Plus facile à dire qu'à faire, me direz-vous, mais pourtant, c'est la façon la plus enrichissante de confronter l'adversité.
Comme dit le dicton : « Ce qui ne vous tue pas vous rendra plus fort » et pensez à toutes les astuces, les enseignements, les découvertes et les expériences supplémentaires que tout cela va vous apporter et à toute la satisfaction personnelle que vous aurez trouvé en surmontant ces défis qui se tenait sur votre chemin pour faire évoluer votre vrai potentiel !
Il y a quelques jours, j'ai reçu un questionnaire d'évaluation concernant la performance de Park City Mountain, qui en tant que station de ski est membre du reseau de Vail Resorts, et voici mes réponses...
Quelle est la probabilité que vous recommandiez Park City à un ami, un collègue ou un membre de votre famille ?
PCM a la responsabilité de fournir la qualité de produit promise et se débrouiller pour trouver son personnel même s'il faut le payer 18, 20 ou même 25 dollars de l’heure. Sinon, nous somme en face d’un vol pur et simple.
Il y a autre chose que vous aimeriez que nous sachions sur votre expérience à Park City ?
Beaucoup trop de choses ne vont pas. Inonder ses domaines skiables avec 2,1 millions de forfaits vendus, aurait du laissé présager une saison chaotique que Vail Resorts (VR) a choisi d'ignorer, ce qui en dit long sur l'incompétence de ses gestionnaires au plus haut niveau.
Bien évidemment, VR n'aurait pas dû acheter une station de ski aussi grande et étendue comme PCM si elle était incapable de l'exploiter correctement, comme elle l’a fait cette saison. Je reconnais que la météo n'a pas coopéré au début, mais PCM n'a pas trop essayé de rattraper les gros efforts de production de neige artificielle quand les températures ont enfin chuté.
Ne pas ouvrir Thaynes, Sun Peak et Dreamscape est inacceptable et montre que la station est dirigé par des technocrates et non par des skieurs. Le même commentaire s'applique aux queues insensées en fin de journée à la télécabine des Canyons et au télésiège Over and Out.
• Plus de mouchoirs Kleenex au départ des remontées mécaniques
• Plus de sièges chauffants sur OBX
• Absence de personnel pour garer les voitures sur les aires de stationnement afin que plus de skieurs trouvent une place pour se garer (allez faire un tour à Deer Valley pour voir comment ils s’y prennent).
• Les remontées s’arrêtent trop souvent, on entend aussi de nombreux bruits inquiétants sur certaines remontées ou sur les chaises ; y aurait-il un mauvais entretien généralisé pour économiser ?
• Des pistes truffées de cailloux (Mercury, Another World) sans rien faire pour les ôter (oui, il faut probablement faire ça à la main !).
• Grosse baisse dans l'amabilité du personnel (manque de formation adéquate).
L'accent mis par la station sur la sécurité est également déplacé. La sécurité ne consiste pas seulement à embarquer, convoyer et décharger les skieurs des remontées mécaniques, cela implique aussi d’oter les arbustes dangereux qui encombrent les pistes, de dégager les arbres tombés dont les branches peuvent empaler les usagers, d’enlever les cailloux qui ont étés libérés par les dameuses et peuvent endommager skis et snowboards et causer des accidents.
La bonne façon de faire est d’offrir d'abord une expérience de qualité, et seulement après, l'argent suivra. En donnant la priorité aux profits plutôt qu'à la qualité de l'expérience, l'entreprise scie la branche sur laquelle elle est assise. Je vais m'arrêter là. VR et PCM sont en train d’imploser.
Bien sûr, Henrik n'est pas un coureur tout à fait banal en matière de soutien publicitaire. Rappelez-vous quand il avait poursuivi en justice sa propre fédération de ski pour avoir le droit d'apposer un autocollant Red Bull sur son casque au lieu de Telnor qui avait été négocié pour tous les membres de l'équipe par la fédé ?
Ma question est donc la suivante : pourquoi Kristoffersen ne veut-il plus des ses Looks et leur préfère désormais Marker ?
Déchaussage intempestif ?
Quelqu'un peut-il me dire les vrais tenants et aboutissants de cette toute cette sombre histoire de fixations ?
Comme beaucoup de personnes qui ont atteint mon âge, je n’apprécie guère la détérioration de la qualité de mon sommeil et les longues nuits de repos ininterrompues que je trouvais toujours trop courtes quand j'étais plus jeune me manquent terriblement.
Depuis près d'une décennie maintenant, mes heures de sommeil ne sont plus ce qu’elles étaient et sont largement affectées par une série de rêves qui me réveillent totalement ou partiellement.
Dans le passé, je ne les remarquais pas ou ne m’en souvenais presque jamais.
Le plus terrible est que la majeure partie de mes rêves sont en fait des cauchemars et sont totalement différents de ce qui se passe dans ma vie, de ce qui fait partie de mes préoccupations ou des situations que je rencontre au quotidien, qui sont pour la plupart totalement positives.
Je pensais qu’entendre les (mauvaises) nouvelles dans les actualités à longueur de journée aurait suffit pour me fournir la dose nécessaire de sombre réalité, mais ce n'est apparemment pas le cas.
Je suppose donc que mes bons rêves (si cela m’arrive encore d’en avoir) sont tellement filtrés et sont si doux et si faibles qu'ils ne risquent pas de me réveiller.
Si ce n'est pas le cas, je devrai peut-être demander l'aide d'un professionnel pour essayer de comprendre d'où viennent ces horribles rêves et ce qu'ils veulent dire. Au fait, quel genre rêve faites-vous ? Sont-ils aussi harcelants que les miens ?
Il semble que le Comité International Olympique (CIO) adore les dictateurs.
De Poutine à Xi ou jusqu’à Loukachenko du Bélarus, l'organisation mondiale du sport ne passe pas trop de temps à analyser quel régime soutenir tant qu'il peut soumissionner pour ses Jeux et rapporter de l'argent.
Dans quelques jours, aux JO d'hiver de Pékin , les droits de l'homme seront un éléphant de plus dans la pièce, et la peur d'être arrêté ou autrement puni dissuadera les activistes qui oseraient s'opposer au régime oppressif de Xi.
Alors que la Charte Olympique est centrée sur les exploits sportifs, le patriotisme, la paix mondiale et la collaboration, il serait peut-être temps de la réviser et d'inclure également les droits de l'homme. Aucune institution n'est à l'abri du changement et doit marcher – semble-t-il – en harmonie avec une société et des valeurs en évolution.
L’audience planétaire que représente l’honneur d’organiser les Jeux et l'autorité du CIO devraient suffire à motiver certains changements politiques et sociaux, qui s’inspireraient entre autres de la conformité et du respect du droit international des droits de l'homme.
... continue à perdre du poids. Dans l'édition 2022 de l'annuaire téléphonique Century Link que je viens de recevoir, il n'y a que 26 pages d'inscriptions résidentielles et 94 pages d'inscriptions d'entreprises ou de « Pages Jaunes ».
Cet annuaire téléphonique extra-fin (4 mm) couvre l'ensemble de la population des comtés de Summit et Wasatch dans l'Utah, soit environ 80 000 personnes.
Soit dit en passant, je me demande toujours pourquoi les individus utilisent toujours la compagnie du téléphone traditionnelle et ne sont pas passés à la voix sur IP afin d’économiser un peu d'argent par la même occasion.
Le changement est difficile pour certains. Dans notre cas, nous sommes passés à cette technologie il y a plus de 15 ans déjà ...
Vendredi dernier, j'ai appris que mon ancien ami et beau-frère Xavier, était décédé une semaine plus tôt victime du Covid-19. Selon ce que j’ai pu comprendre il avait été vacciné.
Deux ans plus tard, je retrouvais Xavier moniteur de ski à l'école de ski d'Avoriaz où il avait été admis la saison précédente. Comme nous nous connaissions déjà, nous sommes restés de bons amis. Xavier venait d'épouser Paule, la sœur de ma future femme et ils s'étaient installés dans une vieille maison partitionnée, située près de la passerelle piétonne.
Xavier était un peu distant, mais cela ne me genait pas. Les saisons suivantes, nous avions été étroitement impliqués ensemble dans un conflit qui avait opposé la moitié de l'école de ski. Xavier était aussi un innovateur qui s'etait lancé dans l'enseignement du surf sur neige. Enfin, notre relation allait me permettre de rencontrer mon épouse et de fonder ainsi ma famille.
Comme moi, tout au cours de sa carrière de moniteur, Xavier avait eu du mal de trouver une activité professionnelle en dehors de l’hiver. Il avait tenté sa chance dans les monitorats de tennis, d'auto-école, avait fait des travaux d'entretien, et devait éventuellement jeter l’éponge avant de devenir gérant de magasin en Champagne jusqu'à sa récente retraite.
Au début des années 90, des histoires familiales d'héritage mettaient fin à nos relation proches et celle-ci étaient restées assez distantes ...
Plus je réfléchis et plus j’apprends de choses sur les religions en général, plus je me demande ce qui les garde viable aujourd’hui. J’en arrive souvent à la conclusion que les « fidèles » se raccrochent d’avantage aux aspects tribaux, communautaires et rituels des religions, qu'à leur base théologique.
La partie spirituelle est bien sûr la partie la plus fragile de l'édifice religieux, car elle est essentiellement totalement irrationnelle et impossible à prouver. C'est un domaine où la plupart des membres de n’importe quelle religion ne s'aventurent pas très loin, car toute introspection fini par ne plus avoir vraiment de sens pour eux.
Si ils approfondissent les choses, ils prennent le risque de découvrir des contradictions aveuglantes par rapport à leurs expériences factuelles et pragmatiques de leur vie.
Les membres d’une religions ont donc tendance à laisser la partie théologique aux « experts », c'est-à-dire à leurs dirigeants qui seront ainsi libres de leur raconter ce qu'ils veulent.
Cela veut dire, que pour moi, les religions sont davantage l'expression culturelle de bâtiments, d'histoire ancienne, d'activités communautaires et d'un rituel complexe qui rassemblent les membres et cimentent une communauté spirituelle.
Je ne me souviens pas de ce qui a causé cet accident naturel, si c’est le vent, la neige ou un autre incident.
Pourtant, l’arbre a trouvé un moyen de développer son épi suivant de façon parfaitement verticale. Selon comme on l'observe, cela rappelle un peu une manivelle. Oui, comme pour « redémarrer » un vieil arbre en panne !
N'est-il pas merveilleux de voir comment certaines adversités peuvent affecter une situation de manière aussi créative que celle-ci.
Quand les choses se compliquent, qu’elles deviennent difficiles, imprévues ou désagréables, pensez à cet arbre et essayez d'inventer une façon inédite de vous en sortir !
Quand je me rends au ski à Park City, côté Canyons, la rangée de stationnement au premier rang est presque entièrement dédiée au « stationnement pour handicapés » et est toujours pleine, ce qui laisse penser qu'elle doit être occupée par des skieurs ayant certains handicaps, pas vrai ?
Eh bien, pas tout à fait. Chaque fois que je regarde des gens conduire ou sortir de ces voitures, à de très rares exceptions, ils semblent tous aussi mobiles et dégourdis que moi, encore plus dans de nombreux cas, à moins qu'ils ne soient, et c’est bien possible, passablement retardés mentaux.
Sur la photo ci-dessous, la conductrice de la voiture bleue, déjà à l'intérieur, avait l'air parfaitement fringante lorsqu'elle s'est glissée dans son auto, tandis que le couple près de la berline blanche avait l'air en forme physique parfaite lui aussi…
Tout cela est bien sûr très dégoûtant et je me demande s'il y avait un Dieu qui regardait, tout en haut, ce qui arriverait à ces tricheurs. Hélas, il n'y a pas de Dieu, mais un immense troupeau de gens d'hypocrites sur cette terre !
C'est un sujet récurrent pour moi, que j'ai couvert en 2011 et 2015 dans ce blog.
Au cours des dernières années, l'utilisation du chasse-neige dans l’enseignement du ski a été particulièrement diabolisée par certains qui prétendent qu'il s'agit d'une position faible d'un point de vue biomécanique, et qui, disent-ils, est inefficace pour ralentir, s'arrêter ou tourner.
Ces gens affirment que de meilleures alternatives existent lorsque les skis sont maintenus parallèles, car le chasse-neige ne fonctionne que sur un terrain plat et à des vitesses très lentes, et le « christiana arrêt » devrait lui être préféré.
Ce qu'ils oublient bien sûr, c'est que les skieurs débutants ne peuvent pas se permettre (surtout mentalement) d'aller assez vite pour produire un tel arrêt. Donc, en ce qui me concerne, le chasse-neige est une technique d'enseignement valable qui devrait laisser place au ski parallèle lorsque le skieur est familiarisé avec la vitesse. Pourtant, il doit rester dans sa boîte à outils lorsque les circonstances l'exigent.
Je m'en suis donc souvenu une fois de plus, lorsque j'ai regardé les célèbres courses de ski de Wengen il y a quelques jours. Je ne sais pas si vous avez regardé les descentes du Lauberhorn à cette occasion, le week-end dernier, et si vous avez remarqué que certains coureurs de ski de très haut niveau utilisent encore le bon vieux « chasse-neige » pour se freiner juste avant le S « Kernen » .
D'autres coureurs ont fait un virage plus élégant et ondulant à la place, mais mon expérience personnelle ainsi que mon ADN de skieur me disent que rien ne vaut un bon vieux chasse-neige solide pour réduire sa vitesse sur le pouce.
Je me fiche des puristes qui se scandalise sur l’utilisation de ce geste qui a largement fait ses preuves, lorsque les circonstances l'exigent. Après tout, il fait partie intégrante de la boîte à outils complète du skieur.
Un chasse-neige puissant et énergique est au ski ce que les freins à disque sont à la conduite motorisée, par rapport aux freins à tambour d'antan !
...Que changeriez vous ? Comme on dit : « Bonne question ... »
Je répondrais : « Cela dépendrai ; bien évidemment cela serait une fonction des outils dont je dispose en termes d'éducation, de sources d'information et d'expérience.
Si ceux-ci sont aussi limités que ce que j'avais à ma disposition à chaque étape de ma vie, la façon dont celle-ci se déroulerait ne serait probablement pas très différente de ce qu’elle a été.
Si j'avais ou je connaissais, ne serait-ce qu'une fraction de ce qui m'est disponible aujourd'hui, tout serait bien évidemment totalement différent.
Maintenant, posez-vous exactement cette même question et imaginez ce que vous répondriez ?
Si votre réponse est très différente de la mienne, je serais très curieux de savoir ...
Intuitivement, j'ai toujours pensé que toute forme d'effort, qu'elle prenne la forme de travail, sacrifices ou discipline, dans tout ce que nous pouvons faire, agira comme un antidote à une souffrance future.
À quel point cette approche est-elle vraie et vérifiée, je ne peux pas le dire avec certitude, mais je suis convaincu que cela fonctionne comme, disons, la plupart des lois de la nature. Bien sûr, je ne parle pas nécessairement de circonstances inimaginables qui conduisent à la souffrance, mais de circonstances assez probables et facile à imaginer.
Comme par exemple, ce qui arrive quand une énorme dépense imprévue nous tombe sur les bras. La douleur liée à cette situation peut être atténuée en ayant épargné systématiquement en vue de jours moins favorables.
Un autre exemple est de prendre soin de notre corps afin d'éviter des problèmes médicaux prématurés et déplaisants, ou en travaillant dur à l'école afin d’accéder à une carrière agréable et confortable.
Voyez-vous là où je veux en venir ? Vous payez d'abord en subissant le coût d’une discipline, de sacrifices et de travail ardu, pour souffrir beaucoup moins par la suite.
Je trouve qu’en essayant de l’expliquer, je me sens encore beaucoup plus convaincu de l’efficacité de cette belle loi naturelle ...
... Peut en dire long sur leur niveau à ski, d’accord ?
Bon cela est une question qu’on se pose tout le temps et à laquelle je crois avoir une réponse personnelle et assez instruite.
À mon avis, les skieurs qui portent leurs skis avec la spatule vers l'arrière, plutôt que vers l'avant, sont généralement pas très bons sur la neige.
Cela implique également qu'ils ont appris à skier eux mêmes et ne font guère attention non plus à la façon dont les bons skieurs se comportent sur piste et tout autour de la station de ski.
Pour moi, c'est un signe révélateur qu'ils ne maîtrisent pas encore tout à fait le sport et qu'ils sont encore du chemin à parcourir avant de devenir de vrais skieurs.
« Pointe ta spatule vers l'avant » devrait être le premier pas pour que tous ces gens fassent enfin de sérieux progrès à skis !
Quand je skie avec mon petit-fils et que je l'emmène dans des endroits un peu difficiles, je me sens très responsable et, c'est compréhensible, parfois fort inquiet.
Quand nous y sommes arrivés après trente minutes de marche, nous y avons trouvé une petite foule de skieurs et snowboardeurs qui se reposaient, devrais-je plutôt dire, hésitaient à sauter le pas, dans le couloir de la Machette, bien couvert de neige dure mais assez lisse.
Il n'y a pas de grand danger en cas de chute, mais cela pourrait être une longue et tumultueuse glissade et je ne veux pas que mon petit-fils en fasse les frais et l’expérience !
Au début, je voulais tourner une vidéo de la descente, mais j'ai vite compris qu’il fallait mieux que je l’accompagne dans sa première tentative.
Tout s'est bien passé et il a bien descendu le couloir. La prochaine fois, on tournera un clip !
Après ne les avoir utilisés que 21 fois, mes nouvelles Nordicas sont passées de vie à trépas.
Ayant travaillé dans la chaussure de ski depuis 1982, je savais que des incidents de se genre se produisaient, souvent sans raison particulière.
Le problème s’appelle « fissures causées par contraintes environnementales » et s’applique aux ruptures intempestives de polymères thermoplastiques. En fait, de telles ruptures sont définie comme des fissures externes ou internes du plastique causée par des contraintes de traction inférieures à sa résistance mécanique à court terme.
Ces biens grands mots mis à part, cela me place dans une sale situation car je dois retourner la coque brisée au détaillant, qui à son tour l'expédiera à Nordica en Nouvelle-Angleterre avant de récupérer ma coque de remplacement encore plus tard.
Cela prendra plus d'un mois, et en attendant, que dois-je faire ? Un joli dilemme en matière de service au client.
Si vous avez des suggestions, j'aimerais les entendre !
Fin décembre, notre sèche-linge GE âgé de 7 ans est mort après peu années d'utilisation et encore moins de travail accompli.
Un autre exemple de la durabilité des appareils d'aujourd'hui.
Au cours des deux premières années où nous avons possédé cet appareil, GE Appliances faisait partie du géant industriel américain, basé à Louisville, dans le Kentucky, mais qui a été racheté par la société chinoise d'électroménagers Haier en 2016. Espérons que les Chinois parviendront améliorer la fiabilité. et la longévité de ce produit !
Pourtant, lorsque nous avons dit au vendeur que nous voulions un LG, il a réussi à nous faire changer d’avis en faveur d’un Maytag, surtout en raison d'une prétendue garantie de 10 ans qui n'était pas tout à fait ca.
Après un retard de livraison, nous avons fait installer l'appareil à la maison et avons immédiatement découvert un bruit qui n’etait pas correct et avons demandé un remplacement. Vendredi, une autre équipe est venue évaluer les dégâts et confirmer qu'il y avait un problème.
Juste pour faciliter ces 2 visites, il nous a fallut modifier nos emplois du temps et lorsque nous avons découvert que l'équipe de ce vendredi n'avait même pas apporté l'unité de remplacement qui nous avait été promise, je suis allé au magasin pour annuler l'achat du sécheur Maytag dont la qualité n’était pas prometteuse, et commander un LG à la place.
Le processus d'annulation a été si long et ardu que cela m'a pris deux heures, temps que la plupart des gens qui travaillent n'ont pas à leur disposition. Nous avons enfin obtenu ce que nous voulions. La prochaine fois, ne laissez pas des vendeurs qui en savent moins que vous, vous convaincre d’acheter une marque que leurs patrons les ont forcé à pousser !
Chaque jour, lors de ma méditation matinale, je prends le temps de scanner mentalement mon corps de la tête aux pieds, et dans la grande majorité des cas, tout va bien.
Je me sens bien, en bonne santé, sans douleur et j’en suis très, très reconnaissant. Je réalise alors que je n'ai absolument pas le droit de me plaindre et que malgré mon âge et ma force physique qui est en baisse, j'ai toujours beaucoup de chance.
C'est vrai, beaucoup de mes amis sont soit morts, certains souffrent ou se remettent d’opérations et de maladies, ou ont des problèmes de santé qui rendent leur quotidien misérable. Je suis incroyablement privilégié et je peux commencer la journée avec tout pour bien faire.
Quelle chance !
Mardi, j'avais convaincu ma femme d'aller skier. C'était une journée froide mais superbe et la principale raison pour aller au ski était que les foules avaient désormais déserté les lieux après les fêtes.
Nous avons fait quelques bonnes descentes jusqu'à ce que nous ayons remarqué que la préparation de nombreuses pistes laissaient largement à désirer par rapport à la normale, avec de méchantes bosses et des plaques de neige dure ça et là, même en pentes assez douces.
C'était loin d'être ce à quoi nous avions été habitués ces vingt dernières années. On aurait pu argumenter qu'il y avait peu de neige artificielle et, par conséquent, la préparation des pistes était rendue plus difficile. Nous avions commencé à Park City Mountain (PCM) et avions franchi le secteur « Canyons » de la montagne.
Comme la préparation des pistes était assez mauvaise sur les pistes principale, nous sommes parti en balade sur les principaux itinéraires de liaison qui restaient parfaitement skiables, et nous avons fait une bonne piste en poudreuse sur Boa (le télésiège Condor avait juste ouvert ce jour-là).
Quand il fut temps de retourner à PCM, nous nous apprêtions à sauter sur le télésiège "Orange Bubble", mais celui-ci était arrêté. Nous avons fait demi-tour pour prendre la télécabine à la place, quand le télésiège a redémarré.
Nous y sommes alors retournés, avons embarqué et c’est là qu’il s'est de nouveau arrêté pendant cette fois assez longtemps. Il est alors reparti avant de s’arrêter encore une fois. De longues minutes se sont alors écoulées et nous avons vite réalisé que nous ne retournerions pas à notre voiture car la télécabine de QuickSilver serait fermée pour la journée.
Une fois de plus, le télésiège s'est remis en route, mais en marche arrière (plutot effrayant !) et s'est de nouveau arrêté jusqu'à ce que les opérateurs décident d'utiliser le moteur de secours pour purger la ligne.
Après être sortis à la gare intermédiaire, nous avons skié jusqu'à l'arrêt du bus et avons attendu patiemment notre navette en direction de Park City, qui nous a enfin ramené au parking et à notre voiture.
Hé, attendez une minute, c’est quoi un tableau de visualisation ?
Bon, d’après les spécialistes, un tableau de visualisation est une espèce de collage réunissant des éléments tels que des images, des coupures de journaux et de magazines, des mots et des citations, qui peuvent être affichés ensemble pour exposer visuellement ses propres rêves et ses objectifs.
La théorie étant que plus une personne voit cette représentation, plus les choses qui s’y trouvent sont susceptibles de se produire ou de se réaliser.
La question de base devient donc : Ai-je vraiment besoin de cet outil ? J’y réponds par la négative car je connais parfaitement bien les deux ou trois priorités auxquelles je dois m’atteler à très court terme, et je peux faire tout cela sans aide visuelle.
La construction de ce tableau magique sera donc remise à plus tard ...
A ma grande surprise, les touristes sont partis et la montagne semble nous appartenir à nouveau.
Hier, je suis retourné sur le secteur de Jupiter quand j’ai enfin décidé d’aller skier à Park City Mountain afin d’y skier en compagnie de mon petit-fils pendant le long week-end prochain de Martin Luther King.
C'était enfin rassurant de revenir sur des pistes beaucoup plus calmes avec moins de skieurs autour de soi.
J'ai redécouvert la moitié de la montagne que j'avais ignorée jusqu'à présent, et je me suis même motivé à monter au sommet du pic de Jupiter avant descendre à ski le couloir de la Machette.
Un ciel d’un bleu immaculée, une neige un peu dure, mais une très bonne journée !
Hier, nous avions brossé un tableau de ce que représentait l’idéal du ski. Aujourd’hui, nous allons comparer cette image phare avec celle offerte aujourd'hui par les grandes compagnies comme Vail Resorts, qui créent les embouteillages, gonflent les queues aux remontées mécaniques, laissent les visiteurs sur leur faim et sont incapables de communiquer convenablement, et c’est là que tout se dégrade.
Leur produit est devenu un produit consommable sans éclat, ce n’est plus une expérience mémorable et édifiante comme cela pourrait l'être. Le ski devrait être comme ce que font Apple ou Tesla. D’abord une expérience, et pas seulement un produit ou un service.
Les défauts et les manquements des produits Tesla et Apple sont en grande partie effacés par la qualité superlative de l'expérience qu'ils sont en mesure d’apporter à l’usager. Il ne fait aucun doute que dans les produits comme dans les services, l'expérience doit être l'élément primordial qui surpasse tout le reste.
Avec son approche, la qualité de l'expérience est effacée par un raz de marée de problèmes surgissant de tous cotés, comme le fait de vendre beaucoup trop de forfaits par rapport à la capacité d’accueil des stations, créer des problèmes de circulation inextricables, délivrer un service minable, ne pas savoir bien communiquer et prendre des décisions désastreuses.
Il existe de nombreux domaines où les économies d'échelle poursuivies par Vail Resorts font partie du problème, comme leur site Web à l'emporte-pièce qui est lent et ineffectif, leur système de lecture électronique manuel qui est dépassé dans la branche, ou encore un trop grand nombre de remontées mécaniques vieilles et inefficaces comme c’est encore le cas à Park City, entravent la productivité et la réactivité de Vail Resorts.
Ces économies d'échelle systématiques et ce management trop centralisé nuisent à la flexibilité de l’entreprise et bloquent les directions locale. Il semble qu'Alterra ait été plus sensible à maintenir la personnalité de chaque station en leur offrant justement plus de marge de manœuvre.
D'un point de vue extérieur et un peu cynique, il semblerait même que la direction de Vail Resorts veut tirer un maximum de son produit le plus rapidement possible, juste avant que le réchauffement climatique ne mette son modèle économique totalement hors-jeu …
Le ski est avant tout une expérience. Pour de nombreux skieurs et hivernants, c’est d’abord un cadre et des conditions climatiques différents, et cela devient une expérience transformatrice.
Il y a le froid, la neige, les paysages pittoresques et une culture montagnarde qui peut faire toute la différence.
Les habitants de station sont souvent différents et, espérons-le, plus agréables, la circulation automobile ne devrait pas être le cauchemar qu'elle est en milieu urbain, le rythme devrait être plus lent, chaque moment devrait être plus facile, plaisant et tout devrait être dépaysant, un peu comme une carte de Noël.
Ces événements malencontreux qui nous tombent dessus font partie de notre réalité et c’est à nous de bien nous en accommoder le mieux possible. Un autre élément crucial et encore bien plus difficile à produire et gérer est pour le responsable de station de ski de rechercher, d'imaginer et d’offrir ce que leurs clientèle désire et c'est un défi aussi difficile que c’est aussi une cible mouvante.
Cela semble en effet plus facile que d'inventer un i-Phone ou une automobile Tesla. Mais même avec une créativité incrémentale, la réalité prouve que ce n'était pas fréquent dans la branche ou que les cadres du ski ne sont pas très imaginatifs.
Dans le prochain blog, nous verrons comment l'un d'entre eux (oui, Vail Resorts) n’arrive pas à tenir ses « promesses épiques » pour paraphraser la devise de l'entreprise...
Hier, le ciel était plutôt couvert, gris, assez chaud et peu invitant, mais j'avais entendu dire que Jupiter venait juste d'ouvrir pour la saison, et j'ai donc décidé de prendre la direction du parking de Park City pour aller voir tout cela.
Quand je suis arrivé sur place, il n'y avait pas une seule place de libre pour garer ma voiture. Je suis donc retourné aux Canyons comme d’habitude.
Là, après avoir trouvé une place de parking sur une véritable patinoire, au lieu de sauter dans la télécabine et retourner à Park City, je suis resté à 9990 où la neige n'était pas mauvaise, juste un peu dense et assez délicate à skier, ce qui n’est jamais pour me déplaire.
En plus, je suis convaincu que cette chute spectaculaire m’a stimulé pour le reste de 2022 !
Pour conclure la journée comme il se devait, j'ai ensuite dévalé « DesChutes », « Silver Horse » et conclus mon après-midi de ski en accumulant plus de 6 000 mètres de dénivelé !
Comme souvent, quand je décide de sortir skier en dépit d’un temps maussade, la journée se solde finalement par une super expérience riche en événements !
Avant-hier, mon ami Dirk et moi nous sommes retrouvés et avons skié ensemble pour fêter son anniversaire, mais aussi pour se remémorer le 12e anniversaire de notre record de dénivelé à Deer Valley (34 668 mètres en un seul jour).
Rien de tel n'était affiche du programme ce jour-là.
Comme me l'a confié Dirk « Ce serait difficile de faire aussi bien avec les nouveaux portillons électroniques », et j'ai bien apprécié l'idée de ne pas avoir à essayer d'égaler, voire dépasser un record que mon corps de septuagénaire n'apprécierait pas trop ou ne serait en tout cas plus prêt à affronter !
Histoire vraie.
Alors que nous revenions de notre promenade matinale, et juste après que j’ôte mes chaussures, la sonnette de la porte d’entrée a sonné, j'ai ouvert, et quelqu'un ressemblant à un tahitien m'a demandé si j'avais besoin de faire des travaux sur mes arbres.
Comme je n'étais pas prêt à envisager ce genre de travail en plein hiver, avec toute cette neige entassée tout autour de ma maison, j'ai décliné mais l'ai invité à me laisser sa carte de visite « au cas où… ».
En vérité, la dernière fois que j'ai regardé, je n'ai vu aucun bananier, banian, cocotier ou jacaranda sur ma propriété, mais juste un excès de trembles et de sapins !
Ces derniers jours, je n'ai pas été en grande forme sur mes skis. Mes virages sont parfois moins sûrs, j'ai plus de mal à contrôler mes skis en terrain difficile, et je tends à avoir plus de mal à skier une piste complète, sans arrêt, sans ressentir des douleurs aux jambes.
C'est pourtant une étape logique, attendue et naturelle, mais je ne veux pas l'admettre tout de suite. Je veux être sûr que c'est le nouvel ordre des choses avant de m'installer mentalement dans une telle façon de penser que je résiste et trouve absolument répugnante.
Pour le moment, disons que la question reste ouverte …
Cette nouvelle année a été particulièrement froide à Park City avec des températures allant jusqu'à -21 C certains matins.
Ainsi, il y a quelques jours, lorsque j'ai allumé notre foyer de cheminée au gaz et qu'il n'a pas démarré, j'ai été profondément déçu, et même si le chauffage était allumé, la chaleur supplémentaire fournie par le foyer ainsi que ses flammes assurent un complément réjouissant et agréable lorsque les températures extérieures sont si basses. J'ai donc regardé de plus près et j'ai découvert que la veilleuse était éteinte.
J'ai alors ouvert le compartiment d’allumage, sorti le manuel d'instructions et redémarré la flamme, mais quand j'ai appuyé sur l'interrupteur, il n'y avait toujours pas de flammes rugissantes. J’ai alors fais de la recherche sur YouTube et le reste de l'Internet pour découvrir que l'intérieur de la cheminée était peut-être sale.
Cela devait être le problème, cette cheminée avait été mise en service lorsque nous avons construit la maison il y a huit ans ! J'ai ensuite retiré la plaque de verre, les fausses bûches et passé l'aspirateur et nettoyé le tout à fond. Quand j'ai pensé que tout devrait être parfaitement nettoyé, j'ai réinstallé l'ensemble, et après avoir allumé la veilleuse et testé une fois de plus, toujours pas de belles flammes. J'ai à nouveau démonté l'ensemble de l'insert et nettoyé à fond le thermocouple pour m'assurer qu'il n’y avait aucune suie résiduelle et j’ai remonté l'ensemble de la cheminée, hélas, sans résultat.
C'est à ce moment-là que j'ai décidé d'appeler le fournisseur de cheminées (Alpine Fireplaces à Lehi en Utah) après le week-end du jour de l’an. C’est cela, nous étions le 1er janvier et j'ai pensé jeter un œil sur le site Web du fournisseur et lui faire part de mon problème afin qu'il puisse me mettre en tête de sa liste le lundi suivant.
Je suis entré dans la salle de discussion et j'ai écrit que je possédais une cheminée installée en 2014 et quand j'ai allumé l'interrupteur, le feu ne s'est pas allumé, mais la veilleuse a fonctionné et je leur ai demandé de venir réparer tout cela dès que possible.
Une heure et 45 minutes plus tard, ce même jour du Nouvel An où tout le monde est censé avoir la gueule de bois, ne rien faire et regarder bêtement la télé, j'ai reçu une réponse qui disait : « Quelques choses faciles à vérifier : D’abord, le bouton de la veilleuse est-elle toujours en position pilote ? Erreur courante, cela permet à la veilleuse de fonctionner mais ne laissera pas le foyer s'allumer. Assurez-vous que la vanne soit tournée en position de marche. Deuxièmement, l'interrupteur sur le mur qui allume le foyer peut être défectueux. Il s'agit d'un courant millivolt qui ne vous électrocutera pas, ôtez-donc l'interrupteur et prenez les deux fils et faites les se toucher, s'ils allument le foyer, remplacez l'interrupteur. Faites-moi savoir ce que vous trouvez », signé Bruce Broadbent, directeur du marketing.
Bruce était mon héros et après l’avoir sincèrement et longuement remercié et félicité, je lui ai envoyé quelque chose par Amazon pour récompenser de sa réponse si rapide et tellement inattendue.
Ce que j'ai appris de cette histoire, c'est que Bruce est un cadre exceptionnel qui comprend parfaitement le service clientèle et aussi que l'incident m’a donné l'occasion d'effectuer un nettoyage de fond en comble de ma cheminée que j’aurai du faire 5 ans auparavant !
Le jour du Nouvel An, j'ai reçu un e-mail « recyclé » de quelqu'un que j'avais l'habitude de respecter profondément quand nous travaillions ensemble, et qui est peut-être depuis devenu un « Trumpiste » intransigeant après que Covid-19 ait envahi notre quotidien, ou pire encore, que sa vraie bêtise cachée ait soudainement fleurit.
Pour faire court, ce gars en question mettait en exergue le trait légaliste et argumentatif qu'il attribue aux membres du parti démocrate, dans la façon dont ils vivent leur vie et aggravent tout pour le reste de la société, contre la salubrité, la bonté et la sobriété du Parti républicain qu'il semble adorer. (voir illustration du texte en Anglais).
Ciao !
En septembre 2021, nous avons acheté nos forfaits de ski pour la saison à Vail Resort en espérant un produit normal et un bon service. En fait, nous avons simplement renouvelle l’achat que nous faisions chaque année. Nous avons fait confiance à l'entreprise.
Certes, l'hiver est arrivée tardivement, novembre a été très chaud et n'a pas permis à la station de faire autant de neige que d'habitude, mais ce sont des problèmes justifiables que nous avons parfaitement compris.
Puis la neige est arrivée, meilleure que l'année dernière au début des vacances de Noël, et encore bien meilleure pendant la semaine toujours plus chargée du Nouvel An. Pourtant, seule une petite partie du terrain et un nombre limité de remontées ont été ouverts au public.
Le problème non dit était un énorme manque de personnel pour faire fonctionner toutes ces remontées mécaniques et peut-être aussi d’autres services cruciaux pour la bonne marche de la station. Le salaire d’embauche à Park City Mountain (PCM) n'étant que de 15 dollars de l'heure, cela n'est plus du tout compétitif au vu du coût de la vie sur place.
Pour attirer le personnel dont PCM a besoin, il lui fudrait payer beaucoup plus, mais Vail Resorts est beaucoup trop avare pour le faire. Le manque de terrain et de remontées mécaniques ouvertes est aggravé par le fait que Vail Resorts a pré-vendu cette saison 2,1 millions de forfaits. C'est une augmentation de 76% par rapport à la saison 2019-2020.
Vail Resorts et PCM ont encaissé tout cet argent de leurs clients en septembre, mais n'ont pas réussi à recruter en conséquence et ont donc échoué dans leur « promesse épique » comme ils disent. À cause de cela, nous n’avons jamais vu de queues pareilles, créant un « skimageddon » quotidien, et pourtant aucune excuse, aucun respect pour le client et aucune explication décente et sincère n’a été exprime par la station.
Le fait qu'il y ait peu d'employés capables et disposés à travailler pour 15 dollars de l'heure n'est pas mon problème et donc PCM a laissé tomber ses clients en ne livrant pas le produit qu'il avait promit, car il ne voulait pas entacher sa rentabilité. C'est tout simplement du vol, surtout lorsque Vail Resorts a pris de l'argent à des clients qui aujourd’hui sont insatisfaits !
La cupidité de Vail Resorts sonnera inévitablement sa perte.
Je fais partie de ces privilégiés qui peuvent fêter leur anniversaire à quelques jours de la nouvelle année et les deux se marient parfaitement bien !
Certains me plaignent d'avoir deux fêtes aussi importantes à une telle proximité car ils craignent qu'ils ne prennent l'une à l'autre, alors qu'en fait, cela crée un effet inverse et synergique.
Une nouvelle année est en effet une page blanche ou une dalle de granit vierge qui attend de recevoir des marques personnelles, et c'est avec toute l’anticipation que cela mérite que je considère l’événement en question.
D’abord, je me sens privilégié d'être arrivé à cet âge avancé, d'être toujours bien vivant et en assez bonne santé pour tout apprécier. Tout le monde n'a pas cette chance ! Quand je regarde en arrière, j'ai traversé un nombre impressionnant d'années qui m’ont emmené à un âge considéré avancé n'y a pas si longtemps.
Ensuite, je suis ravi de pouvoir envisager tout ce que je vais accomplir au cours de cette nouvelle année. Il y a ma résolution du nouvel an, bien sûr, et puis beaucoup de choses positives et productives que je veux y ajouter, tout en gardant les éléments bons et productifs que j'ai pu intégrer dans ma vie en cours de route.
Je m'efforcerai aussi de faire la paix avec des personnes que je n’aime pas trop ou pas du tout, de rester positive et de bien contrôler mes émotions autant que je puisse le faire.
Je vous souhaite exactement la même chose en cette nouvelle année remplie d’action positive et de bonheur !
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