Selon Bruno Cercley, son président, le groupe espère ramener ses comptes à l'équilibre dans les deux ans, et ce sans fermer aucun de ses sites de production en France, Espagne ou Italie, en recherchant au contraire de tabler sur les points forts de ceux-ci. Tout comme pour General Motors, ces mesures représentent une intervention qui « n’est pas assez forte et qui intervient trop tard. » pour la marque au coq tricolore. Avec des gestionnaires qui semblent incapable de prendre des décisions courageuses, comme la consolidation de la fabrication des skis, la réduction du nombre de modèles, le changement de sa philosophie commerciale et l’adoption d’une politique adaptée à la période dans laquelle nous vivons, ceci risque de se révéler un médicament tout à fait inefficace. Si la grande direction en Isère fait aussi bien que sa filiale américaine à son siège de Park City aux États-Unis, leur manque d'agressivité, d'imagination et de dynamisme commercial ne fait plus partie de la de l'ADN de la société. Pour les détaillants et les consommateurs, il n’y plus rien d’assez excitant ou de radicalement différent pour stimuler l’intérêt et rallier les troupes. Dommage ...
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