Au fur et à mesure que nous avançons dans les années, nous entendons souvent une petite voix qui nous interroge : « Que vas-tu faire du temps qui te reste à vivre ? » Beaucoup d'entre nous ignorent cette voix et continue avec leur mode de vie habituel. Quelques-uns cependant, ne peuvent pas oser ignorer cette petite voix lancinante ; ils y font face et examinent trois options toute simple :
Soit continuer comme si de rien n’etait, en suivant suivant soigneusement les ornières habituelles, Sois tenter d'améliorer ou de créer de nouvelles idées ou de nouveaux projets, et, enfin bien sûr, ne faire strictement rien de plus, laissant la nature suivre son cours et débouler le pente érosive du temps vers une pleine décrépitude.
Pour moi, c'est une question impossible à ignorer, peut-être à cause de ma nature culpabilisante ou de mon perfectionnisme dévastateur. Alors je vise toujours le gros projet, quel que soit sa nature et où qu’il se trouve dans mon esprit à ce moment-là. Si ce projet peut avoir du succès, tant mieux.
Si mes efforts stagnent, il pourrait alors me maintenir à niveau. Je préfère donc une bonne marge de sécurité. Je sais avec certitude que si je recherche le status quo, les choses pourraient déraper quelque peu et je glisserai alors vers l’arrière en direction de mon propre déclin.Pas l’option qui m’intéresse !
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