Pendant des années, le ski de printemps a donné une merveilleuse option de pratiquer ce sport dans un cadre plus chaud et plus confortable et avec une forte dose de lumière vive, pour changer d’un hiver long, froid et sombre.
En général, nous avons un peu tendance à oublier les pistes gelées tôt le matin, la « soupe » de l'après-midi et gardons le plus souvent une image super positive de ce que devrait être le ski de printemps. Une excellente façon de perfectionner son bronzage et de faire passer plus vite les couleurs vives de nos tenues de ski.
Cela dit, c'est toujours une expérience courte et difficile à saisir avec un temps capricieux qui peut facilement passer d’une chaleur presque insupportable à un froid glacial et inversement !L'intérêt pour ce type de ski reste encore élevé pour une minorité d'amateurs de ski qui ne jouent pas au golf, ne font pas de bateau, ne font pas de vélo et ne jardinent pas, du moins aussitôt que revient le printemps. Ceux qui perdent tout intérêt pour le ski après le début mars sont généralement les mêmes qui ont hâte de détruire leur nouveau matériel sur les pistes caillouteuses en novembre.
Ainsi, bien que le ski de printemps ne guère bon que sur pistes damées, il peut être difficile et carrément dangereux ailleurs. Et avec notre poudreuse sèche d'Utah, la « gros sel » est loin d'être aussi bonne que ce que l'on connaît partout dans les Alpes. Alors avec toutes ces mises en garde présente à l'esprit, profitez encore du ski de printemps, que ce soit à Park City ou à Chamonix !
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