Parfois, le FIS agit comme une organisation tout à fait stupide. Pourquoi voler des coureurs de slalom et de géant pour un seul week-end de courses des Alpes vers la Californie ?
Il y a le coût que cela représente pour le corps des athlètes (durée de l'aller-retour plus 9 heures de décalage horaire), auquel s'ajoute le coût pour l'environnement estimé à environ 1 500 tonnes d'émissions de carbone.
Un peu comme la FIFA, cette organisation basée en Suisse reste rigide, conservatrice, évite les impôts, est lente à s'adapter et malheureusement incapable d'innover. Mais en toute franchise, et sans trop généraliser, ce sont de solides valeurs suisses.Peut-être que la plupart des fédérations sportives, y compris le Comité International Olympique, pourraient grandement bénéficier d'une sortie de ce paradis fiscal emblématique ?
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