samedi, avril 17, 2021

Un travail pour moi ?

Appelez-moi naïf ou inculte si vous voulez, mais je n'avais jamais entendu parler d'un Death Dula (Doula de la mort) jusqu'à hier matin, quand c’est devenu le sujet de la journée sur NPR, la radio nationale américaine. 

Aussi appelée thana doula or sage-femme de la mort, la doula de la mort est une personne qui assiste dans tout ce qui touche à la fin de vie, tout comme une sage-femme aide à l’accouchement d’un nouveau né. Une idée qui, à mon avis, rempli un besoin profond. 

Ce rôle peut compléter voire même aller au-delà des soins palliatifs traditionnels, car les doulas peuvent s’occuper d’une large variété de fonctions, comme planifier la mort tout en fournissant un soutien spirituel et psychologique et inclure en même temps une assistance logistique pour les services funéraires. 

À l’heure actuelle, contrairement aux sages-femmes, il n’existe pas d’organisation nationale aux États-Unis qui réglemente cette profession, c’est donc un peu le grand n’importe quoi. 

Seules quelques mesures ont été prises çà et là pour organiser cette activité, comme celles introduites par la sénatrice de l'État de l'Oregon, Vicki Walker, qui a proposé une législation visant à réglementer les doulas de la mort en 2009. 

Sa loi exige que ces doulas soient autorisées. par le conseil mortuaire et des cimetière de l'Oregon. Aujourd’hui, il semblerai que la plupart des doulas soient des bénévoles qui offrent leurs services par pure bonté, mais ce n’est pas tout à fait clair et la source de financement de cette activité est reste grande partie invisible. 

Devrais-je envisager ce genre de travail ? Peut-être pendant les mois d'été, mais m’y mettre à l'année pourrait m’écarter du ski pour toujours !

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