Je ne sais pas s’il s’agit là d’une vérité universelle, mais certains jours, le ski peut sembler nul, tandis que d’autres fois, l’expérience est simplement extraordinaire.
Il y a en fait tellement de variables dans le ski qu'aucune journée ou qu’aucune expérience n'est jamais la même. On a aussi parfois l'impression de skier comme un Dieu tandis que l'instant suivant on trouve qu’on skie comme un manche.
Cette réflexion me donne à penser, que lorsque tout va bien, tant les conditions que ma forme physique et mentale, je skie mieux qu'il y a 50 ans en arrière.Difficile à croire, mais c’est pourtant vrai. C’est clair qu’en 1971 je forçais comme un bœuf et ne savais pas encore skier tout en douceur.
L'équipement a aussi joué un rôle énorme pour me permettre de conserver un bon niveau, mais c’est surtout la fréquence, le kilométrage et toute les efforts que j’ai investis dans mon ski, qui m’ont permit de repousser les limites et ont contribué a me rendre beaucoup plus efficace et performant qu'il y a un demi-siècle.
Espérons que cela continue, ha, ha, ha!
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