En évaluant nos dirigeants politiques, on espère au départ qu'ils seront capables de faire des miracles, d'être super créatifs, motivants et qu'ils pourront faire de notre environnement le meilleur des monde.
Cela dit nous ne passons guère de temps à réfléchir au potentiel qu’a leur personnalité d’évoluer vers le bien ou le mal. Ceux qui veulent nous diriger (les candidats) le font généralement pour deux raisons : Pour nous servir (rarement) ou - la plupart du temps - pour satisfaire des besoins bien personnels (reconnaissance, pouvoir, ambition et désirs néfastes).
Si nous étions plus intelligents, nous déconstruirions ces individu pour rechercher le potentiel négatif qui peut les habiter (si nous pouvons leur trouver des tendances narcissiques, machiavéliques, psychopathes ou suspectes de quelque façon que ce soit).Le problème, bien sûr, est que ceci n'est pas facile et qu'il faut creuser profondément dans le passé des politiciens, leurs insinuations et autres signes révélateurs pour découvrir des tendances négatives inquiétantes qui pourraient prédire un développement futur dangereux.
C'était facile dans le cas de Berlusconi ou de Trump, cela l’était peut-être moins dans le cas de Poutine, ce bureaucrate bien élevé du KGB.
En ce qui concerne les prochaines élections françaises, Marine Le Pen et son père offrent un passé suffisamment inquiétant pour nous alarmer. Alors, qu'apportent ces considérations aux électeurs du monde entier ?
Peut-être qu’il est plus sage d’opter pour un candidat ennuyeux, peu attrayant et peu excitant comme un Biden ou une Merkel, mais beaucoup plus sûr en termes de comportement futur…
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