Il y a deux jours, je parlais des problèmes posés par cette neige printanière qui tombe en abondance, entre autres, pour les skieurs plus âgés (donc plus faibles physiquement).
Parce que cet ingrédient nous rend les choses beaucoup plus difficiles, il est facile d'avoir de l'appréhension, voire de la peur à chaque nouveau virage et, ce faisant, devenir tachophobique, renonçant à la vitesse et oubliant aussi les éléments essentiels de la technique.
Alors on finit par ralentir, et, du coup, faire des contorsions bizarres pour produire un virage. Le résultat est que nous finissons par devoir travailler deux fois plus dur et pour nous épuiser tout autant.À la place, il faut arriver à se rappeler que dans la neige dense et abondante, la vitesse est plus importante que jamais et doit être combinée avec la meilleure technique de ski dont nous sommes capables.
Cela ne viens pas naturellement et c'est une attitude à laquelle qu’il faut incorporer consciemment dès le premier virage et jusqu'à la fin de la journée au bas de la dernière piste !
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