Il est parfois difficile d’accepter les changements que le temps nous impose. Si cela est vrai pour les Pyramides, c’est encore plus appréciable chez les humains.
En 2010, j’avais seulement 62 ans, et je me tenais debout, avec assurance, sur une échelle, et il y a quelques jours, j’ai été remplacé par Pablo, qui a tout au plus 50 ans et semble à l’aise à 7 mètres du sol.
Bien sûr, l'endroit est sensiblement plus haut et l'échelle pour y arriver, nettement plus longue, plus lourde et beaucoup plus encombrante, mais c'est un signe incontournable que les effets du temps qui passe continuent d’avancer et de nous affecter.Il n’est jamais facile de manipuler une très grande échelle sans la laisser vaciller, une fois dressée par l’utilisateur occasionnel que je suis. De plus, ma force musculaire n’est plus tout à fait ce qu’elle était.
Monter là-haut est moins problématique car je n'ai pas trop le vertige, sauf que ma femme l'a pour moi et c'est quelque chose pour laquelle je n'ai pas de solution, donc je dois en tenir compte.
Cela veut donc dire qu’à partir de maintenant, le grand air en altitude sera le travail réservé pour Pablo, plus pour moi !
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