Pour cette raison, dans certains cas, les photos des chefs de secte ont été brûlées ou il y a eu des interactions très conflictuelles entre les déprogrammeurs et leur sujets. L’idée était de déclencher une réponse émotionnelle à partir du choc, de la peur et de la confrontation. De nos jours, on dit que l’accent doit être mis sur le processus suivant.
D’abord, il est essentiel d’impliquer, plutôt que d’ignorer les partisans de Trump, ce dont je suis parfaitement convaincu. Ensuite, en posant des questions et en présentant des contradictions autour du comportement de l’ancien président, il devrait être plus facile de le discréditer. Par exemple, en demandant « Comment fait-il pour mentir à chaque fois qu'il dit quelque chose ? »
Le point de rupture est censé être atteint lorsque le sujet commence à accepter la position du déprogrammeur et à douter de son idéologie. Souvent, cela conduit le sujet à commencer à exprimer des critiques et des plaintes contre le nouveau parti républicain. Le sujet commence à s'identifier aux déprogrammeurs et à penser comme un opposant à la secte plutôt qu’à un membre.
Cette approche peut paraître trop simpliste à beaucoup, y compris à moi-même. Certains affirment qu'elle pourrait causer plus de mal que de bien au sujet. Pour que cette approche fonctionne, les sujets doivent être convaincus qu’ils ont rejoint le mouvement politique Trump contre leur gré. Ils doivent alors renoncer à leurs engagements et accepter, d'une manière mystérieuse, que leurs esprits soient contrôlés.
Au lieu de cela, je crois que beaucoup aiment Trump parce qu'il a été capable de valider leurs côtés les plus sombres et cela va à l'encontre d'une violation de leur libre arbitre.
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