Nous avions déjà volé avec KLM et n’avions pas été du tout impressionnés (surtout la qualité de la nourriture qui m’avait rendu malade). Cette fois, l’expérience allait être bien pire.
Lorsque nous avons atterri à l'aéroport de Schiphol à Amsterdam et avons été transféré sur notre vol KLM vers Bordeaux, nous pensions que ce serait un segment de vol d'une heure et demie sans aucune histoire. C'était jusqu'à l’arrivée quand nos bagages ne se sont pas présentés pas sur le tapis roulant. Pour bien faire, il nous manquait bien nos deux valises.
Déposer une réclamation avec un guichet électronique de fabrication française fut incroyablement frustrant, difficile, contre-intuitif et nécessita l'aide constante d'un assistant particulièrement désagréable travaillant, nous pensons, pour l'aéroport de Bordeaux et bien sûr pas pour la compagnie aérienne qui avait perdu nos bagages.On nous a alors dit que les pièces manquantes nous seraient livrées dans un court délai, peut-être seraient-elles même mises sur un vol KLM plus tard dans la journée, lui aussi à destination de Bordeaux. Au pire, nous les aurions le lendemain matin, comme cela se passe habituellement.
Même pour les bagages perdus, l'espoir est toujours éternel, et c’est avec confiance que nous comptions les récupérer dans les meilleurs délais. Mon défi suivant fut de réapprendre à conduire une auto avec transmission manuelle pendant les trois heures qui nous séparaient de notre destination pour la journée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire