Comme prévu, le G20 n'a rien apporte d’extraordinaire au chevet de la finance et des économies internationales. Le montant de 1.100 milliards de dollars en aide ne représente pas grand chose par rapport à un PIB planétaire qui se monte a 70.000 milliards de dollars et pâlit en comparaison avec les deux ou trois mille milliards que les États-Unis ont déjà pompé dans un effort de sauver leur propre économie.
Ce qui pour moi est parfaitement démagogique est l'accord sur « un plafond de rémunération et de bonus pour les dirigeants de banques » qui semble être, et est sans l’ombre d’un doute, un geste symbolique pour apaiser ceux qui pensent s'être fait « plumés » par leurs propres institutions financières. Ne pas être allé de l'avant avec la création d'un organisme international de réglementation financière est manifestement le plus gros échec de cette réunion.
Cela démontre clairement que les grandes institutions financières restent autant incroyablement puissantes qu'influentes et constituent bien le « marionnettiste » qui fait valser nos politiciens américains par l'entremise des doigts habiles et bien trompeurs de notre ami Tim Geithner ...
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