Il y a quelques jours, je recevais une carte postale avec une magnifique photo de coucher de soleil prise au Park Meadows Country Club, un club de golf luxueux et très cher, ici à Park City.
Je n'ai reproduit que ce qui était écrit sur cette carte avec mes commentaires. Il semblait avoir été écrit par Josh, un homme d'une quarantaine d'années, et signé par lui et Ann, sa belle-mère.Cette dernière, aujourd'hui octogénaire, est une agente immobilière qui a eu beaucoup de succès et qui est dotée d’une vanité toute aussi exceptionnelle. Elle prend désormais son gendre sous son aile, le prépare à son nouveau métier et lui transmettra éventuellement sa liste de clients.
Je ne prétends pas tout connaître en marketing, mais je crois que ses clients (existants et potentiels) ne se soucient pas beaucoup de l’endroit où la paire a dîné et encore moins de l’endroit où elle a passé ses vacances « fantastiques ».
Bon, ce genre de commentaires venant d’un agent immobilier, enrichi à la commission, renforce le ressentiment du lecteur car il montre à quel point le client est « la vache à lait » nourrissant le train de vie luxueux de cette personne.
Au lieu de cela, il aurait été plus judicieux d'intégrer dans le texte une bonne introduction de ce qu’allait faire ce jeune homme et donner l'assurance qu'il allait bénéficier de tous les conseils et de l'expérience professionnelle que sa belle-mère était capable de lui transmettre.
N'êtes vous pas d'accord ?
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