Ceux qui me connaissent bien savent que je skie souvent seul et que cela me satisfait parfaitement. L'exception concerne bien sûr les membres de ma famille et les amis que j'apprécie beaucoup. Le ski, c'est compliqué. Cela implique un ensemble presque infini d’options.
A commencer par les différents niveaux de chacun, mais aussi les pistes, la qualité de la neige, la nature du terrain, le type de lumière, le type de météo, la vitesse, l'inclinaison de la pente et bien plus encore.
Ainsi, skier en groupe exige automatiquement un leadership clair, permanent ou par rotation, mais le plus souvent le meneur est en partie défini par le niveau à ski de l'individu en tête, surtout, par la connaissance locale des lieux.
Il est facile de comprendre la complexité de la proposition et les conséquences exponentielles quand on ajoute un skieur de plus à un groupe compte tenu de l’impact que cela a sur sa dynamique.
Tout cela fait que plus un groupe est diversifié et plus grand est le nombre de participants, la sortie va être beaucoup plus compliquée et c’est pourquoi en fin de compte, je skie souvent beaucoup et malgré ce qu'on pourrait croire, je suis toujours content au bout du compte. Traitez-moi d'égoïste si vous voulez.
Bien sûr, d’un autre côté, il y a la convivialité, les incidents cocasses, le bon gueuleton et la belle photo à la fin d’une sortie à ski en groupe !
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