Aujourd’hui, je parle du ski en temps que sport et de l’importance de la vue lorsque quand on évolue sur les pistes. La situation idéale étant bien sûr une belle journée ensoleillée avec un ciel d’azur où chaque relief de terrain est parfaitement discernable et nous prépare bien à ce qui va suivre.
Pourtant, ce n’est là qu’une situation idéale qui est loin d’être toujours la règle. Parfois, il faut se battre contre « le jour blanc » où tout semble uniforme et bien d'autres situations où l'éclairage naturel laisse plutôt à désirer, ensuite il y a le brouillard, un phénomène nouveau à Park City qui est un cadeau empoisonné des rivières atmosphériques qui sont maintenant beaucoup plus fréquentes qu'auparavant, si elles existaient même autrefois.
Le brouillard est affreux et donne une sensation « à retardement » de ce qui se passe dans le corps, de la colonne vertébrale, aux vertèbres, à la tête, aux hanches, genoux et chevilles quand on s’y attend le moins. C’est ce que arrive quand nous skions sans visibilité. Cela fait mal, peut nous faire chuter, nous blesser, et c’est très dangereux.Que pouvons-nous faire? Faire travailler notre imagination, restez sur les pistes parfaitement damées ou, mieux encore, restez bien gentiment à la maison !
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