J'adore skier, marcher et faire de la randonnée en montagne, mais le vélo est une activité encore plus spéciale. Je parle aussi bien du VTT que du vélo de route.
Une fois en selle, on peut vraiment couvrir d’énormes distances en très peu de temps, profiter de paysages fantastiques et voir d'innombrables petits détails qui sont totalement invisible pour l’automobiliste, qu’il soit chauffeur ou passager.
La chose que j'aime le plus, c'est que ce n'est pas un sport linéaire, car il représente une vaste variété d’efforts qui doivent être dosés selon les circonstances ainsi qu’un grand nombre de sensations différentes, passant du pédalage sur le plat, au durs efforts en montée, aux moments relaxant en roue libre, jusqu’à la montée d’adrénaline qui accompagne les descentes rapides.
Encore une fois, cela est vrai avec les deux formes, route et tout-terrain, mais je dois admettre que le VTT est encore plus riche de par les options qu’il offre, comme les descentes à grande vitesse en sentiers étroits et sinueux, aussi bien que tous les franchissements d'obstacles inattendus!
Alors, pourquoi ne fais-je pas plus de vélo ?
Il y a d’abord toute mes chutes et blessures passées, bien sûr ; celles me restent profondément gravées à l’esprit. Ensuite, je ne suis pas non plus un fan des problèmes mécaniques, comme les crevaisons ou les problèmes de chaînes, mais je ne peux pas non plus oublier aussi que toutes les roses ont des épines ...
samedi, juillet 11, 2020
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