Quand je suis allé à l’école pour la première fois en 1954, j’étais prêt à découvrir un nouvel univers d’apprentissage, même si les conditions y étaient extrêmement difficiles et limitées.
En effet, nous étions peut-être 20 à 25 garçons entassés dans le même local, répartis en 8 classes différentes et âgés de 7 à 14 ans. Il était donc extrêmement difficile pour l'instituteur de jongler entre des sujets carrément différents mais qui devaient en quelque sorte impliquer la plupart des enfants, ceci en admettant que près du tiers d’entre eux n’arriveraient jamais à bien s’en sortir.
J'ai eu beaucoup de veine d’y arriver car d’entrée, les circonstances étaient défavorables. J’avais entre autre la chance d’être naturellement curieux et j'avais déjà une passion pour un gribouillage qui dénotait un certain potentiel.
Mon « instit », M. Losserand, avait bien saisit tout ça et m’avait encouragé, alors qu'avant, mes parents avaient tendance à rejeter tout ce qui semblait totalement « inutile ». L’enseignant m'avait fait confiance et avait pris un risque avec moi qui s’était avérée gagnant !
Dans ma famille, seuls les choses « utiles » comptaient vraiment, et surtout pas une vague notion de talent artistique ! Mon instituteur avait su pourtant l’apprécier et m'avait ainsi fait découvrir un point de vue bien différent d'un monde fait de travail pénible, empreint de discipline et pas du tout amusant.
Merci Monsieur Losserand de m'avoir ouvert les yeux bien au-delà d’une vie tristement utilitaire !
dimanche, juin 30, 2019
samedi, juin 29, 2019
Qui pourra anéantir Trump ?
C’est avec beaucoup d’intérêt et d’anticipation que nous avons suivi les deux débats télévisés mettant en lice les candidats démocrates à la présidentielle de 2020, ces mercredi et jeudi soirs.
Nous nous sommes appliqués à nous concentrer sur trois éléments essentiels :
Nous nous sommes appliqués à nous concentrer sur trois éléments essentiels :
- D’abord, la combativité. C'était de loin notre critère numéro un, car ce sera la qualité requise pour anéantir Trump.
- Ensuite viennent les connaissances et l'intelligence, critères qui vont presque de soi, mais qui sont reléguées à un rôle secondaire quand l'urgence est avant tout d'empêcher Trump d'être réélu.
- Enfin, le charisme, car après tout, la politique c’est avant tout du démarchage et les candidats doivent être capable de bien se vendre.
- Kamala Harris
- Pete Buttigieg
- Julián Castro
- Elizabeth Warren
- Bernie Sanders
vendredi, juin 28, 2019
Un vaccin contre le zona difficile à ignorer !
Si vous vivez aux États-Unis, vous avez probablement déjà vu, il y a quelques années, ces horribles publicités montrant un patient atteint de zona. Celles-ci avaient été crées pour Zostavax, un vaccin contre cette affliction.
En plus des recommandations de notre médecin, cette annonce avait eu un certain impact sur nous et nous nous étions fait vacciné en juillet 2014. C’était alors un piqûre bien ordinaire que nous avons vite oubliée.
C'était jusqu'à ce que notre brave médecin de famille revienne sur la question, en nous disant l'an passé dernière, que notre vaccination n’était efficace qu'à 65% et qu'un vaccin « nouveau et amélioré » appelé Shingrix, efficace à 97 %, serait carrément nécessaire pour remplacer notre protection assez médiocre.
Naïfs et crédules, nous avons acquiescé et avons commandé ce vaccin qui, en quantité limitée, était assez difficile à trouver, le rendant encore plus attrayant, je présume. Notre pharmacie l’a finalement reçu à la mi-avril et nous avons eu nos vaccins.
Après l'injection, ma femme a souffert de douleurs terribles au bras alors que cela m’a donné la nausée et des des identiques à ceux d’une sévère grippe. La torture a duré environ 24 heures après la procédure.
Cette semaine, nous avons été convoqués pour recevoir nos rappels. Remplis d'appréhension, nous sommes arrivés mercredi et au début, tout semblait aller pour le mieux. Ce fut jusqu'à la nuit qui a suivi l'injection, et le lendemain matin, quand nous avons constaté que nous étions complètement abattus.
Les mêmes symptômes affreux se sont manifestés après cette seconde série de piqûres très coûteuses, même pas remboursées par notre assurance. Nous avons finalement survécu mais nous nous sommes demandé si cette souffrance valait la prétendue protection.
Nous ne sommes pas encore convaincus et nous ne le saurons probablement jamais ...
En plus des recommandations de notre médecin, cette annonce avait eu un certain impact sur nous et nous nous étions fait vacciné en juillet 2014. C’était alors un piqûre bien ordinaire que nous avons vite oubliée.
C'était jusqu'à ce que notre brave médecin de famille revienne sur la question, en nous disant l'an passé dernière, que notre vaccination n’était efficace qu'à 65% et qu'un vaccin « nouveau et amélioré » appelé Shingrix, efficace à 97 %, serait carrément nécessaire pour remplacer notre protection assez médiocre.
Naïfs et crédules, nous avons acquiescé et avons commandé ce vaccin qui, en quantité limitée, était assez difficile à trouver, le rendant encore plus attrayant, je présume. Notre pharmacie l’a finalement reçu à la mi-avril et nous avons eu nos vaccins.
Après l'injection, ma femme a souffert de douleurs terribles au bras alors que cela m’a donné la nausée et des des identiques à ceux d’une sévère grippe. La torture a duré environ 24 heures après la procédure.
Cette semaine, nous avons été convoqués pour recevoir nos rappels. Remplis d'appréhension, nous sommes arrivés mercredi et au début, tout semblait aller pour le mieux. Ce fut jusqu'à la nuit qui a suivi l'injection, et le lendemain matin, quand nous avons constaté que nous étions complètement abattus.
Les mêmes symptômes affreux se sont manifestés après cette seconde série de piqûres très coûteuses, même pas remboursées par notre assurance. Nous avons finalement survécu mais nous nous sommes demandé si cette souffrance valait la prétendue protection.
Nous ne sommes pas encore convaincus et nous ne le saurons probablement jamais ...
jeudi, juin 27, 2019
Bien juger quand l'expérience fait défaut
Cela fait longtemps que je suis fasciné par cette relation symbiotique qui existe entre jugement et expérience et je n’ai pas encore fini d’en découdre avec.
L’essence de cette relation se trouve dans une citation attribuée à Nasreddin, ce soufi du XIIIe siècle: « Le bon jugement s'apprend par l'expérience, mais l'expérience s'acquiert par le mauvais jugement. »
Cette fois, je voulais simplement évoquer ce qui se produit lorsque nous prenons des décisions basées uniquement sur l’ensemble des expériences que nous avons pu engranger, et lorsque les circonstances sont telles qu’elles créent des situations inédites, qui peuvent être dangereuses ou pour lesquelles nous ne sommes pas du tout préparés.
Lorsque cela se produit, nous n’avons aucune expérience spécifique capable de nous aider et nous devons littéralement penser à inventer ou improviser sur le champ un plan suffisamment bon pour nous sortir du pétrin, assurer notre survie et nous permettre d’ajouter une expérience de plus à notre registre et améliorer ainsi d’avantage la qualité de notre jugement.
Ce n’est jamais agréable, c'est très inconfortable, mais cela nous secoue un peu, nous oblige à nous en faire plus que ce nous étions prêts ou disposés à faire et, au final, à nous rendre encore beaucoup plus forts.
L’essence de cette relation se trouve dans une citation attribuée à Nasreddin, ce soufi du XIIIe siècle: « Le bon jugement s'apprend par l'expérience, mais l'expérience s'acquiert par le mauvais jugement. »
Cette fois, je voulais simplement évoquer ce qui se produit lorsque nous prenons des décisions basées uniquement sur l’ensemble des expériences que nous avons pu engranger, et lorsque les circonstances sont telles qu’elles créent des situations inédites, qui peuvent être dangereuses ou pour lesquelles nous ne sommes pas du tout préparés.
Lorsque cela se produit, nous n’avons aucune expérience spécifique capable de nous aider et nous devons littéralement penser à inventer ou improviser sur le champ un plan suffisamment bon pour nous sortir du pétrin, assurer notre survie et nous permettre d’ajouter une expérience de plus à notre registre et améliorer ainsi d’avantage la qualité de notre jugement.
Ce n’est jamais agréable, c'est très inconfortable, mais cela nous secoue un peu, nous oblige à nous en faire plus que ce nous étions prêts ou disposés à faire et, au final, à nous rendre encore beaucoup plus forts.
mercredi, juin 26, 2019
Donner le crédit où il faut
Nos vies ne se construisent pas en vase clos et tout ce qui nous arrive, comme tous les gens que nous rencontrons ont parfois une énorme influence sur nos parcours respectifs. C’est particulièrement vrai pour le mien, et là où j’en suis aujourd’hui qui est la somme de circonstances, d’accidents et, avant tout, des individus qui ont croisé mon chemin, souvent tortueux, et m’ont construit.
Dans mon cas, tout cela aura ete pour le mieux. Rétrospectivement, je dois dire qu’il y a plus de gens qui m'ont aidé que de gens qui m’ont gêné dans ce long processus qu’est la vie. C’est pourquoi je vais oublier les rares obstacles qui se sont dressés devant moi et mettre l’accent sur toute l’aide que j’ai eu pour créer ou saisir les plus belles occasions qui se sont présentées à moi.
Tout a commencé avec mon instituteur d'école primaire qui a su voir mon potentiel, ensuite avec son fils qui m'a motivé à me présenter au concours de l’École d’Horlogerie de Cluses, a un ami rencontré dans cette école qui a validé ma passion pour le ski, ainsi que mon propre frère qui m'a incité à demander au directeur de l’école de ski d'Avoriaz si je pouvais y entrer, à ce professeur de l'ENSA à Chamonix qui m'a engagé dans son équipe qui partait en Australie.
Au collègue aussi de cette même équipe qui a facilité ma transition de moniteur de ski à la branche du ski, de ce cadre de vente américain qui m’a invité à venir travailler aux États-Unis, au patron de Lange USA qui m'a offert un emploi lors d’un vol New York-Munich, cet autre cadre précédent qui m'a offert une superbe occasion de mettre en place ma propre société de distribution et de couronner ainsi ma petite carrière.
Pour coiffer le tout, bien sûr, il y a eu mon épouse qui a toujours su me stimuler et m’a soutenu pendant toutes ces années. Voilà, vous lirez peut-être certains détails de cette passionnante histoire sur ce blog ... En conclusion, je ne me suis pas construit seul, tout les autres m’y ont bel et bien aidé !
Dans mon cas, tout cela aura ete pour le mieux. Rétrospectivement, je dois dire qu’il y a plus de gens qui m'ont aidé que de gens qui m’ont gêné dans ce long processus qu’est la vie. C’est pourquoi je vais oublier les rares obstacles qui se sont dressés devant moi et mettre l’accent sur toute l’aide que j’ai eu pour créer ou saisir les plus belles occasions qui se sont présentées à moi.
Tout a commencé avec mon instituteur d'école primaire qui a su voir mon potentiel, ensuite avec son fils qui m'a motivé à me présenter au concours de l’École d’Horlogerie de Cluses, a un ami rencontré dans cette école qui a validé ma passion pour le ski, ainsi que mon propre frère qui m'a incité à demander au directeur de l’école de ski d'Avoriaz si je pouvais y entrer, à ce professeur de l'ENSA à Chamonix qui m'a engagé dans son équipe qui partait en Australie.
Au collègue aussi de cette même équipe qui a facilité ma transition de moniteur de ski à la branche du ski, de ce cadre de vente américain qui m’a invité à venir travailler aux États-Unis, au patron de Lange USA qui m'a offert un emploi lors d’un vol New York-Munich, cet autre cadre précédent qui m'a offert une superbe occasion de mettre en place ma propre société de distribution et de couronner ainsi ma petite carrière.
Pour coiffer le tout, bien sûr, il y a eu mon épouse qui a toujours su me stimuler et m’a soutenu pendant toutes ces années. Voilà, vous lirez peut-être certains détails de cette passionnante histoire sur ce blog ... En conclusion, je ne me suis pas construit seul, tout les autres m’y ont bel et bien aidé !
mardi, juin 25, 2019
Quand les courbes se croisent
Le week-end dernier, je suis allé faire de la randonnée en montagne avec mon petit-fils de 11 ans et nous avons tous deux passé des moments merveilleux. Mon jeune compagnon a tenu le coup et a grimpé sans problème.
Le fait qu’il s’entraîne maintenant régulièrement dans un centre d’escalade, fait qu’il voit d’instinct ou se trouvent les bons appuis a certainement aidé sa bonne performance. Même si j’ai peut-être encore un peu plus d’endurance que lui, nous sommes presque maintenant au même niveau physique.
Il grandit et continue de progresser pendant que mes capacités diminuent inexorablement. Il était donc tentant de faire une représentation graphique de nos performances physiques mutuelles dans le temps et de voir où tomberait leur intersection.
Bien que ce soit moi qui ait inventé tout cela, l’image en dit long sur notre compatibilité pour les grimpettes en montagne au cours des trois à cinq prochaines années, sans que l'un d'entre nous ne soit pas trop à la traîne ou ne souffle pas comme un bœuf (vous voyez de qui je veux parler ?) et continuer à bien nous amuser.
Une bonne nouvelle, en somme !
Le fait qu’il s’entraîne maintenant régulièrement dans un centre d’escalade, fait qu’il voit d’instinct ou se trouvent les bons appuis a certainement aidé sa bonne performance. Même si j’ai peut-être encore un peu plus d’endurance que lui, nous sommes presque maintenant au même niveau physique.
Il grandit et continue de progresser pendant que mes capacités diminuent inexorablement. Il était donc tentant de faire une représentation graphique de nos performances physiques mutuelles dans le temps et de voir où tomberait leur intersection.
Bien que ce soit moi qui ait inventé tout cela, l’image en dit long sur notre compatibilité pour les grimpettes en montagne au cours des trois à cinq prochaines années, sans que l'un d'entre nous ne soit pas trop à la traîne ou ne souffle pas comme un bœuf (vous voyez de qui je veux parler ?) et continuer à bien nous amuser.
Une bonne nouvelle, en somme !
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lundi, juin 24, 2019
Qu’avons-nous à prouver ?
Cela est souvent une question récurrente pour beaucoup d'entre nous. Sa réponse se trouve surtout dans ce besoin profond d'acceptation que nous recherchons tout au long de nos vies.
En fonction de la manière dont nous avons été élevés, cette recherche d’approbation aurait pu être vitale quand nous étions jeunes, et nous l’avons souvent laissée nous accompagner tout au long de notre vie d’adultes.
Rompre avec ce besoin n’est pas nécessairement une renonciation à caractère anti-sociale, mais plutôt un virage salutaire vers l’indépendance qui peut toujours bien s’intégrer à une vie sociale normale. Ceux qui réussissent à s’extraire de ce besoin obsessionnel d’approbation libéreront également de nouvelles énergies qui pourront être canalisées vers les autres et la société en général.
La dépendance à Facebook illustre parfaitement bien cette situation, et les personnes qui ont rompu leurs liens avec ce forum générant tant de dépendance, peuvent se libérer de l'emprise de ce besoin pathologique d'approbation et de narcissisme. Il y a toujours moyen de se libérer de tous ces besoins asservissants pour redevenir soi-même et vivre une vie beaucoup moins contraignante !
En fonction de la manière dont nous avons été élevés, cette recherche d’approbation aurait pu être vitale quand nous étions jeunes, et nous l’avons souvent laissée nous accompagner tout au long de notre vie d’adultes.
Rompre avec ce besoin n’est pas nécessairement une renonciation à caractère anti-sociale, mais plutôt un virage salutaire vers l’indépendance qui peut toujours bien s’intégrer à une vie sociale normale. Ceux qui réussissent à s’extraire de ce besoin obsessionnel d’approbation libéreront également de nouvelles énergies qui pourront être canalisées vers les autres et la société en général.
La dépendance à Facebook illustre parfaitement bien cette situation, et les personnes qui ont rompu leurs liens avec ce forum générant tant de dépendance, peuvent se libérer de l'emprise de ce besoin pathologique d'approbation et de narcissisme. Il y a toujours moyen de se libérer de tous ces besoins asservissants pour redevenir soi-même et vivre une vie beaucoup moins contraignante !
dimanche, juin 23, 2019
Transmuter nos frustrations en motivation
Toute existence bien vécue est parsemée de frustrations. La différence entre le bonheur et le désespoir réside principalement dans notre manière de gérer celles-ci.
Trop longtemps, j’ai été victime d’obstacles jeté au travers de mon chemin, et j’ai alors trouvé que la vie était injuste, me forçant à me demander trop fréquemment pourquoi toute cette poisse me tombait dessus, et qui pouvait bien m’en vouloir à ce point.
Au fil du temps, j'ai commencé à adopter ce filtre transformateur qui, comme une baguette magique, a suffit à me motiver en réagissant de manière plus agressive, toujours positive et à relever le défi que constituaient les tâches les plus minables, désagréables et rebutantes.
Ceci, bien sûr, n’est pas une réponse qui nous vient naturellement, mais qui au contraire demande à être cultivée au fil du temps et des éventements.
Si elle ne fait pas encore partie intégrante de votre arsenal de survie, essayez-la !
Trop longtemps, j’ai été victime d’obstacles jeté au travers de mon chemin, et j’ai alors trouvé que la vie était injuste, me forçant à me demander trop fréquemment pourquoi toute cette poisse me tombait dessus, et qui pouvait bien m’en vouloir à ce point.
Au fil du temps, j'ai commencé à adopter ce filtre transformateur qui, comme une baguette magique, a suffit à me motiver en réagissant de manière plus agressive, toujours positive et à relever le défi que constituaient les tâches les plus minables, désagréables et rebutantes.
Ceci, bien sûr, n’est pas une réponse qui nous vient naturellement, mais qui au contraire demande à être cultivée au fil du temps et des éventements.
Si elle ne fait pas encore partie intégrante de votre arsenal de survie, essayez-la !
samedi, juin 22, 2019
Réserver une voiture de location pour l'Europe
C’est pourtant quelque chose que je fais depuis des années, mais je dois toujours « réinventer » ma formule afin d’obtenir le meilleur rapport qualité-prix possible pour chaque euro dépensé.
Souvent, j'avais l'habitude de louer avec Sixt, la société allemande bien connue, mais j'ai découvert que leurs tarifs sont extrêmement volatiles d'un jour à l'autre.
Donc, afin de dénicher la meilleure offre possible, le voyageur avisé doit faire beaucoup de recherches, disposer de suffisamment de temps et être prêt à apprendre comment se goupille la tarification des autos de location à travers l’Europe.
Parfois, mon ordinateur semble se bloquer pendant que j’attends de découvrir le prix total qui m’avait pourtant incité à commencer la réservation, et c’est pour m’aviser que le prix a tout simplement changé.
Comme partout, il faut savoir recommencer, être déterminé et garder le sourire. C’est la recette à adopter pour s’en tirer au meilleur prix !
Souvent, j'avais l'habitude de louer avec Sixt, la société allemande bien connue, mais j'ai découvert que leurs tarifs sont extrêmement volatiles d'un jour à l'autre.
Donc, afin de dénicher la meilleure offre possible, le voyageur avisé doit faire beaucoup de recherches, disposer de suffisamment de temps et être prêt à apprendre comment se goupille la tarification des autos de location à travers l’Europe.
Parfois, mon ordinateur semble se bloquer pendant que j’attends de découvrir le prix total qui m’avait pourtant incité à commencer la réservation, et c’est pour m’aviser que le prix a tout simplement changé.
Comme partout, il faut savoir recommencer, être déterminé et garder le sourire. C’est la recette à adopter pour s’en tirer au meilleur prix !
vendredi, juin 21, 2019
Nouvel emplacement de concert à Deer Valley ?
Mercredi dernier, nous avons allés au premier concert gratuit à Deer Valley avec un enthousiasme débordant. Nous adorons ces soirées estivales en plein air !
Le temps et la température étaient parfaits et, à notre arrivée, nous nous sommes rendus compte que le lieu n’était pas l’amphithéâtre naturel habituel où l’on s’asseyait dans l’herbe.
À la place, nous avons été dirigés vers le parking de la station, où l’orchestre allait se produire, et sans rien dire, avons installé nos chaises et déballé notre pique-nique, à même le sol fraîchement asphalté.
Dieu merci, le temps était frais et la température était supportable.
Comme nous ne savions pas si ce serait la nouvelle façon dont allait désormais ce dérouler nos concerts favoris, nous avons été déçus, mais avons immédiatement raisonné qu'après tout, Deer Valley avait été fabuleux toutes ces années en nous offrant son si bel amphithéâtre, que nous n’avions pas à nous plaindre et qu’au contraire, nous devrions être ravis que cela ait pu durer aussi longtemps.
Toutes les meilleures choses on éventuellement une fin, n’est-ce pas ?
D’accord, nous n’étions pas très enthousiastes à l’idée d’aller nous asseoir sur du goudron, mais nous nous étions bien trompés ! Nous avions en effet jugé trop vite ; ce n'était qu’une fausse alerte car l'herbe sur l’aire de concert habituelle était encore trop mouillée, suite aux récentes pluies torrentielles, et qu'elle devait sécher momentanément !
Le temps et la température étaient parfaits et, à notre arrivée, nous nous sommes rendus compte que le lieu n’était pas l’amphithéâtre naturel habituel où l’on s’asseyait dans l’herbe.
À la place, nous avons été dirigés vers le parking de la station, où l’orchestre allait se produire, et sans rien dire, avons installé nos chaises et déballé notre pique-nique, à même le sol fraîchement asphalté.
Dieu merci, le temps était frais et la température était supportable.
Comme nous ne savions pas si ce serait la nouvelle façon dont allait désormais ce dérouler nos concerts favoris, nous avons été déçus, mais avons immédiatement raisonné qu'après tout, Deer Valley avait été fabuleux toutes ces années en nous offrant son si bel amphithéâtre, que nous n’avions pas à nous plaindre et qu’au contraire, nous devrions être ravis que cela ait pu durer aussi longtemps.
Toutes les meilleures choses on éventuellement une fin, n’est-ce pas ?
D’accord, nous n’étions pas très enthousiastes à l’idée d’aller nous asseoir sur du goudron, mais nous nous étions bien trompés ! Nous avions en effet jugé trop vite ; ce n'était qu’une fausse alerte car l'herbe sur l’aire de concert habituelle était encore trop mouillée, suite aux récentes pluies torrentielles, et qu'elle devait sécher momentanément !
jeudi, juin 20, 2019
Livraison d’Amazon : Mystère résolu !
En début de mois, j’expliquais que « Prime », le nouveau service de livraison d’Amazon, ne m’avait pas livré un paquet comme il aurait du.
Il y a quelques jours, alors que je marchais dans mon quartier, j'ai remarqué un numéro de maison très proche du mien, à juste un chiffre près, et je me suis dit que cela ne pouvait que prêter à confusion.
C’est là que mon regard s’est ensuite porté vers la porte d’entrée de la maison en question, et cela m’a rappelé la photo qu’Amazon m’avait envoyée pour prouver que la livraison du colis avait bien été faite.
Bien que l'envoi n'ait pas été déposé à ma porte, celle de mon voisin ressemblait en tout point à la photo d'Amazon. Quand je suis rentré à la maison, j'ai vérifié pour être sûr, et cela n’a pas manqué ! C'était bien la porte en question.
C’est là que j’ai supposé que ce voisin avait ramassé le colis, l’avait ouvert, jeté un coup d’œil sur son contenu et se rendant compte qu’il ne lui servait à rien, et qu’en plus il m’était adressé, n’a pas voulu faire face à l’embarras et à l’explication qui étaient incontournables s’il m’avait rendu la marchandise.
Il a tout simplement du tout jeter à la poubelle. Sympa, le voisin !
Il y a quelques jours, alors que je marchais dans mon quartier, j'ai remarqué un numéro de maison très proche du mien, à juste un chiffre près, et je me suis dit que cela ne pouvait que prêter à confusion.
C’est là que mon regard s’est ensuite porté vers la porte d’entrée de la maison en question, et cela m’a rappelé la photo qu’Amazon m’avait envoyée pour prouver que la livraison du colis avait bien été faite.
Bien que l'envoi n'ait pas été déposé à ma porte, celle de mon voisin ressemblait en tout point à la photo d'Amazon. Quand je suis rentré à la maison, j'ai vérifié pour être sûr, et cela n’a pas manqué ! C'était bien la porte en question.
C’est là que j’ai supposé que ce voisin avait ramassé le colis, l’avait ouvert, jeté un coup d’œil sur son contenu et se rendant compte qu’il ne lui servait à rien, et qu’en plus il m’était adressé, n’a pas voulu faire face à l’embarras et à l’explication qui étaient incontournables s’il m’avait rendu la marchandise.
Il a tout simplement du tout jeter à la poubelle. Sympa, le voisin !
mercredi, juin 19, 2019
Mon pote le serpent
Dans mon jardin, comme un peu partout dans de Park City, il existe des serpents que l’on rencontre fréquemment. Il s'agit des couleuvres rayées de l'Ouest (Thamnophis elegans).
Celle-ci ne est pas venimeuse, ce qui déjà une bonne chose. Ces derniers jours, ma femme en a remarqué une qui se faisait bronzer sur les rochers entourant l’endroit où nous asseyons dans le jardin, et j'en avais vu un à quelques reprises l'an passé, à côté de notre potager.
Il y a plus de 20 ans, alors que j’emmenais ma fille à l'école, il y en avait une, tout petite, enroulée autour de la poignée d’ouverture de la porte, côté passager, juste là où elle était assise.
J’avais alors discrètement arrêté la voiture et chassé le reptile avant que ma fille le découvre de ses propres yeux et se mette à crier hystériquement. La petite bestiole s'était introduite dans la voiture alors que je chargeais du bois de chauffage.
Ceci dit, je n’ai jamais été à l’aise en présence de serpents quels qu’ils soient et j’espère que je vais m’y habituer, sinon il faudra que quelque chose change. Moi ou le serpent!
Celle-ci ne est pas venimeuse, ce qui déjà une bonne chose. Ces derniers jours, ma femme en a remarqué une qui se faisait bronzer sur les rochers entourant l’endroit où nous asseyons dans le jardin, et j'en avais vu un à quelques reprises l'an passé, à côté de notre potager.
Il y a plus de 20 ans, alors que j’emmenais ma fille à l'école, il y en avait une, tout petite, enroulée autour de la poignée d’ouverture de la porte, côté passager, juste là où elle était assise.
J’avais alors discrètement arrêté la voiture et chassé le reptile avant que ma fille le découvre de ses propres yeux et se mette à crier hystériquement. La petite bestiole s'était introduite dans la voiture alors que je chargeais du bois de chauffage.
Ceci dit, je n’ai jamais été à l’aise en présence de serpents quels qu’ils soient et j’espère que je vais m’y habituer, sinon il faudra que quelque chose change. Moi ou le serpent!
mardi, juin 18, 2019
Théories du complot au détroit d'Hormuz ?
Selon le Département d’État américain, les Iraniens sont les incontournables suspects à l’origine des attaques de pétroliers dans le détroit d’Hormuz.
Pourtant, le gouvernement des États-Unis n’a-t-il pas aussi une crédibilité précaire avec Pinocchio Trump à sa tête ? Cela semble évident.
De toute façon, certain membres du gouvernement veulent absolument en découdre avec l'Iran. Cela pourrait aussi être le fait d’un bon groupe de suspects, à commencer par les Saoudiens, l’UEA, le mossad d’Israël ou même notre propre CIA; ils ont déjà fait de pareil coups il n’y a pas si longtemps.
Donc, avant de recommencer avec une invasion sans fondement de l’Iran comme nous l’avions fait pour l’Iraq pour faire plaisir à tous ces fous du Moyen-Orient, et qu’en plus, nous les contribuables américains payions pour pour financer l’aventure avec des fonds que nous n’avons même pas, je voudrais en avoir le cœur net ...
Pourtant, le gouvernement des États-Unis n’a-t-il pas aussi une crédibilité précaire avec Pinocchio Trump à sa tête ? Cela semble évident.
De toute façon, certain membres du gouvernement veulent absolument en découdre avec l'Iran. Cela pourrait aussi être le fait d’un bon groupe de suspects, à commencer par les Saoudiens, l’UEA, le mossad d’Israël ou même notre propre CIA; ils ont déjà fait de pareil coups il n’y a pas si longtemps.
Donc, avant de recommencer avec une invasion sans fondement de l’Iran comme nous l’avions fait pour l’Iraq pour faire plaisir à tous ces fous du Moyen-Orient, et qu’en plus, nous les contribuables américains payions pour pour financer l’aventure avec des fonds que nous n’avons même pas, je voudrais en avoir le cœur net ...
lundi, juin 17, 2019
À titre de comparaison…
Le 16 juin est depuis longtemps un jour spécial pour moi et si vous lisez régulièrement mes blogs depuis 12 ans, vous comprendrez facilement pourquoi.
Aujourd'hui, je voulais profiter de cette date pour vous montrer deux photos de Jupiter Peak, le sommet qui domine Park City.
La photo du haut a été prise hier et celle du bas avait été tirée après cette année record en matière d’enneigement, le 15 juin 2011 pour être précis.
C’est incroyable de voir à quel point nos souvenirs du temps passé ont bien du mal à retracer la réalité.
Nous pensions que l’hiver dernier était exceptionnel, et bien non. En laissant les photos témoigner d’elles-mêmes on voit bien que 2011 avait bel et bien battu tous les records !
Aujourd'hui, je voulais profiter de cette date pour vous montrer deux photos de Jupiter Peak, le sommet qui domine Park City.
La photo du haut a été prise hier et celle du bas avait été tirée après cette année record en matière d’enneigement, le 15 juin 2011 pour être précis.
C’est incroyable de voir à quel point nos souvenirs du temps passé ont bien du mal à retracer la réalité.
Nous pensions que l’hiver dernier était exceptionnel, et bien non. En laissant les photos témoigner d’elles-mêmes on voit bien que 2011 avait bel et bien battu tous les records !
dimanche, juin 16, 2019
Ma façon de visualiser les croyances
Alors que je recherchais un tableau permettant de visualiser les différentes croyances humaines, je ne suis pas parvenu à trouver exactement ce que je cherchais.
J’ai donc décidé de construire mon propre tableau, à ma façon, d’une manière simple, facile à comprendre et linéaire. Ce tableau classe les croyances de rien du tout jusqu’à… l’absurdité la plus totale !.
J’ai énuméré les croyances ou les philosophies que je connaissais le mieux et oublié des principes comme l’humanisme, par exemple.
Excusez-moi donc pour pour la partialité de cette liste, le tableau aurait du être énorme si j'avais mentionné toutes les croyances connues à travers le monde, mais, si je peux, je mettrai éventuellement à jour ce tableau…
Voici donc ce que j’appelle le « Crédulomètre » et j'espère vraiment, oui, j’espère et prie (!) d’avoir vos réactions à son sujet. Alors s'il vous plaît, n’hésitez pas, commentez !
J’ai donc décidé de construire mon propre tableau, à ma façon, d’une manière simple, facile à comprendre et linéaire. Ce tableau classe les croyances de rien du tout jusqu’à… l’absurdité la plus totale !.
J’ai énuméré les croyances ou les philosophies que je connaissais le mieux et oublié des principes comme l’humanisme, par exemple.
Excusez-moi donc pour pour la partialité de cette liste, le tableau aurait du être énorme si j'avais mentionné toutes les croyances connues à travers le monde, mais, si je peux, je mettrai éventuellement à jour ce tableau…
Voici donc ce que j’appelle le « Crédulomètre » et j'espère vraiment, oui, j’espère et prie (!) d’avoir vos réactions à son sujet. Alors s'il vous plaît, n’hésitez pas, commentez !
samedi, juin 15, 2019
Service clients de Delta Air Lines
Récemment, je réservais un vol assez compliqué sur Delta Air Lines notre compagnie aérienne locale.
Comme nous sommes désormais forcés de le faire, j’étais en ligne et quand je me suis approché de la fin de ce tâche assez laborieuse, la compagnie aérienne n’a pas accepté mon numéro de points de fidélité.
C'est une bien vieille histoire récurrente qui a commencé après les éventements du 11 septembre, quand les mesures de sécurité des transports aériens se sont renforcées. Avant cela, j’utilisais les initiales de mon prénom (tel qu’il apparaît encore sur mon compte « SkyMiles ») et, après plusieurs tentatives de correction avec la compagnie aérienne, ces problèmes ont subsisté.
J'étais donc plutôt énervé d'avoir trouvé de bons sièges, juste devant la cloison de séparation de cabine, comme nous aimons, et tout mon travail fut en vain. Comme je ne pouvais rien faire en ligne, il a fallu que j’appelle et c’est là qu’on me dit que le temps d’attente va être d’une demi-heure ; je reporte donc au lendemain.
Quand je rappelle, il a de nouveau fallu que j’attende et que j’attende très longtemps avant de pouvoir parler à un être humain. En tout, cela m'a pris 45 minutes. L'agent a partiellement résolu mon problème et je lui ai fait part de ma frustration pour avoir du attendre si longtemps.
Elle m’a simplement répondu « C’est la saison d’été et nous sommes extrêmement occupés ». Du tac au tac, j’ai répliqué : « Ce n'est pas le premier été que Delta transporte des voyageurs, et la compagnie n’est pas sans ignorer que c’est la haute saison. Par conséquent, elle doit embaucher suffisamment de personnel pour répondre au téléphone. C’est quand même pas sorcier ! »
Je lui ai demandé de transmettre mes commentaires à sa direction. Elle m'a alors invité à utiliser le site Web de Delta pour faire part de mes doléances. On ne gagne jamais contre les compagnies aériennes !
Comme nous sommes désormais forcés de le faire, j’étais en ligne et quand je me suis approché de la fin de ce tâche assez laborieuse, la compagnie aérienne n’a pas accepté mon numéro de points de fidélité.
C'est une bien vieille histoire récurrente qui a commencé après les éventements du 11 septembre, quand les mesures de sécurité des transports aériens se sont renforcées. Avant cela, j’utilisais les initiales de mon prénom (tel qu’il apparaît encore sur mon compte « SkyMiles ») et, après plusieurs tentatives de correction avec la compagnie aérienne, ces problèmes ont subsisté.
J'étais donc plutôt énervé d'avoir trouvé de bons sièges, juste devant la cloison de séparation de cabine, comme nous aimons, et tout mon travail fut en vain. Comme je ne pouvais rien faire en ligne, il a fallu que j’appelle et c’est là qu’on me dit que le temps d’attente va être d’une demi-heure ; je reporte donc au lendemain.
Quand je rappelle, il a de nouveau fallu que j’attende et que j’attende très longtemps avant de pouvoir parler à un être humain. En tout, cela m'a pris 45 minutes. L'agent a partiellement résolu mon problème et je lui ai fait part de ma frustration pour avoir du attendre si longtemps.
Elle m’a simplement répondu « C’est la saison d’été et nous sommes extrêmement occupés ». Du tac au tac, j’ai répliqué : « Ce n'est pas le premier été que Delta transporte des voyageurs, et la compagnie n’est pas sans ignorer que c’est la haute saison. Par conséquent, elle doit embaucher suffisamment de personnel pour répondre au téléphone. C’est quand même pas sorcier ! »
Je lui ai demandé de transmettre mes commentaires à sa direction. Elle m'a alors invité à utiliser le site Web de Delta pour faire part de mes doléances. On ne gagne jamais contre les compagnies aériennes !
vendredi, juin 14, 2019
« Life Elevated » à Park City ?
Quand on regarde les prix fous de l'immobilier, on pourrait dire que les milliardaires sont en train de chasser bien gentiment des millionnaires hors de Park City.
Avec cette façon de voir les choses, trop de gens assument que les « parkites » (comme on appelle ceux qui vivent dans notre station de montagne) sont « bourrés aux as » et peuvent payer sans compter.
C’est une situation que nous avons vécue depuis déjà pas mal de temps, et cela ne va pas en s’arrangeant, quand l’ophtalmologiste que j’avais choisi une année auparavant sur Park City s’est mise à nous facturer des suppléments inadmissibles et qu’un parodontiste nous a offert ses services à plus de cinq fois le tarif en vigueur à Salt Lake City.
Inutile de dire qu'avec cette « chère » réalité à l’esprit, nous avons déplacés nos services médicaux en direction de la grande ville voisine.
Le slogan de l’Utah, « Life Elevated » (la haute vie – pour l’altitude et la qualité), nous coûte un peu trop cher pour que nous puissions nous permettre de rester à cent pour cent perchés à Park City !
Avec cette façon de voir les choses, trop de gens assument que les « parkites » (comme on appelle ceux qui vivent dans notre station de montagne) sont « bourrés aux as » et peuvent payer sans compter.
C’est une situation que nous avons vécue depuis déjà pas mal de temps, et cela ne va pas en s’arrangeant, quand l’ophtalmologiste que j’avais choisi une année auparavant sur Park City s’est mise à nous facturer des suppléments inadmissibles et qu’un parodontiste nous a offert ses services à plus de cinq fois le tarif en vigueur à Salt Lake City.
Inutile de dire qu'avec cette « chère » réalité à l’esprit, nous avons déplacés nos services médicaux en direction de la grande ville voisine.
Le slogan de l’Utah, « Life Elevated » (la haute vie – pour l’altitude et la qualité), nous coûte un peu trop cher pour que nous puissions nous permettre de rester à cent pour cent perchés à Park City !
jeudi, juin 13, 2019
Comment dénicher la (vraie) information ?
En tant que consommateurs, nous voyons tout ce que nous consommons de l'extérieur et de la façon précise, ou sous la lumière exact que nous impose le marketing.
Pour avoir une vision beaucoup plus proche de la réalité, y compris les cotés pour et contre, il faut faut passer de l’autre coté de la barrière pour avoir le point de vue des « initiés » et apprendre ce que les consultants conseillent de faire aux fabricants ou aux prestataires de services, pour bien vendre leurs produits, marchandises ou services et trouver de nouvelles filières.
Seules ces publications spécialisées, quelles soient en ligne ou dans la presse écrite offrent ce genre information, et lorsque vous pouvez y accéder, vous devenez un consommateur beaucoup plus averti et vous été d’avantage en mesure de ne pas vous faire rouler dans la farine.
La difficulté consiste à savoir où se cache ce trésor d’information et, comme pour tout ce que nous recherchons, cela prend du temps, de la créativité, du bon sens et de la patience.
Bonne chance !
Pour avoir une vision beaucoup plus proche de la réalité, y compris les cotés pour et contre, il faut faut passer de l’autre coté de la barrière pour avoir le point de vue des « initiés » et apprendre ce que les consultants conseillent de faire aux fabricants ou aux prestataires de services, pour bien vendre leurs produits, marchandises ou services et trouver de nouvelles filières.
Seules ces publications spécialisées, quelles soient en ligne ou dans la presse écrite offrent ce genre information, et lorsque vous pouvez y accéder, vous devenez un consommateur beaucoup plus averti et vous été d’avantage en mesure de ne pas vous faire rouler dans la farine.
La difficulté consiste à savoir où se cache ce trésor d’information et, comme pour tout ce que nous recherchons, cela prend du temps, de la créativité, du bon sens et de la patience.
Bonne chance !
mercredi, juin 12, 2019
Ah, cette empreinte carbone !
Je continue de passer en revue avantages et inconvénients liés à l’auto électrique Tesla. Plus j'étudie le sujet, plus je m’empêtre sans pouvoir prendre de décision.
Au début, j'étais un peu trop fixé sur l’autonomie lors des long voyages en voiture qu’il nous arrive de faire, en considérant la difficulté de planifier un itinéraire basé sur des bornes de recharge publique au long de la route, y compris le temps supplémentaire que recharger peut prendre quand ces bornes à charge rapide ne sont pas disponibles.
Ensuite, je me suis penché sur le type de véhicule qui nous convenait le mieux. À Park City, traction intégrale et garde au sol suffisante sont indispensables, avec un hayon arrière pour charger tout le matos de ski et pouvoir s'asseoir sur le rebord pour mettre les chaussures de ski.
Bien sûr, depuis le début, le coût a toujours été un facteur. Je préférerais ne pas payer le prix astronomique d’un modèle S ou X tout neuf, et serait davantage tenté d’attendre que le modèle Y soit disponible, ce qui risque de prendre du temps, à moins que je considère d’acheter un Modèle S d'occasion.
Ça, c'était jusqu'à l'autre soir quand je suis tombé sur mon voisin qui venait justement d’en acheter une, et qui s'est plaint que la voiture était trop basse (un vieux comme moi ne peut qu'être d'accord !) et que, malgré la traction intégrale, l’auto n'était pas très bonne dans la neige. Cette fois, j'étais confus et c’est là que mon jeune voisin m’a suggéré un modèle X d’occase qui, à son avis, serait mieux adapté, mais que notre revue de consommateurs juge assez mal…
Finalement, ce n’est qu’aujourd'hui, que je réalise que j'aurais dû commencer par mesurer ce que j’allais vraiment économiser sur mon empreinte carbone. Ma femme et moi ne roulons guère que 16 000 km par an, ce qui représente pourtant 4 tonnes de CO2 pour nos deux voitures. Une Tesla réduirait ce volume de deux tiers, le ramenant à 1,3 tonnes.
En même temps, si ma femme et moi faisons un vol aller-retour entre Salt Lake City et Genève pour rendre visite à nos amis et à la famille, cela ajoute 6,6 tonnes de CO2, ce qui est énorme et représente deux fois et demi que ce que nous économiserions si nous avions une voiture électrique.
J'ai fini par atterrir sur le site gouvernemental de l’environnement, où j'ai découvert que l’empreinte carbone totale de notre ménage, y compris maison, autos et recyclage, ne se se montait qu’à 11 tonnes par an, contre 13 tonnes pour un ménage américain moyen de deux personnes, comme nous. ce qui est plutôt un peu mieux, mais quand j’ai vu qu’au niveau national notre empreinte par habitant était de 16,5 tonnes, contre 8,9 pour l’Allemagne et 4,6 pour la France, je me suis découragé.
En tout cas, je ne suis toujours pas plus avancé en ce qui concerne la décision au sujet de ma future Tesla ...
Au début, j'étais un peu trop fixé sur l’autonomie lors des long voyages en voiture qu’il nous arrive de faire, en considérant la difficulté de planifier un itinéraire basé sur des bornes de recharge publique au long de la route, y compris le temps supplémentaire que recharger peut prendre quand ces bornes à charge rapide ne sont pas disponibles.
Ensuite, je me suis penché sur le type de véhicule qui nous convenait le mieux. À Park City, traction intégrale et garde au sol suffisante sont indispensables, avec un hayon arrière pour charger tout le matos de ski et pouvoir s'asseoir sur le rebord pour mettre les chaussures de ski.
Bien sûr, depuis le début, le coût a toujours été un facteur. Je préférerais ne pas payer le prix astronomique d’un modèle S ou X tout neuf, et serait davantage tenté d’attendre que le modèle Y soit disponible, ce qui risque de prendre du temps, à moins que je considère d’acheter un Modèle S d'occasion.
Ça, c'était jusqu'à l'autre soir quand je suis tombé sur mon voisin qui venait justement d’en acheter une, et qui s'est plaint que la voiture était trop basse (un vieux comme moi ne peut qu'être d'accord !) et que, malgré la traction intégrale, l’auto n'était pas très bonne dans la neige. Cette fois, j'étais confus et c’est là que mon jeune voisin m’a suggéré un modèle X d’occase qui, à son avis, serait mieux adapté, mais que notre revue de consommateurs juge assez mal…
Finalement, ce n’est qu’aujourd'hui, que je réalise que j'aurais dû commencer par mesurer ce que j’allais vraiment économiser sur mon empreinte carbone. Ma femme et moi ne roulons guère que 16 000 km par an, ce qui représente pourtant 4 tonnes de CO2 pour nos deux voitures. Une Tesla réduirait ce volume de deux tiers, le ramenant à 1,3 tonnes.
En même temps, si ma femme et moi faisons un vol aller-retour entre Salt Lake City et Genève pour rendre visite à nos amis et à la famille, cela ajoute 6,6 tonnes de CO2, ce qui est énorme et représente deux fois et demi que ce que nous économiserions si nous avions une voiture électrique.
J'ai fini par atterrir sur le site gouvernemental de l’environnement, où j'ai découvert que l’empreinte carbone totale de notre ménage, y compris maison, autos et recyclage, ne se se montait qu’à 11 tonnes par an, contre 13 tonnes pour un ménage américain moyen de deux personnes, comme nous. ce qui est plutôt un peu mieux, mais quand j’ai vu qu’au niveau national notre empreinte par habitant était de 16,5 tonnes, contre 8,9 pour l’Allemagne et 4,6 pour la France, je me suis découragé.
En tout cas, je ne suis toujours pas plus avancé en ce qui concerne la décision au sujet de ma future Tesla ...
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mardi, juin 11, 2019
S’enrichir d’avantage quand on est dentiste
Nous avons un bon dentiste, mais comme tout un chacun, il est soumis à une énorme pression pour extraire plus d’argent de ses patients afin de nourrir sa petite organisation. Nous l’avons vu essayer de nous vendre d’avantage de services, mais contrairement à beaucoup de ses patients, nous pouvons voir à travers son jeu et résister aux pressions qu’il aimerait bien nous imposer.
Tout comme nous nous méfions tous de notre mécano ou de notre plombier, nous devrions être encore plus inquiets lorsque nous nous trouvons allongés, sans défense sur un fauteuil de dentiste et que ce dernier nous abreuve de conseils. Cette personne nous a alors sous sa coupe, en parfaits otages sans défense, avec sa propre affaire à gérer, un matériel coûteux à amortir et un personnel à occuper, sans parler du coût de son cabinet, que celui-ci soit loués ou lui appartienne.
Même si notre dentiste est l’individu le plus honnête du monde, il est sous une pression incessante d’augmenter ses revenus, ce qui ne peut pas se faire uniquement en réduisant ses dépenses, mais avant tout en augmentant ses revenus, donc sa marge.
Pour ce faire, les dentistes disposent d'une « boîte à outils » contenant des moyens d'inciter les patients à dépenser davantage. Par exemple, ils doivent persuader ceux-ci d’accepter un traitement supplémentaire au lieu de les laisser sortir du cabinet sans ce dernier. Pour ce faire, les dentistes doivent faire des présentations convaincantes, en utilisant leur « équipe » pour renforcer leur crédibilité afin que le patient soit « éduqué » ou « inspiré » en vue de désirer le traitement en question.
L’idée étant que les patients trouveront toujours le moyen de payer ce qu'ils veulent vraiment. Les patients opterons pour ce traitement dentaire sur la base de leurs émotions, pas celle de leur éducation. Les organisation professionnelles de dentistes leur conseillent d’offrir davantage de services, comme l’aménagement d’une salle de traitement, d’une salle d’hygiène, un peu plus de personnel, ou encore un autre dentiste ou un hygiéniste de plus.
C’est un autre façon pour eux d’augmenter leurs revenus, tout en les encourageant à suivre une formation - au besoin - afin de pouvoir recommander des procédures particulièrement rentables, comme des placages de porcelaine, des implants, de la parodontie, de l’endodontie, des couronnes et des bridges, ainsi qu’un maximum de radiographies, procédures qui génèrent généralement d’excellentes marges.
On leur dit également que des honoraires plus élevés ne signifient pas nécessairement une augmentation des bénéfices. Par exemple, un canal radiculaire qui prend trois heures à faire n’est pas un traitement rentable. Tout cela est bien beau, mais pour ceux d'entre nous qui voyons les soins de santé comme un droit humain, nous nous retrouvons chez des marchants de tapis !
C’est quand mème écœurant de voir que ce service de santé essentiel tombe dans l’ornière de la manipulation la plus mercantile qui soit ...
Tout comme nous nous méfions tous de notre mécano ou de notre plombier, nous devrions être encore plus inquiets lorsque nous nous trouvons allongés, sans défense sur un fauteuil de dentiste et que ce dernier nous abreuve de conseils. Cette personne nous a alors sous sa coupe, en parfaits otages sans défense, avec sa propre affaire à gérer, un matériel coûteux à amortir et un personnel à occuper, sans parler du coût de son cabinet, que celui-ci soit loués ou lui appartienne.
Même si notre dentiste est l’individu le plus honnête du monde, il est sous une pression incessante d’augmenter ses revenus, ce qui ne peut pas se faire uniquement en réduisant ses dépenses, mais avant tout en augmentant ses revenus, donc sa marge.
Pour ce faire, les dentistes disposent d'une « boîte à outils » contenant des moyens d'inciter les patients à dépenser davantage. Par exemple, ils doivent persuader ceux-ci d’accepter un traitement supplémentaire au lieu de les laisser sortir du cabinet sans ce dernier. Pour ce faire, les dentistes doivent faire des présentations convaincantes, en utilisant leur « équipe » pour renforcer leur crédibilité afin que le patient soit « éduqué » ou « inspiré » en vue de désirer le traitement en question.
L’idée étant que les patients trouveront toujours le moyen de payer ce qu'ils veulent vraiment. Les patients opterons pour ce traitement dentaire sur la base de leurs émotions, pas celle de leur éducation. Les organisation professionnelles de dentistes leur conseillent d’offrir davantage de services, comme l’aménagement d’une salle de traitement, d’une salle d’hygiène, un peu plus de personnel, ou encore un autre dentiste ou un hygiéniste de plus.
C’est un autre façon pour eux d’augmenter leurs revenus, tout en les encourageant à suivre une formation - au besoin - afin de pouvoir recommander des procédures particulièrement rentables, comme des placages de porcelaine, des implants, de la parodontie, de l’endodontie, des couronnes et des bridges, ainsi qu’un maximum de radiographies, procédures qui génèrent généralement d’excellentes marges.
On leur dit également que des honoraires plus élevés ne signifient pas nécessairement une augmentation des bénéfices. Par exemple, un canal radiculaire qui prend trois heures à faire n’est pas un traitement rentable. Tout cela est bien beau, mais pour ceux d'entre nous qui voyons les soins de santé comme un droit humain, nous nous retrouvons chez des marchants de tapis !
C’est quand mème écœurant de voir que ce service de santé essentiel tombe dans l’ornière de la manipulation la plus mercantile qui soit ...
lundi, juin 10, 2019
Cette spirale ascendante qui aspire l’Amérique
L'argent est tout en Amérique. Il en faut énormément si vous voulez poursuivre le rêve américain.
Cela veut dire que vous travaillerez bien plus, encore plus longtemps et que vous essaierez de devenir le meilleur dans votre spécialité pour gagner tout cet argent dont vous avez besoin.
Quand vous en aurez plus, vous pouvez acheter d’avantage de biens, essayer de maximiser votre achat en empruntant juste un peu plus que prévu, et bien entendu, travailler encore plus fort pour équilibrer les comptes.
De cette façon, vous arriverez à dépasser vos voisins ou vous pourrez enfin atteindre ces nobles objectifs que vous vous étiez fixés et qui sont depuis devenus une cible mouvante. Cela entraîne alors une poursuite sans fin et vous place désormais dans une spirale ascendante sans issue apparente et ingérable.
Celle-ci accapare toute votre attention, génère encore plus de stress et vous fait traverser la vie sans jamais plus l’apprécier ...
Cela veut dire que vous travaillerez bien plus, encore plus longtemps et que vous essaierez de devenir le meilleur dans votre spécialité pour gagner tout cet argent dont vous avez besoin.
Quand vous en aurez plus, vous pouvez acheter d’avantage de biens, essayer de maximiser votre achat en empruntant juste un peu plus que prévu, et bien entendu, travailler encore plus fort pour équilibrer les comptes.
De cette façon, vous arriverez à dépasser vos voisins ou vous pourrez enfin atteindre ces nobles objectifs que vous vous étiez fixés et qui sont depuis devenus une cible mouvante. Cela entraîne alors une poursuite sans fin et vous place désormais dans une spirale ascendante sans issue apparente et ingérable.
Celle-ci accapare toute votre attention, génère encore plus de stress et vous fait traverser la vie sans jamais plus l’apprécier ...
dimanche, juin 09, 2019
Mettre fin aux appels « robotisés» ?
Cela se produit tous les jours. Si nous utilisons encore un téléphone fixe, nous sommes inondés d'appels indésirables et personne, au gouvernement, ne semble s’intéresser à y mettre fin. Bien sûr, on nous dit de temps en temps que le Congrès vas se pencher sur la question, mais je n’ai plus trop confiance en cette branche du gouvernement.
Alors, comme tout le monde, je suis terriblement frustré, mais je reste sans solution. Ma seule ligne de défense est de de refuser de décrocher à chaque sonnerie s’il s’agit d’un numéro que je ne reconnais pas. C'était jusqu'à ce que je découvre la possibilité de transférer mon compte Google Voice sur notre ligne fixe.
Obihai est une société californienne qui fabrique des adaptateurs de téléphones analogiques (ATA). Ces appareils convertissent les téléphones fixes ordinaires en téléphones VoIP, système que nous utilisons à la maison depuis 15 ans. Google Voice est un «logiciel de téléphonie» qui permet aux utilisateurs de Google de passer des appels téléphoniques gratuits depuis leur ordinateurs.
C'est ainsi qu'Obihai s'est rendu compte qu'il pouvait exploiter cette technologie en mettant au point un appareil permettant aux utilisateurs de passer des appels gratuits en utilisant leurs propres lignes fixes. Cet appareil peut être acheté pour environ 55 dollars sur Amazon.
Google Voice n’offre qu’un choix très limité en matière de numéros téléphoniques et il peut être difficile d’en trouver un correspondant à votre indicatif régional particulier. Comme il s’agit déjà d’un service gratuit utilisé par un parti tiers, Google n’offre pas de support technique.
Si vous tenez absolument à conserver votre numéro de téléphone fixe, Google le transférera pour 20 dollars, mais le processus est plutôt compliqué. Si vous parvenez à naviguer au travers de toutes les étapes requises, vous aurez un service téléphonique gratuit et sans appels robotisés. Vous pouvez également recevoir des SMS sur votre ligne et faire des appels internationaux pas cher du tout.
Si j’y suis parvenu, je suis sûr que vous pouvez en faire autant !
Alors, comme tout le monde, je suis terriblement frustré, mais je reste sans solution. Ma seule ligne de défense est de de refuser de décrocher à chaque sonnerie s’il s’agit d’un numéro que je ne reconnais pas. C'était jusqu'à ce que je découvre la possibilité de transférer mon compte Google Voice sur notre ligne fixe.
Obihai est une société californienne qui fabrique des adaptateurs de téléphones analogiques (ATA). Ces appareils convertissent les téléphones fixes ordinaires en téléphones VoIP, système que nous utilisons à la maison depuis 15 ans. Google Voice est un «logiciel de téléphonie» qui permet aux utilisateurs de Google de passer des appels téléphoniques gratuits depuis leur ordinateurs.
C'est ainsi qu'Obihai s'est rendu compte qu'il pouvait exploiter cette technologie en mettant au point un appareil permettant aux utilisateurs de passer des appels gratuits en utilisant leurs propres lignes fixes. Cet appareil peut être acheté pour environ 55 dollars sur Amazon.
Google Voice n’offre qu’un choix très limité en matière de numéros téléphoniques et il peut être difficile d’en trouver un correspondant à votre indicatif régional particulier. Comme il s’agit déjà d’un service gratuit utilisé par un parti tiers, Google n’offre pas de support technique.
Si vous tenez absolument à conserver votre numéro de téléphone fixe, Google le transférera pour 20 dollars, mais le processus est plutôt compliqué. Si vous parvenez à naviguer au travers de toutes les étapes requises, vous aurez un service téléphonique gratuit et sans appels robotisés. Vous pouvez également recevoir des SMS sur votre ligne et faire des appels internationaux pas cher du tout.
Si j’y suis parvenu, je suis sûr que vous pouvez en faire autant !
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samedi, juin 08, 2019
Trump vu d'Europe…
Les récentes commémorations du débarquement du 6 juin 1944 ont donné aux médias européens une nouvelle chance d'analyser Donald Trump de long en large et en travers.
La plupart d'entre eux continuent de se tromper en prêtant un Plan au président des États-Unis derrière ses comportements des plus bizarres et imprévisibles, alors qu'en réalité, il n'y a rien derrière tout ça ; juste une série de tactiques qui lui viennent à la tête comme de par hasard, semblables aux bulles qui montent à la surface d’un verre de Perrier, des heures après que l'eau y ait été versée.
L'homme n'a aucune stratégie, juste quelques réactions instinctives capables d’entraîner les marchés financiers à la baisse pendant un jour ou deux, avant qu'ils ne se remontent quand tout le monde s’est aperçu qu’il s’agissait d’une alerte bidon. Son unique stratégie c'est Moi, Moi et encore Moi. Point barre !
Ce qui est certain et ce que l’on doit souhaiter, est qu’en l’absence d’un Grand Plan, notre roi n’a plus que ses couches sur lui et sera sans doute complètement nu en novembre 2020.
La plupart d'entre eux continuent de se tromper en prêtant un Plan au président des États-Unis derrière ses comportements des plus bizarres et imprévisibles, alors qu'en réalité, il n'y a rien derrière tout ça ; juste une série de tactiques qui lui viennent à la tête comme de par hasard, semblables aux bulles qui montent à la surface d’un verre de Perrier, des heures après que l'eau y ait été versée.
L'homme n'a aucune stratégie, juste quelques réactions instinctives capables d’entraîner les marchés financiers à la baisse pendant un jour ou deux, avant qu'ils ne se remontent quand tout le monde s’est aperçu qu’il s’agissait d’une alerte bidon. Son unique stratégie c'est Moi, Moi et encore Moi. Point barre !
Ce qui est certain et ce que l’on doit souhaiter, est qu’en l’absence d’un Grand Plan, notre roi n’a plus que ses couches sur lui et sera sans doute complètement nu en novembre 2020.
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vendredi, juin 07, 2019
Les livraison « subprime » de Prime (Amazon)
Depuis pas mal de temps, Amazon envisageait de lancer son propre service de livraison et ses camionnettes bleues sont désormais visibles un peut partout en Amérique.
Bien que la société utilise Fedex, UPS et les services postaux depuis des années, elle visait depuis toujours à réduire ses énormes coût d’expéditions et c’est l’une des raisons pour lesquelles elle voulait progressivement ramener cette activité au sein de l’entreprise.
Une bonne façon de gagner encore plus d’argent, suivant le scénario typique de notre société américaine. Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, ne pouvait pas s'empêcher de regarder les énormes profits trimestriels qu’engrangeait UPS sans saliver à l’idée d’en récupérer un peu pour considérablement impacter ses résultats.
De plus, en contrôlant ses propres livraisons, Amazon peut réduire ses temps de livraison et attirer encore plus de clients vers son abonnement « Prime ». Enfin, la société peut également suivre les livraisons du début à la fin, sans se faire piéger quand les clients se plaignent de ne jamais pas reçu leur commande.
En théorie, ce semble logique, mais comme on dit, le diable est dans les détails, car l’expédition et la livraison constituent un véritable savoir-faire qu’il va falloir qu’Amazon maîtrise bien avant de devenir complètement opérationnel et compétitif.
C’est dans cet esprit que l’entreprise a créé son nouveau programme « Delivery Service Partners », qui s’adresse aux entrepreneurs souhaitant se lancer et investir dans leur propre service de livraison des produits Amazon, pour une mise de départ d’environ 9 000 euros. Amazon fait miroiter à ces travailleurs indépendants des revenus annuels compris entre 67 000 et 270 000 euros.
Je viens justement de faire l’expérience de ce tout nouveau système de distribution «Prime». Ce 3 juin, j'avais commandé un appareil de communication que je n’ai jamais reçu.
Nous n'étions pas à la maison au moment où le colis aurait dû être livré, mais visiblement il n’était pas là. La confirmation de commande montrait pourtant une photo du colis à côté d’une porte d’entrée, sauf que ce n’était pas la mienne.
J'ai dû passer 30 minutes à discuter avec un associé d'Amazon pour expliquer ma situation, entendre son point de vue, et obtenir que les frais de transaction me soit crédités. J'ai immédiatement recommandé la pièce et le 5 juin, j'attendais cette fois qu’on me la livre.
Prudemment, j'ai suivi la carte interactive de livraison qui est surgie sur l’écran mon ordinateur. Alors que la camionnette de livraison n’était qu’à seulement 300 mètres de chez moi, je suis sorti et j'ai attendu qu’elle se pointe. Elle se pointa en effet, mais apparemment sans aucune intention de s'arrêter chez moi.
J’ai donc du me déplacer au milieu de la chaussée pour forcer la conductrice à s’arrêter et me remettre mon colis. Elle semblait totalement en dehors de ses pompes et visiblement pas à la hauteur de sa tâche.
Tout cela pour dire que M. Bezos aura quelques améliorations à apporter à son système s’il veut rester dans le secteur de la livraison de colis, et conserver ses clients ..
Bien que la société utilise Fedex, UPS et les services postaux depuis des années, elle visait depuis toujours à réduire ses énormes coût d’expéditions et c’est l’une des raisons pour lesquelles elle voulait progressivement ramener cette activité au sein de l’entreprise.
Une bonne façon de gagner encore plus d’argent, suivant le scénario typique de notre société américaine. Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, ne pouvait pas s'empêcher de regarder les énormes profits trimestriels qu’engrangeait UPS sans saliver à l’idée d’en récupérer un peu pour considérablement impacter ses résultats.
De plus, en contrôlant ses propres livraisons, Amazon peut réduire ses temps de livraison et attirer encore plus de clients vers son abonnement « Prime ». Enfin, la société peut également suivre les livraisons du début à la fin, sans se faire piéger quand les clients se plaignent de ne jamais pas reçu leur commande.
En théorie, ce semble logique, mais comme on dit, le diable est dans les détails, car l’expédition et la livraison constituent un véritable savoir-faire qu’il va falloir qu’Amazon maîtrise bien avant de devenir complètement opérationnel et compétitif.
C’est dans cet esprit que l’entreprise a créé son nouveau programme « Delivery Service Partners », qui s’adresse aux entrepreneurs souhaitant se lancer et investir dans leur propre service de livraison des produits Amazon, pour une mise de départ d’environ 9 000 euros. Amazon fait miroiter à ces travailleurs indépendants des revenus annuels compris entre 67 000 et 270 000 euros.
Je viens justement de faire l’expérience de ce tout nouveau système de distribution «Prime». Ce 3 juin, j'avais commandé un appareil de communication que je n’ai jamais reçu.
Nous n'étions pas à la maison au moment où le colis aurait dû être livré, mais visiblement il n’était pas là. La confirmation de commande montrait pourtant une photo du colis à côté d’une porte d’entrée, sauf que ce n’était pas la mienne.
J'ai dû passer 30 minutes à discuter avec un associé d'Amazon pour expliquer ma situation, entendre son point de vue, et obtenir que les frais de transaction me soit crédités. J'ai immédiatement recommandé la pièce et le 5 juin, j'attendais cette fois qu’on me la livre.
Prudemment, j'ai suivi la carte interactive de livraison qui est surgie sur l’écran mon ordinateur. Alors que la camionnette de livraison n’était qu’à seulement 300 mètres de chez moi, je suis sorti et j'ai attendu qu’elle se pointe. Elle se pointa en effet, mais apparemment sans aucune intention de s'arrêter chez moi.
J’ai donc du me déplacer au milieu de la chaussée pour forcer la conductrice à s’arrêter et me remettre mon colis. Elle semblait totalement en dehors de ses pompes et visiblement pas à la hauteur de sa tâche.
Tout cela pour dire que M. Bezos aura quelques améliorations à apporter à son système s’il veut rester dans le secteur de la livraison de colis, et conserver ses clients ..
jeudi, juin 06, 2019
Cueillette de fleurs
Un autre travail intéressant que j’avais quand j’étais enfant, était d’aller cueillir des fleurs.
Notre restaurant familial n'était ouvert que l'été à l'époque et s'appelait « Les Rhodos », l’abréviation de rhododendron, cet arbuste à fleurs que l’on trouve un peu partout dans alpages de Savoie et qui fleurit autour de la fin juin et du début.
Pendant cette période nous décorions la salle à manger avec ces belles fleurs rouges fraîchement cueillies et mes parents m'envoyaient le matin chercher une provision de ces fleurs toutes fraîches.
J’accomplissais cette tâche avec enthousiasme car cela me libérerait d’autres travaux déplaisants et me permettais de faire ce que j’adorais, à savoir errer librement dans les montagnes, escalader des rochers, me raconter des tas d’histoires et ressentir l’immense plaisir de ne pas avoir à subir de pressions de qui que ce soit.
Pour moi, c’était du pur bonheur à une époque où de tels moments étaient quasiment inexistants dans ma vie de petit garçon ...
Notre restaurant familial n'était ouvert que l'été à l'époque et s'appelait « Les Rhodos », l’abréviation de rhododendron, cet arbuste à fleurs que l’on trouve un peu partout dans alpages de Savoie et qui fleurit autour de la fin juin et du début.
Pendant cette période nous décorions la salle à manger avec ces belles fleurs rouges fraîchement cueillies et mes parents m'envoyaient le matin chercher une provision de ces fleurs toutes fraîches.
J’accomplissais cette tâche avec enthousiasme car cela me libérerait d’autres travaux déplaisants et me permettais de faire ce que j’adorais, à savoir errer librement dans les montagnes, escalader des rochers, me raconter des tas d’histoires et ressentir l’immense plaisir de ne pas avoir à subir de pressions de qui que ce soit.
Pour moi, c’était du pur bonheur à une époque où de tels moments étaient quasiment inexistants dans ma vie de petit garçon ...
mercredi, juin 05, 2019
Bonus quotidien
Après 70 ans, les choses ne s’améliorent généralement pas et le changement quand il arrive – et celui-ci ne manque jamais d’arriver - apporte souvent de mauvaises nouvelles du genre, maladie physique, incapacité mentale ou tout une collection de désagréables surprises.
Il devrait donc être logique de voir en chaque jour sans situation aggravante, un moment béni ou, comme je dirais, un bonus bienvenu ! Alors que nous montons rapidement en âge et descendons lentement vers les ténèbres de la décrépitude, chaque jour qui passe sans événement négatif doit être profondément apprécié et fêté.
C’est au moins ce que je m’applique à faire au quotidien !
Il devrait donc être logique de voir en chaque jour sans situation aggravante, un moment béni ou, comme je dirais, un bonus bienvenu ! Alors que nous montons rapidement en âge et descendons lentement vers les ténèbres de la décrépitude, chaque jour qui passe sans événement négatif doit être profondément apprécié et fêté.
C’est au moins ce que je m’applique à faire au quotidien !
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mardi, juin 04, 2019
Quand je gardais les cochons
Un de mes premiers emplois, quand j’étais enfant, était de prendre soin de nos cochons. C’est ça, chaque printemps mon père élevait une douzaine de cochons qu’il gardait jusqu’à l’automne et l’hiver.
Il achetait des porcelets au moment de la montée à l’alpage des Lindarets, tout près de Morzine, haut-perché, au-dessus de la maison familiale de Montriond où nous passions l'hiver, du début juin au 30 septembre.
Pendant l'été, nos porcs grandissaient et étaient bien engraissés grâce au petit-lait, sous-produit de la fabrication du fromage et du beurre qui étaient les spécialités de mon père. Ces animaux étaient enfermés, très à l’étroit dans un petit local malodorant appelé « boîton » en patois local. En plus de récurer les déjection de ceux-ci, je devais, à l’occasion, les emmener dans la nature environnante afin de les sortir un peu de leur prison.
Il n’est pas exagéré de dire que je détestais faire ça. Lors des rares occasions où je sortais ces pauvres cochons, je les emmenais toujours trop loin, en plein soleil et dans des endroits trop éloignés pour eux, bien au delà de la sortie ouest du village, au lieu-dit « La cache do rousi » sous le chaud soleil d'été.
Quand mon petit troupeau de porcs était de retour, ils s’étaient fait brûler sous le soleil, tous étaient tout rouges et complètement épuisés. Je m’en fichait un peu, sauf que je craignais quand même la réprimande paternelle, mais c’était ma façon de me venger pour devoir faire une corvée que je haïssait.
Depuis lors, j’ai eu la chance de changer de profession et j’en suis très satisfait !
Il achetait des porcelets au moment de la montée à l’alpage des Lindarets, tout près de Morzine, haut-perché, au-dessus de la maison familiale de Montriond où nous passions l'hiver, du début juin au 30 septembre.
Pendant l'été, nos porcs grandissaient et étaient bien engraissés grâce au petit-lait, sous-produit de la fabrication du fromage et du beurre qui étaient les spécialités de mon père. Ces animaux étaient enfermés, très à l’étroit dans un petit local malodorant appelé « boîton » en patois local. En plus de récurer les déjection de ceux-ci, je devais, à l’occasion, les emmener dans la nature environnante afin de les sortir un peu de leur prison.
Il n’est pas exagéré de dire que je détestais faire ça. Lors des rares occasions où je sortais ces pauvres cochons, je les emmenais toujours trop loin, en plein soleil et dans des endroits trop éloignés pour eux, bien au delà de la sortie ouest du village, au lieu-dit « La cache do rousi » sous le chaud soleil d'été.
Quand mon petit troupeau de porcs était de retour, ils s’étaient fait brûler sous le soleil, tous étaient tout rouges et complètement épuisés. Je m’en fichait un peu, sauf que je craignais quand même la réprimande paternelle, mais c’était ma façon de me venger pour devoir faire une corvée que je haïssait.
Depuis lors, j’ai eu la chance de changer de profession et j’en suis très satisfait !
lundi, juin 03, 2019
L'immigration, rançon du colonialisme ?
En écoutant la radio ce matin, mon attention a été attirée par un nouveau livre intitulé « This land is our land » (Cette terre est la notre » par Suketu Mehta, un écrivain né en Inde et lauréat de prix littéraires, basé à New York.
Dans son nouveau livre, Mehta tente d’éclairer la controverse que suscite toute discussion sur l’immigration. En se basant sur son expérience d’adolescent grandissant aux États-Unis ainsi que de ses nombreuses années de reportage à travers le monde, il examine de près le discours anti-immigration que l’on nous sert de tout cotés.
Il affirme que l’Occident n’est pas menacé par les immigrés mais plutôt par sa peur de voir des gens s’installer chez eux et perturber le statu quo. Il souligne que des années de colonialisme ont appauvrit des continents entiers et ont permis à d'énormes entreprises multinationales de s'établir dans le monde en voie développement et de poursuivre cette exploitation, longtemps après que les Blancs soient bien tranquillement rentrés chez eux.
Alors, quand on demande aux immigrants d'aujourd'hui : « Pourquoi venez-vous ici ? », Ils peuvent répondre très justement de cette manière : « Nous sommes ici parce que c’est VOUS qui étiez d’abord dans nos pays ». L'auteur s'attaque à toutes ces histoires que nous servent aujourd'hui nos idéologues populistes et les remet en cause.
Des témoignages de tous ceux qui viennent en Occident des quatre coins de la planète pour faire les petits boulots comme chauffeurs de taxi, femmes de ménage, gardes d’enfants et bien d’autres, expliquent pourquoi plus que jamais les gens se déplacent de par le monde.
Alors que l’instabilité politique et le changement climatique perturbent presque tous les continents, il n’est guère surprenant de voir que les frontières ne sont plus capable de contenir les pressions engendrées par les énormes inégalités mondiales.
C’est un livre que j’ai l’intention de découvrir, car qu’il rejoint l’idée que je me fais que notre monde appartient à tous, que les frontières sont arbitraires et que la libre circulation des êtres humains peut être régulée pour devenir ordonnée, mais qu’au bout du compte, ne peut plus être empêchée …
Dans son nouveau livre, Mehta tente d’éclairer la controverse que suscite toute discussion sur l’immigration. En se basant sur son expérience d’adolescent grandissant aux États-Unis ainsi que de ses nombreuses années de reportage à travers le monde, il examine de près le discours anti-immigration que l’on nous sert de tout cotés.
Il affirme que l’Occident n’est pas menacé par les immigrés mais plutôt par sa peur de voir des gens s’installer chez eux et perturber le statu quo. Il souligne que des années de colonialisme ont appauvrit des continents entiers et ont permis à d'énormes entreprises multinationales de s'établir dans le monde en voie développement et de poursuivre cette exploitation, longtemps après que les Blancs soient bien tranquillement rentrés chez eux.
Alors, quand on demande aux immigrants d'aujourd'hui : « Pourquoi venez-vous ici ? », Ils peuvent répondre très justement de cette manière : « Nous sommes ici parce que c’est VOUS qui étiez d’abord dans nos pays ». L'auteur s'attaque à toutes ces histoires que nous servent aujourd'hui nos idéologues populistes et les remet en cause.
Des témoignages de tous ceux qui viennent en Occident des quatre coins de la planète pour faire les petits boulots comme chauffeurs de taxi, femmes de ménage, gardes d’enfants et bien d’autres, expliquent pourquoi plus que jamais les gens se déplacent de par le monde.
Alors que l’instabilité politique et le changement climatique perturbent presque tous les continents, il n’est guère surprenant de voir que les frontières ne sont plus capable de contenir les pressions engendrées par les énormes inégalités mondiales.
C’est un livre que j’ai l’intention de découvrir, car qu’il rejoint l’idée que je me fais que notre monde appartient à tous, que les frontières sont arbitraires et que la libre circulation des êtres humains peut être régulée pour devenir ordonnée, mais qu’au bout du compte, ne peut plus être empêchée …
dimanche, juin 02, 2019
La Tesla présidentielle
Je suis assez déçu que notre président, au demeurant si « cool », n’ait pas choisi Tesla pour sa voiture présidentielle, c’est-à-dire, sa limousine officielle. Le modèle qu’il utilise est une Cadillac unique. Pourquoi Donald n’a-t-il pas choisi Tesla?
D’abord parce que Monsieur ne croit pas au changement climatique, a aussi peur de tout et en particulier de se faire électrocuter, ou encore parce qu’Elon Musk, fondateur et patron de Tesla, n’est pas fan de notre Donald national et n’a jamais pensé que l’homme d’affaires était le candidat idéal.
Alors Trump, qui ne pardonne pas et oublie encore moins, s’est rabattu à la place sur General Motors et ses Cadillacs, commandant trois limousines pour une prix « modeste » de 5 millions d’euros l’exemplaire.
Il s’agit de trois versions spéciales du modèle Cadillac CT6, juste en plus mastoc. Ce nouveau modèle sur mesure, pesant près de 7 tonnes, a été mis en circulation pour la première fois le 24 septembre 2018 lors d’un déplacement présidentiel à New York, et - oui, cette limousine fait très désuète (tout comme l'homme qu'elle est supposée transporter) et n’est ni hybride, ni électrique !
D’abord parce que Monsieur ne croit pas au changement climatique, a aussi peur de tout et en particulier de se faire électrocuter, ou encore parce qu’Elon Musk, fondateur et patron de Tesla, n’est pas fan de notre Donald national et n’a jamais pensé que l’homme d’affaires était le candidat idéal.
Alors Trump, qui ne pardonne pas et oublie encore moins, s’est rabattu à la place sur General Motors et ses Cadillacs, commandant trois limousines pour une prix « modeste » de 5 millions d’euros l’exemplaire.
Il s’agit de trois versions spéciales du modèle Cadillac CT6, juste en plus mastoc. Ce nouveau modèle sur mesure, pesant près de 7 tonnes, a été mis en circulation pour la première fois le 24 septembre 2018 lors d’un déplacement présidentiel à New York, et - oui, cette limousine fait très désuète (tout comme l'homme qu'elle est supposée transporter) et n’est ni hybride, ni électrique !
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samedi, juin 01, 2019
Où sont les animaux ?
Hier matin, alors que je me dirigeais vers Snowbird, pour y aller skier, je passais sous le pont mis en service en décembre dernier afin de laisser traverser en toute sécurité notre faune locale, et qui a 5 millions de dollars aux contribuables.
Je passe à cet endroit plusieurs fois par mois et je n’ai pas encore vu des cerfs ou des chevreuils en train de passer là. Je crois savoir qu'il y a des caméras mises en place pour observer le passage de ces animaux, et j’aimerai bien y jeter un œil. En tout cas, selon ma façon de calculer, le premier gros animal qui franchira ce pont (si cela ne s’est jamais produit?) nous coûtera 5 millions de dollars.
Naturellement, le coût pas bestiole diminuera à mesure que l’activité va s’amplifier. Un millier de bêtes traversant le pont ne coûterait que 5 000 dollars par tête de pipe, ce qui me semble pourtant encore assez onéreux.
John Gleason, un porte-parole des ponts et chaussées en Utah, a déclaré qu'il avait fallu quelques années pour que les animaux se mettent à utiliser un pont similaire situé dans le sud de l’état, mais il affirme qu’aujourd’hui c'est désormais devenu pour eux un réflexe conditionné. « Il faudra probablement un peu de réapprentissage », a-t-il déclaré. «Il y a de bonnes chances que nous ne sachions pas quelle sera l'efficacité de cette traversée pendant encore un bon moment. Il s'agira vraiment de déterminer si se dispositif est capable de réduire le nombre de collisions entre véhicules et animaux. »
Bon, cela dit, je continue de penser que le décor de ce pont laisse à désirer par rapport à ceux construit sur la transcanadienne, près de Banff au Canada. Ceux-ci sont bien boisés et végétalisés, recréant ainsi un environnement plus naturel, et si c’était la même chose à Park City nous attirerions d’avantage de candidats, mais comment puis me permettre de dire ça, je ne suis quand même pas un orignal !
Je passe à cet endroit plusieurs fois par mois et je n’ai pas encore vu des cerfs ou des chevreuils en train de passer là. Je crois savoir qu'il y a des caméras mises en place pour observer le passage de ces animaux, et j’aimerai bien y jeter un œil. En tout cas, selon ma façon de calculer, le premier gros animal qui franchira ce pont (si cela ne s’est jamais produit?) nous coûtera 5 millions de dollars.
Naturellement, le coût pas bestiole diminuera à mesure que l’activité va s’amplifier. Un millier de bêtes traversant le pont ne coûterait que 5 000 dollars par tête de pipe, ce qui me semble pourtant encore assez onéreux.
John Gleason, un porte-parole des ponts et chaussées en Utah, a déclaré qu'il avait fallu quelques années pour que les animaux se mettent à utiliser un pont similaire situé dans le sud de l’état, mais il affirme qu’aujourd’hui c'est désormais devenu pour eux un réflexe conditionné. « Il faudra probablement un peu de réapprentissage », a-t-il déclaré. «Il y a de bonnes chances que nous ne sachions pas quelle sera l'efficacité de cette traversée pendant encore un bon moment. Il s'agira vraiment de déterminer si se dispositif est capable de réduire le nombre de collisions entre véhicules et animaux. »
Bon, cela dit, je continue de penser que le décor de ce pont laisse à désirer par rapport à ceux construit sur la transcanadienne, près de Banff au Canada. Ceux-ci sont bien boisés et végétalisés, recréant ainsi un environnement plus naturel, et si c’était la même chose à Park City nous attirerions d’avantage de candidats, mais comment puis me permettre de dire ça, je ne suis quand même pas un orignal !
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