Pour les catholiques pratiquants, il y a le mercredi des cendres, mais pour nous à Park City, se sont les cendres au quotidien, pas juste une fois par an.
Il y a quelques blogs de ça, je me trompais un peu en qualifiant notre ciel gris et enfumé comme saturé de microparticules en provenance des feux de Californie.
Je suis certain que celles-ci étaient du voyage, mais j'avais trouvé le moyen d'ignorer qu'il y avait une sacré quantité de cendres en transit dans les airs et c’était franchement trop évident pour être ignoré, car tout était parfaitement visible à l'œil nu.
Nous ne parlions pas seulement de « particules fines », mais aussi de macro-particules, mieux connues sous le nom de cendres. C'est mon épouse qui m'a alerté sur la présence de ce tapis gris quand elle m'a montré que notre terrasse en était recouverte.
Cette saloperie avait parcouru entre 1 100 et 1 300 km dans les airs avant de se poser délicatement sur notre plancher extérieur !
mardi, août 14, 2018
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