Alors que je regardais le deuxième épisode de "Nous resterons", la saga des Indiens d'Amérique, racontée par ceux-ci, sur la chaîne de télévision publique PBS, un chef tribal interrogé disait que, pour lui, survivre a consisté à extraire le meilleur des deux cultures (la sienne et celle de l'homme blanc.)
Même si je ne suis pas un indien d'Amérique, j'ai suivit cette voie à de nombreuses reprises tout au long de ma vie. Du temps où je travaillais à l'alpage avec mes parents, lorsque nous vivions encore dans des conditions moyenâgeuses, au moment où je me retrouvais pensionnaire au lycée découvrant une forme beaucoup plus raffinée de vie, puis jusqu'au jour où j'atterrissais en l'Amérique, il y a plus de 30 ans.
Depuis, ma femme et moi avons toujours chevauché deux mondes très contrastés, choisissant toujours l'option qui nous paraissait la plus appropriée. À cheval sur différentes cultures et des coutumes s'opposant souvent, il nous a toujours fallut faire le bon choix entre de multiples options, ce qui n'était jamais facile ; mais avec une bonne discipline et un sens de direction bien défini, cela a produit de bons résultats.
mardi, avril 21, 2009
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