samedi, septembre 07, 2019

Mt. Timpanogos, la longue marche

En début de semaine, après trois ans d’interruption, j'ai décidé une fois de plus de gravir Mont Timpanogos, en compagnie de ma fille. Très vite, j’allais découvrir la différence que peuvent faire juste quelques années sur ma performance de grimpeur septuagénaire.
Auparavant, cette grimpette estivale avait toujours constitué une expérience plutôt éprouvante, mais cette fois, celle-ci s’est transformée en longue et douloureuse agonie. Mon sac à dos était trop lourd, le sentier trop raide et le soleil trop chaud.

Bien sûr, cela venait s’ajouter au fait que lorsqu’on atteint le sommet, il n’existe pas de solution facile pour descendre. Pas de « zip-line », ni d'hélico ou de parapente. Tout ce qui a été fait à l’aller doit être obligatoirement répliqué au retour, mais là, il ne reste plus d’énergie capable de soutenir les importants efforts encore nécessaires.

Au final, nous sommes malgré tout arrivés au pied de la montagne et je me suis promis de m'entraîner plus sérieusement pour bien faciliter ma prochaine et 11ème ascension !

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