Quelle meilleure façon de passer du blog d'hier au sujet du jour! C'est çà, je veux vous parler de mon addiction pour le désherbage. Nous sommes tous au courant des côtés néfastes de toutes les formes de toxicomanie, du tabagisme à l'alcool et jusqu'aux drogues illicites. Mon addiction, si elle n'est pas trop malsaine, n'en est pas moins profondément enracinée.
Tout a commencé lorsque nous avons construit notre grande maison et quand - en avance sur notre temps - nous décidions en faveur d'un paysagisme naturel et entreprenions de remettre en place toute la végétation naturelle qui se trouvait là où s'élevait désormais notre nouvelle maison. Il a donc fallu se débarrasser d'une multitude de mauvaises herbes pendant plus d'une demi-douzaine d'années, un fait assez difficile à croire, mais comme tous les intrus, les mauvaises herbes savent être particulièrement tenace. Aujourd'hui, alors que notre jardin est beaucoup plus traditionnel, les mauvaises herbes y sont toujours présentes et doivent être éradiquées de la même façon.
La plupart du temps, c'est une bonne thérapie, mais quand j'en ai après moi-même (ou quelqu'un d'autre), cette activité devient la meilleure façon de dissiper la colère d'où quelle puisse venir. C'est aussi un moyen fascinant d'accélérer le temps et bien que cela ne soit pas dans mon intérêt, il est parfois difficile de résister à la chanson de ces sirènes terrestre aux racines profondes ... Comme il s'agit d'une forte dépendance, il n'y a pas à faire d'effort. Il suffit de voir une plante qui pointe son nez et qui ne fait pas partie de la « famille » pour que moi - et ma femme, je dois ajouter – devenions « enragés ». Si l'accès à cette dépendance vous attire, contactez-moi pour plus de conseils.
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