Je crois personnellement que rechercher la difficulté me rend plus fort, m'apprend beaucoup et élargit les possibilités. Ainsi, lorsque je skie, si j'ai le choix entre une piste facile et un terrain plutôt difficile, je choisis toujours ce dernier. Je ne le fais pas pour tout, mais pour les domaines que je vise à améliorer, le ski en faisant partie.
Je ne le fais aussi que pour des difficultés constructives, celles qui me poussent hors de ma zone de confort et me forcent à m’améliorer. Je trouve ces défis bénéfiques car j'essaie toujours de les aborder avec un état d'esprit positif. Par exemple, entreprendre un projet exigeant ou acquérir une nouvelle compétence sont des efforts que je considère comme des difficultés constructives.Ces incursions dans le challenge n’ont pas besoin d’être absolument nécessaires pourvu qu’elles finissent par m’être bénéfiques.
Il se pourrait que ma personnalité soit naturellement plus résiliente que d’autres et bien adaptée pour gérer le stress et la tension liés aux difficultés. Il est également vrai que les personnes dotées de solides mécanismes d’adaptation sont également plus susceptibles de tirer profit d’expériences difficiles.
Bien sûr l'épuisement et tout type d'impact négatif dans n'importe quel domaine de ma vie sont les limites que je m’impose dans ma quête de difficultés. Trop de difficultés ou des difficultés excessives peuvent conduire au « burn-out » et à des accidents. Finalement, je fais bien attention de toujours trouver un équilibre entre dépassement personnel et bien-être mental et physique.
Je pense que cela a fonctionné pour moi, alors si vous êtes curieux et intéressé, essayez-cette technique !
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