Selon les continents, des mandats de 4 ou 5 ans sont souvent de mise pour les politiciens, sauf pour les régimes despotiques comme la Chine ou la Russie.
Pourtant, en ces temps d'insatisfaction généralisée, d'impatience totale, de théories du complot canalisées dans des torrents déchaînés par les médias sociaux, les électeurs exigent une forme de perfection idéalisée, croient en d'énormes mensonges, s'en prennent à des peccadilles et veulent du changement juste pour le plaisir de changer.
D’un autre côté, toute politique a besoin de cohérence et d'une application à long terme pour réussir. Parlons d’au moins 10 ou 15 ans qui sont souvent nécessaires pour produire des résultats et faire une différence.
Donc, à moins que le politicien dont on veut se débarrasser est absolument incompétent, complètement débile ou un est un voleur avéré, nous ferions mieux de laisser ses programmes prendre racine, mûrir et porter leur fruits plutôt que de jeter, encore et encore, le bébé avec l'eau du bain.Nous devrions nous examiner attentivement chaque matin alors que notre propre image se reflète dans ce miroir proverbial, et convenir que, tout comme un chacun, personne n'est parfait.
De cette façon, au lieu d'expulser de leur poste des entités connues, peut-être imparfaites, mais qui ont commencé à travailler sur quelque chose qui a du sens, nous installons à leur place de parfaits inconnus dont l'expérience de gouvernance est totalement impossible à prédire et les plaçons dans un environnement strictement nouveau et inconnu pour eux en espérant naïvement qu'ils feront mieux.
Si cela n’est pas de la folie, donnez moi votre définition ...
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