûtent très cher à élever », « il est préférable d'avoir un enfant bien éduqué qu’une flopée qui aura beaucoup du mal à trouver sa place dans la société », « les robots tuent des emplois, pourquoi augmenter les rangs des chômeurs », etc. L'idée est de n’avoir qu’un seul enfant devrait être « cool », c'est aussi simple que cela.
Bien sûr, les économistes et les hommes politiques vont résister, eux qui prêchent pour une croissance constante et continue, mais nous devrions tous savoir maintenant que la croissance, pour le plaisir de celle-ci, tue la planète et nous tue tous en même temps.
Greta, il est maintenant temps de montrer au monde comment utiliser une capote anglaise !
lundi, novembre 11, 2019
Retour aux années 60 ?
Hier, en fin d’après midi, nous sommes tombés sur la réincarnation du fameux bus Volkswagen de l’ère hippie.
Cette fois, il avait prit l’apparence d’un gros monospace Toyota, assez récent, avec tout ce qu’il fallait du style de sa peinture aux bons symboles exhortant paix et écologie.
Je suis aussitôt retombé dans ma jeunesse pas si lointaine et, pendant un bon moment, j'ai pensé qu'il serait merveilleux de sauter dans ce véhicule pour commencer un long voyage routier à travers une Amérique qui a tellement changée !
Cette fois, il avait prit l’apparence d’un gros monospace Toyota, assez récent, avec tout ce qu’il fallait du style de sa peinture aux bons symboles exhortant paix et écologie.
Je suis aussitôt retombé dans ma jeunesse pas si lointaine et, pendant un bon moment, j'ai pensé qu'il serait merveilleux de sauter dans ce véhicule pour commencer un long voyage routier à travers une Amérique qui a tellement changée !
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dimanche, novembre 10, 2019
Clôtures, murs et humanité
Hier, lors de la cérémonie marquant le 30e anniversaire de la chute du mur de Berlin, Angela Merkel déclarait que « Le Mur de Berlin appartient à l’Histoire et nous enseigne qu’aucun mur qui exclut les gens et restreint la liberté n’est assez haut ou long qu’il ne puisse être franchi. »
En dépit de ses propos, nous avons encore trop de murs, comme entre Israël et la Palestine et entre les États-Unis et le Mexique. Comme les murs, les clôtures ou les haies entourant les maisons interdisent le libre accès et sont un signe de peur et non pas de fraternité humaine.
Si ces clôtures ne sont pas en place pour contenir des chiens méchants ou protéger des enfants en bas âge, elles devraient toutes être éliminées. La planète n’a pas été créée pour être clôturée, et la meilleure utilisation d’un mur est de le transformer en attraction touristique comme la Grande Muraille de Chine ou le mur symbolique qui reste encore dans Berlin n’est juste bon qu’à cadrer des selfies !
En dépit de ses propos, nous avons encore trop de murs, comme entre Israël et la Palestine et entre les États-Unis et le Mexique. Comme les murs, les clôtures ou les haies entourant les maisons interdisent le libre accès et sont un signe de peur et non pas de fraternité humaine.
Si ces clôtures ne sont pas en place pour contenir des chiens méchants ou protéger des enfants en bas âge, elles devraient toutes être éliminées. La planète n’a pas été créée pour être clôturée, et la meilleure utilisation d’un mur est de le transformer en attraction touristique comme la Grande Muraille de Chine ou le mur symbolique qui reste encore dans Berlin n’est juste bon qu’à cadrer des selfies !
samedi, novembre 09, 2019
SKI ressuscite son classement de stations
L’année dernière, le magazine SKI annonçait qu’il abandonnait son classement des stations de ski américaines.
Toutefois, comme un alcoolique qui rechute, SKI a décidé de le rétablir cette saison. Le résultat n’est pas beau, en tout cas, c’est mon opinion personnelle.
Bien que le numéro de SKI consacré à ce sondage n’explique pas sa méthodologie, j’imagine que le magazine a interrogé ses lecteurs. Bien sûr, nous ne savons pas combien de personnes lisent SKI ces jours.
La carte de tarif publicitaire du magasine revendique un tirage de 300 000 exemplaires (ce qui est toujours un peu exagéré), dont moins de la moitié est payant, ce qui veut peut-être dire entre 100 000 et 125 000 exemplaires.
Cette saison, Deer Valley a cessé d’offrir un abonnement gratuit à SKI avec ses forfaits saisonniers, ce qui a réduit le nombre de gens prêts à voter pour cette station et explique en partie pourquoi celle-ci est passée de son « top 3 » habituel au 5e rang.
Une station qui joint un abonnement gratuit à ses ventes de forfaits saison et pousse agressivement pour que les détenteurs du forfait votent pour la station en question, peuvent affecter considérablement les résultats finals, et comme nous n'avons aucune idée du nombre de lecteurs qui ont voté, cela pourrait expliquer les résultats plutôt surprenants de cette saison.
Cela dit, j’ai la conviction que ce genre de sondage devrait être basé sur l’agglomération de destination (par exemple, Park City pour Deer Valley et Park City Mountain, ou la vallée de Vail pour Vail et Beaver Creek, etc.) plutôt que pour un massif skiable particulier.
Cela serait bien plus révélateur de ce qu'une destination de montagne peu offrir, qu’il s’agisse de ses possibilités de skis, de toutes ses autres facilités, de son après-skis, de son shopping et de ses restaurants.
Est-ce qu’on va enfin m’écouter dans ce grand paradis blanc ? Je n’en suis pas si sûr !
Toutefois, comme un alcoolique qui rechute, SKI a décidé de le rétablir cette saison. Le résultat n’est pas beau, en tout cas, c’est mon opinion personnelle.
Bien que le numéro de SKI consacré à ce sondage n’explique pas sa méthodologie, j’imagine que le magazine a interrogé ses lecteurs. Bien sûr, nous ne savons pas combien de personnes lisent SKI ces jours.
La carte de tarif publicitaire du magasine revendique un tirage de 300 000 exemplaires (ce qui est toujours un peu exagéré), dont moins de la moitié est payant, ce qui veut peut-être dire entre 100 000 et 125 000 exemplaires.
Cette saison, Deer Valley a cessé d’offrir un abonnement gratuit à SKI avec ses forfaits saisonniers, ce qui a réduit le nombre de gens prêts à voter pour cette station et explique en partie pourquoi celle-ci est passée de son « top 3 » habituel au 5e rang.
Une station qui joint un abonnement gratuit à ses ventes de forfaits saison et pousse agressivement pour que les détenteurs du forfait votent pour la station en question, peuvent affecter considérablement les résultats finals, et comme nous n'avons aucune idée du nombre de lecteurs qui ont voté, cela pourrait expliquer les résultats plutôt surprenants de cette saison.
Cela dit, j’ai la conviction que ce genre de sondage devrait être basé sur l’agglomération de destination (par exemple, Park City pour Deer Valley et Park City Mountain, ou la vallée de Vail pour Vail et Beaver Creek, etc.) plutôt que pour un massif skiable particulier.
Cela serait bien plus révélateur de ce qu'une destination de montagne peu offrir, qu’il s’agisse de ses possibilités de skis, de toutes ses autres facilités, de son après-skis, de son shopping et de ses restaurants.
Est-ce qu’on va enfin m’écouter dans ce grand paradis blanc ? Je n’en suis pas si sûr !
vendredi, novembre 08, 2019
Mais où sont mes valeurs ?
Récemment, j'ai lu un livre qui me demandait quelles étaient mes « valeurs fondamentales », en d'autres termes, ces valeurs personnelles qui sont importantes pour moi, telles que les genres de traits et de comportements capables de me motiver et d’orienter mes décisions.
J’avoue m’être trouvé à cours d’idée, totalement incapable de penser à quoi que ce soit en particulier. Cela m'a aussitôt incité à prendre un stylo et une feuille de papier et me mettre à réfléchir pour trouver des réponses à cette question.
Cela dit, prendre le temps de rechercher et définir nos valeurs personnelles est un exercice importante qui permettra de nous sentir plus épanouis et de faire les choix destinés à nous rendre heureux, même si d’autres personnes ne les partagent pas ou ne les comprennent pas.
J’avoue m’être trouvé à cours d’idée, totalement incapable de penser à quoi que ce soit en particulier. Cela m'a aussitôt incité à prendre un stylo et une feuille de papier et me mettre à réfléchir pour trouver des réponses à cette question.
- Esprit, d'aventure, goût du risque
- Efficacité, perfectionnisme, souci de qualité
- Créativité, simplicité et détermination
- Amour pour les gens, pour la vie et pour une existence saine
- Compétitivité, ambition et succès
Cela dit, prendre le temps de rechercher et définir nos valeurs personnelles est un exercice importante qui permettra de nous sentir plus épanouis et de faire les choix destinés à nous rendre heureux, même si d’autres personnes ne les partagent pas ou ne les comprennent pas.
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