Il y a cinquante ans, j’étais sans cesse à la recherche d’une carrière, si possible saisonnière, qui allait, dans l’absolu, cadrer parfaitement avec mon métier de moniteur de ski qui venait juste de démarrer.
Au printemps, j'avais essayé de jouer aux assistants géomètres, mais je n'avais pas poursuivi cette activité pour des raisons expliquées dans un blog précédent.
Après avoir travaillé pendant l’été au restaurant familial, je m’étais alors tourné vers un métier pas très connu, celui de métreur-vérificateur dans le bâtiment, qui consistait à faire des devis mais surtout à vérifier les coûts des travaux effectués.
Cela me semblait une parfaite opportunité à explorer. Je suis donc allé travailler cet automne 1970 dans une petite entreprise appartenant à deux jeunes associés, Arnaud et Malagutti, à Cluses, la ville même où j’avais complété me études d’horlogerie quatre ans auparavant.
Le travail consistait principalement à travailler avec des peintres et des maçons et à vérifier le côté dimensionnel de leur travail afin d’en certifier la facturation. Un travail local qui m'emmenait aussi dans certaines stations de montagne voisines, comme La Clusaz et le Grand Bornand.
Mes patrons étaient sympas, le travail varié, le salaire médiocre (1000 francs par mois), et après environ trois mois, j'en ais eu assez et j'ai vite conclu que cette activité n’était pas mon truc.
En d'autres termes, retour à la case départ !
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