Les souvenirs, bons ou mauvais, ont toujours eu une énorme influence sur ma vie. Ils ont construit mon histoire personnelle, ont été des jalons et une source de réconfort, car instinctivement, je semble donner la priorité aux bons plutôt qu’aux autres.
À bien des égards, les bons souvenirs constituent le carburant nécessaire pour aller de l’avant, être plus actif et se lancer dans des rêves et des projets. Ce genre de souvenirs, vous l’aurez deviné, sont tous de nature positive. Ils m'apportent de la positivité et de la résilience.
Ils sont également une source de joie car ils soulignent mes réalisations et renforcent fortement ma confiance en moi. Ils me rappellent que je suis capable d’affronter les défis et sont ma batterie émotionnelle dans les moments difficiles.
Lorsque je suis avec d’autres, partager des souvenirs positifs m’aide à faire cette connexion si importante, à comprendre et à me sentir partie intégrante du groupe. Se souvenir de mes réussites personnelles m’inspire également à me fixer de nouveaux objectifs et à persévérer.
D’un autre côté, même s’ils jouent un rôle caché, les mauvais souvenirs me rappellent toutes les leçons que j’ai appris ; sur moi-même, sur les autres et sur mon environnement, renforçant ainsi ma résilience, mon empathie et ma capacité à résoudre les problèmes.Parfois, ils m’ont poussé à jouer le rôle de catalyseur, m’obligeant à modifier mon comportement, à travailler sur mes relations ou même à ajouter un important savoir-faire professionnel. Il est évident que les difficultés nous rendent tous plus forts et constituent un tremplin vers une personnalité à la fois plus complète et mature.
En fin de compte, bons et mauvais souvenirs contribuent à construire notre propre parcours et à nous façonner. De plus, notre capacité à les intégrer de manière constructive nous fait grandir, prendre conscience de qui nous sommes et d’être résilient.
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