L’allemand n’est pas une langue facile, du moins pour ceux de langue maternelle française. Après avoir suivi un premier cours de 6 semaines l'année précédente, je suis retourné à Tübingen, dans le sud de l'Allemagne, pour parfaire ma formation dans la langue de Goethe, chose à laquelle je n'avais pas prêté trop d'attention la première fois que je m’y trouvais, car je ne me rappelle pas de m’être concentré excessivement sur l’apprentissage de celle-ci.
La partie ludique et non la rigueur académique l’avait emportée ! C’est pourquoi, il y a juste cinquante ans, je m'y retrouvais à nouveau, cette fois avec un groupe d'étudiants qui n'était même pas aussi marrant que le précédent.Cette fois, mes camarades étudiants étaient juste sérieux et travaillaient tous et toutes comme des forcenés. Bosser, bosser, bosser !
Une excellente chose pour moi car cela m'a servi de tremplin énorme pour ma transition de moniteur de ski à cadre de haut niveau dans la branche du ski, à une époque où les compétences linguistiques l'emportaient encore largement sur les diplômes d'école de commerce, du moins dans ce secteur.
Mes connaissances en Allemand allaient m’ouvrir des portes et m’offrir un sérieux coup de pouce, à l’aube de ma carrière et c'est pourquoi j’ai toujours apprécié la puissance de la (vraie) maîtrise d'une langue étrangère dans un CV ...
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