Mardi, nous avons quitté Osaka en pensant que nous allions rentrer à la maison le même jour et à la même heure que notre départ …
C'est bien là l’avantage de franchir la ligne de changement de date en se dirigeant vers l'est. Comme de bien entendu, les choses ne se sont pas passées ainsi, car cela était sans compter sur les retards fréquents rencontrés quand on prend l'avion ; ceux-ci allaient ajouter environ cinq heures à notre heure d'arrivée en nous faisant manquer notre correspondance à Los Angeles.
Avec un temps magnifique tout au long de notre séjour, nous avons été extrêmement chanceux et nous avons profité d'un séjour exceptionnel. Nous avons trouvé les Japonais tellement hospitaliers que je suis fermement convaincu qu'ils devraient gérer toutes les écoles hôtelières du monde entier.
Cela dit, le Japon est un pays assez compliqué, à commencer par son langage très difficile, son obsession en matière de perfection et sa discipline très stricte. Ce pourrait être un cas d'école sur ce qu'il ne faut pas faire pour laisser libre court à la créativité et à l'innovation.
Il ne fait aucun doute qu'une discipline et une réglementation rigide étouffent la créativité et, à terme, encouragent la stagnation.
Est-ce une des raisons pour lesquelles le Japon ne semble pas avoir retrouvé un second souffle après la crise qui l'a tellement secoué en 1990 ? Bien sûr on peut toujours opposer à cette approche progressiste en faveur d'une innovation à tout va, l'argumentation qu'une planète qui ne cesse de se détériorer n'a que faire d'un progrès à brides rabattues …
mercredi, octobre 24, 2018
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