La surpopulation a toujours été ma crainte dominante, sauf peut-être quelque peu eclipsée aujourd’hui avec les 7 000 ogives nucléaires avec lesquelles Poutine menace le monde.
Cela dit, cet été, James Pomeroy, un jeune économiste britannique, a affirmé que les 8 milliards de personnes qui vont se trouver sur terre d'ici au 15 novembre, tomberont à 4 milliards en 2100 au lieu des plus de 10 milliards et demi prévus par les Nations Unies.
Son affirmation est basée sur un taux de natalité en forte baisse (ce qui dans certains pays est une tendance indéniable) plus une population vieillissante, qui ferait croiser la courbe des naissances et la courbe des décès entre les années 2080 et 2090.
Cela amènerait ainsi la population mondiale à la fin du siècle vers les 4 milliards plutôt que les 10,5 auxquels je m’attends toujours.
Cette baisse de la fécondité s’expliquerait par de nombreux facteurs comme l’âge moyen de grossesse retardé dans les sociétés où les femmes entrent plus tardivement sur le marché du travail, mais aussi des loyers trop élevés dans la plupart des pays riches où les familles nombreuses sont en baisse considérable.
Cela peut sembler rassurant, mais je ne pense pas que mon petit-fils, s'il vit jusqu'à 92 ans, le verra. À moins, bien sûr, que Poutine décide de jouer à l’apprenti sorcier avec son arsenal atomique (si celui-ci est en état de marche), et force les États-Unis à réagir en conséquence, ce que Pomeroy n'a pas pensé à inclure dans ses raisons d'un déclin démographique drastique.
Adhérez-vous également à sa théorie magique qui sortira soudainement de nulle part et guérira la planète ?
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