samedi, mai 30, 2020

Le dilemme du vélo

Peut-être parce que j’avance en âge et aussi parce que j’ai eu un peu trop de contacts brutaux avec le sol et mordu la poussière à de nombreuses occasions quand je suis tombe de ma bécane, je ne suis plus aussi enthousiaste qu’avant quand je dois enfourcher celle-ci à la fin de l’hiver.

Pourtant, contre toute attente, c'est exactement ce que j'ai fait mercredi. Je n'ai parcouru que 5 kilomètres, mais j'étais heureux d'avoir franchi le cap et de m’être réconcilié avec mon vélo.

Une autre raison au-delà de l'âge et des chutes douloureuses est le fait que le vélo est un nid à problèmes techniques telles que ceux qui frappent les pneus, les histoires de chaînes, dérailleurs et pédalier, ainsi qu’une myriade de petits détails embêtants qui contribuent à rendre l'expérience truffée d'incidents potentiellement ennuyeux.

Cela ne s’applique pas au ski, dans la mesure où ce sport est également centré sur un matériel très technique et une multitude de réglages ; cela dit, une fois sur les pistes, la probabilité d’ennui est minime par rapport à ce qui arrive à vélo.
C'est probablement pourquoi rien ne vaut la marche ou la randonnée quand on veut des loisirs à la fois simples et tranquilles. Cela dit, je compte jouer le jeu et je suis totalement ouvert et prêt à me remettre à rouler !

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