J'ai discuté à plusieurs reprises la variabilité inhérente au ski et je dois dire que le ski de printemps ajoute beaucoup à la complexité et au nombre de variables lorsqu'un skieur cherche à optimiser son temps sur les pistes.
Cela commence par le conseil classique « suivez le soleil » qui consiste à skier dans les zones où le soleil a commencé a toucher les pentes (donc ramolli la neige) depuis un certain temps, mais cela ne suffit pas, si la neige a été gelée pendant la nuit, il y a des jours et des zones où elle ne se ramolli jamais.
Même chose si le soleil est anémique et ne parvient pas à radoucir la neige. À l'inverse, si les températures nocturnes devaient rester chaudes, la neige se décompose trop rapidement et devient de la soupe bien pourrie pendant la majeure partie de la journée.
C'est pourquoi il n'y a jamais aucune garantie avec le ski de printemps, en matière d’un ski de qualité, ou à quel point le créneau de temps sera ouvert pour ces moments « parfaits » que nous recherchons tous.La chance, plutôt qu’une planification rigide, est vraiment ce qui régit le ski de printemps
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