Sachant cela, il est facile de comprendre pourquoi les compagnies d'assurance ont soudain décidé d'être « bonnes joueuses » et de paraître prêtes à « discuter » avec le congrès. Celles-ci ont tout simplement peur que si elles refusent de participer à une refonte de la sante publique, elle pourraient bien rallier tous ceux qui rêvent de mettre fin à leur hégémonie. Que va-t'il se passer ensuite? C'est très simple, quelle que soit le nouveau plan mis en place,
il ne sera pas en mesure d'endiguer l'augmentation des couts de de santé avec trois partis profondément déterminés à se remplir les poches sur notre dos. Plus tard que plus tôt, il va falloir que nous mettions en place un système contrôlé et géré par le gouvernement ou faire faillite. Si notre nouveau gouvernement et congrès étaient un peu plus futés, ils devraient bien nous épargner cette étape intermédiaire ...
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