Cela fait des années que j’entends qu’une Tesla était un « ordinateur sur roues » en raison de la puissance de calcul importante de son logiciel et de la technologie avancée intégrée partout dans le véhicule. Le système informatique de bord sophistiqué contrôle de nombreux aspects de conduite, comme la navigation, la fonctionnalité du pilotage automatique, la gestion de l'énergie, etc.
Si l'on reste sur le sujet de la navigation et de « l'anxiété d'autonomie », thèmes que nous évoquions hier, chaque fois qu'une destination est sélectionnée sur le GPS, celui-ci indique avec une grande précision – j'ai trouvé – combien d'énergie restera disponible dans la batterie à destination (voir illustration).
C'est un élément extrêmement important, car si l'on reste à parcourir encore 150 kilomètres, une réserve de 14 % peut paraître mince et très peu fiable. Pourtant, comme j'en ais fait l’expérience, si cette quantité de réserve à destination diminue, un avertissement surgit à l'écran, notifiant le conducteur de rester en dessous d'une certaine vitesse.
De même, lorsque cette marge est faible, je respecte la limite affichée au lieu de régler mon régulateur de vitesse légèrement au-dessus de celle-ci comme je le fais habituellement. Ainsi, lorsque j’arrive à destination, non seulement j’égale, mais je fais souvent mieux que la réserve prévue. Cela à lui seul me rassure bien plus sur la conduite d’une voiture électrique que toute autre considération.Demain nous comparerons conduire une Tesla et une 2cv Citroën…
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