Les deux premiers jours de cette nouvelle année ont été particulièrement froids.
Il faisait -22 ° mardi matin, suivit de -10 ° plus tard dans la journée et -20 ° le mercredi avec un maximum de -7 ° l'après-midi. Inutile de dire que je n'ai pas skié ces deux jours! Dans le passé, j'ai eu mes expériences avec le froid.
Je me souviens d’un jour de décembre en 1969, à Chamrousse, quand j’étais en train de passer un examen de moniteur de ski, vêtu seulement d’un pull rouge – ni anorak, ni bonnet - pour faire une bonne impression sur le jury, et où je m’était sévèrement gelé les doigts.
Plus tard, à Avoriaz, je m’étais suis acheté une doudoune Moncler, pour pallier au manque total d'isolation de nos élégantes tenues Skimer.
Un autre épisode mémorable eu lieu à Sugarbush, dans le Vermont, lors d’une réunion de vente Look, alors que nous avions dû skier par -40 °, avec un facteur vent de -55 °. Il n’y eu qu’une seule longue remontée glaciale sur le télésiège à pince fixe ce jour-là !
Ici, à Park City, j'ai assez souvent skié sous des températures frisant les -25 °, il m’étais alors à peine possible de m'extraire de mes chaussures de ski, de retour à ma voiture, et bien d'autres jours où j’étais en compagnie de skieurs qui produisaient bien plus d'efforts que moi, alors que je ne faisais que me refroidir.
Le fait que j'ai adopté le port du casque il y a 9 ans déjà, marqua un grand progrès dans ma lutte contre le froid, car cela m'a finalement permis de maintenir ma tête chauve et mes grandes oreilles bien au chaud ...
Conclusion : Le ski n'est pas un sport tropical et le froid est plus que nécessaire pour que nous puissions le pratiquer. Il vaut donc mieux se tromper en faveur d'une protection maximale contre le froid, quelles que soient les conditions !
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