Alors que je vantais les qualités de la récente biographie officielle de Steve Jobs, j'ai omis de lier l'histoire de sa vie professionnelle avec tout ce qui être enseigné aux élèves et en particulier dans les grandes écoles de commerce, où faire de l'argent par tous les moyens semble encore rester le nerf de la guerre. Cela signifie que chaque action qu'un bon leader est appelé à prendre doit être lié avec la création de bénéfices.
Ceci est en bien évidemment en opposition avec la meilleure façon de créer une entreprise durable et dynamique en liant des forces de passion, d'engagement et de concentration sur la qualité ou toute autre ingrédient unique à l'organisation. Les entreprises qui ont démarré de presque rien et qui ont duré en restant fidèle à cette approche ont toujours été celles qui ont eu la plus grande réussite financière qui soit, malgré les faiblesses et les excentricités de leurs patrons qui pouvaient parfois dévier de la conduite acceptée.
Ce chef passionné est le fil conducteur qui permettent au courant de passer toute cette volonté de réussite au sein de l'organisation. Retirez un tel meneur, soit en le dégradant, soit en vendant l'entreprise ou pour toute autre raison, et cet ingrédient « magique » disparaît aussitôt. Cette forme de vie insaisissable et puissante est malheureusement une dimension que les écoles de commerce ont bien du mal à saisir et à quantifier pour pouvoir l’établir dans le cursus proposé à leurs élèves ...
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