Que ce soit le livre que vous lisez, la chanson ou la blague que vous entendez ou le film que vous regardez, votre expérience sera souvent directement liée à la qualité de l'histoire racontée et la façon dont elle a été racontée.
Tout à fait par hasard, je suis tombé sur un bon article (en anglais) écrit par Aimée Lutkin, à propos de ce qui fait une bonne histoire et je voulais partager ses conclusions avec vous.
Elle commence par souligner la différence entre connaître une histoire « par cœur », plutôt que de simplement la mémoriser. Cela veut dire, qu'il faut d'abord ressentir profondément celle-ci et qu'elle doit faire partie du tissu émotionnel de l'auteur, et ne surtout pas être une récitation, pour bien communiquer avec l'audience.
Ensuite, l'histoire a besoin d'attirer l'attention des gens avec une puissante introduction qui leur signalera que ça vaut la peine de suivre et que ce n'est pas n'importe quoi.
Bien sûr, rester toujours le plus concis possible est essentiel en évitant de raconter « une histoire courte qui n'en finit pas de durer » juste pour remplir l'espace libre, et faire toujours tout son possible pour rester très clair.
Ajouter un peu de dialogue dans l'histoire que l'on raconte est un bon moyen d'apporter d'avantage de texture et de réalisme, comme par examole en citant: « Et c'est là que Charlie a dit ... etc. »
Aussi, bien s'assurer que la fin de l'histoire offre tout le punch que le public mérite et attends. Éviter une fin faible ou édulcorée. Une conclusion en point d'orgue fera que l'audience se souviendra à la fois de l'histoire et de celui ou celle qui la raconte.
Enfin, il ne faut surtout pas oublier de sortir et de vivre sa vie autant que faire se peut ; dans le processus, se cache un véritable trésor d'histoires futures à raconter !
lundi, mai 14, 2018
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