En tant qu'individu bien vivant, l'idee de la mort ne m’enthousiasme pas, mais si je me plonge un peu plus dans le sujet, en réfléchissant à tout ce que cela impliquerait, la peur de rater serait au centre de mes préoccupations.
Cela commencerait par ma famille, y compris mon épouse, mes enfants et mon petit-fils, puis irais vers ma famille éloignée ainsi que mes amis, et enfin s’étendrait au reste du monde, y compris le ski, bien sûr. La connexion me manquerait et je sais de quoi je parle.
Je viens de quitter Facebook en avril et j'ai vécu beaucoup de peur de passer à côté, mais jusqu'à présent, j'ai survécu glorieusement. Est-ce que je ressentirais la même chose si cela se reproduisait dans le cadre de ma dernière révérence ?
Oui et non.
Oui, pendant les quelques instants précédant la transition. Non, après, car il n'y aurait rien (de bon ou de mauvais) qui justifierait ce genre de soucis.
Soyons clairs: dans le cas où il n'y aurait pas de vie après la mort, plus de problème, et à l’opposé, dans le cas d'une vie après la mort, j'observerais depuis l’étage et ne manquerais pas le moindre détail.
Conclusion: Tout ce manque hypothétique serait de très courte durée et ne poserait pas problème.
vendredi, septembre 07, 2018
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