Même s’il n’était pas impliqué dans le désormais fameux coup de téléphone du 25 juillet qui, du coté américain, réunissait Donald Trump, Mike Pompeo, Robert Blair, Mick Mulvaney, Keith Kellogg, Jennifer Williams, Charles Kupperman, Timothy Morrison et Alexander Vindman, celui-ci a bien du parvenir aux oreilles de John Bolton et - à mon humble avis – faire de lui le mystérieux lanceur d'alerte qui a déposé sa plainte le 12 août.
D’après ce que nous avons appris lors des différents témoignages, il n’était pas du tout content de la transaction concoctée par Trump et Guiliani.
Il a démissionné de son poste de conseiller à la sécurité nationale le 10 septembre, juste un jour avant la libération des fonds destinés à l'Ukraine. Bolton n'avait probablement aucun désir de témoigner, ce qui aurait pu alors dévoiler le pot aux roses, et ne voulait pas non plus compromettre le reste de sa carrière au sein du parti républicain.
Cela n’empêche toutefois pas que je le soupçonne d’avoir révélé cette conversation. Je ne suis pas un fan des théories de complot, mais celle-ci a me paraît plutôt plausible …
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