Ceci dit, je crois aux paroles de mon compatriote Antoine Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », car mes cellules seront certainement recyclées pour un tout autre usage après ma disparition, et quoi que j'aie fait ou créé , bon ou mauvais, est susceptible de me suivre pendant longtemps si quelqu'un ne décide pas de tout détruire.
Ai-je mentionné la petite partie de moi qui a créé ma progéniture ?
Alors, sur ces aspects infimes, je peux me consoler en pensant que je laisse une traînée d'éternité dans mon sillage, peut-être pas aussi durable que celle de Mozart ou de Spinoza, mais peu importe ! Corps et esprit mortels, mais héritage éternel ...
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