samedi, mars 30, 2019

Brexit, May et moi

Il est assez difficile pour la plupart des gens de bien comprendre et pouvoir suivre, l’opéra de quatre sous que sert en ce moment au monde entier le gouvernement britannique.

La catastrophe s'est déclenchée quand David Cameron a décidé, pour des raisons purement politiques, d'organiser le référendum sur le Brexit. Les résultats étant à l'opposé de ce que Cameron attendait, il n'a pas d'autre choix que de démissionner.
Toute contente, semble-t-il, Theresa May a sauté dans le siège du Premier ministre, désireuse de mettre en œuvre le Brexit et d'en faire sa plus grande réussite, mais il s'est vite avéré qu'elle n'était probablement pas à la hauteur d'un travail dont personne ne voulait.

Bien trop têtue et une mauvaise communicatrice, Madame May n'avait surtout pas le sens de la vente requis pour convaincre une majorité des membres de son Parlement de la suivre, même si elle avait promis qu'elle extrairait un maximum de la communauté européenne.

Cette dernière n'avait pourtant aucune raison d’être excessivement généreuse avec elle.

Résultat, elle a bien plus promit qu’elle n'a pu délivrer. La morale de cette histoire est qu'un bon chef d'État doit avant tout être un vendeur chevronné avant d’être juste intelligent ou d'avoir derrière lui (elle) une longue carrière politique.

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