Tout ceux qui a travaillés pour un patron ou au sein d'une équipe ont toujours étés, à un moment ou un autre, terriblement frustrés par ce qui se passait autour d'eux. Plus vous travailliez et le plus intelligent que vous pensez être, le plus vous serez à même de voir des tireurs au flanc et des collègues incroyablement « politisés, » dont l'unique but est d'échapper au boulot, bien contrôler leur petit domaine réservé et rendre votre vie tout à fait misérable.
Plus on est sensible, plus il est difficile de ne pas voir cet effort de destruction systématique en sous-sol, jour après jour, et il devient extrêmement difficile de continuer et encore moins de supporter cette situation injuste.
Pour ceux d'entre vous qui vous trouvez dans cette situation, je propose un truc simple, inspiré de mon héros du moment. Demandez-vous tout simplement « Que ferait Obama ? » Je reviendrai dailleurs sur ce sujet.
D'accord, si vous êtes « fan» de Cheney, vous n'avez qu'à substituer le nom, mais je ne garantis pas les résultats !
jeudi, avril 30, 2009
mercredi, avril 29, 2009
Un travail inutilement difficile
"Vision Park City» est un processus que notre petite ville vient de lancer afin de définir la façon dont nous, les citoyens, envisageons notre communauté et son avenir. Ce grand exercice collectif pour lequel nous le groupe que nous sommes s'active en ce moment, est un effort inutilement difficile pour tous les bénévoles qui s'y sont engagés.
Je pense que les consultants qui étaient charges du projet n'avaient aucune idée comment ils allaient s'y prendre pour obtenir l'information dont ils avaient besoin et ont demandé aux bénévoles de concevoir une procédure capable de réponde à leurs besoins. Ils ont donc décidé de nous laisser inventer un outil qu'ils ont vendu au préalable à la ville sans que celle ci sache bien ce qu'elle achetait.
Tout ce travail qui aurait pu nous être épargné aura dépouillé les bénévoles que nous sommes de leur temps et de leurs efforts. Maintenant que le produit final commence à se préciser, ces mêmes consultants semblent pressés de reprendre le contrôle et de revendiquer la propriété de ce qu'on va leur livrer. Je me demande qui, parmi nos décideurs municipaux aurait du fouiller un peu mieux dans les références de ces gens avant de les embaucher ? Notre ville devrait tirer quelques enseignements de ce fiasco en s'assurant dans le futur que le service rendu corresponde bien aux objectifs fixés et que tout projet similaire soit à l'avenir beaucoup mieux recherché.
Je pense que les consultants qui étaient charges du projet n'avaient aucune idée comment ils allaient s'y prendre pour obtenir l'information dont ils avaient besoin et ont demandé aux bénévoles de concevoir une procédure capable de réponde à leurs besoins. Ils ont donc décidé de nous laisser inventer un outil qu'ils ont vendu au préalable à la ville sans que celle ci sache bien ce qu'elle achetait.
Tout ce travail qui aurait pu nous être épargné aura dépouillé les bénévoles que nous sommes de leur temps et de leurs efforts. Maintenant que le produit final commence à se préciser, ces mêmes consultants semblent pressés de reprendre le contrôle et de revendiquer la propriété de ce qu'on va leur livrer. Je me demande qui, parmi nos décideurs municipaux aurait du fouiller un peu mieux dans les références de ces gens avant de les embaucher ? Notre ville devrait tirer quelques enseignements de ce fiasco en s'assurant dans le futur que le service rendu corresponde bien aux objectifs fixés et que tout projet similaire soit à l'avenir beaucoup mieux recherché.
mardi, avril 28, 2009
Grands, beaux et chers!
Par les temps qui courent, les laveuses et sécheuses à linge sont carrément ... Magnifiques. Leur formes organiques et bien arrondies ainsi que leurs superbes couleurs en font des sculptures que vous pourriez placer au beau milieu du salon, mais surtout pas dans votre buanderie ! Le problème avec ces beaux appareils est que leurs prix semble désormais refléter leur esthétique. C'est en fait une très bonne idée commerciale pour tirer un peu plus d'argent des consommateurs. Allez donc sur internet et comparez donc un ensemble ancien de laveuse et sécheuse à linge avec ses homologues de l'ère spatiale. Vous verrez que si vous êtes prêts à doubler votre investissement, vous vous trouverez directement catapultés des années 1950 en plein 21ème siècle !
lundi, avril 27, 2009
Éruption créative
Pendant de nombreux mois, je n'ai guère eu l'occasion de me creuser la cervelle à la recherche d'idées nouvelles. Par contre, ces deux dernières semaines, cette situation s'est reviré de façon spectaculaire. Je suis maintenant au beau milieu de deux projets qui me taraudent l'esprit et me réveillent au beau milieu de la nuit avec un fort débit d'idées que je trouve toutes formidables.
Ne vous méprenez pas, personne ne m'a encore pour l'instant octroyé de prix, c'est simplement que je donne un peu dans l'auto-satisfaction. En tout cas, j'étais fortement impressionné de voir qu'il me restait encore une bonne dose de ressources créatives. Pourvu que ça dure encore une ou deux dizaines d'années ...
Ne vous méprenez pas, personne ne m'a encore pour l'instant octroyé de prix, c'est simplement que je donne un peu dans l'auto-satisfaction. En tout cas, j'étais fortement impressionné de voir qu'il me restait encore une bonne dose de ressources créatives. Pourvu que ça dure encore une ou deux dizaines d'années ...
dimanche, avril 26, 2009
Break et 4x4
Dans un passé pas si lointain, les véhicules “break” avaient une bonne raison d'exister. Ils étaient la conséquence logique d'une extension plus volumineuse et plus pratique de la berline. Pour cette raison, les constructeurs d'automobiles ne pouvaient les vendre que pour une petite plus-value par rapport à leurs homologues plus élégantes.
Tout cela devait changer avec l'avènement des 4x4, qui a commencé dans les années 80 avec le modèle très populaire de Jeep Cherokee et plus tard, avec le Ford Explorer. Celles ci n'étaient rien d'autre qu'une version « glorifié » du break d'autrefois, peut-être un peu plus robuste et plus haut sur pattes. En tout cas, c'est là que les fabricants ont réalisé qu'ils pouvaient augmenter sensiblement leurs prix et leurs bénéfices tout en donnant au conducteur une vue imprenable ...
La ré-invention de l'industrie automobile américaine va-t'elle ramener un retour au bon sens et légitimer à nouveau ce bon vieux break?
Tout cela devait changer avec l'avènement des 4x4, qui a commencé dans les années 80 avec le modèle très populaire de Jeep Cherokee et plus tard, avec le Ford Explorer. Celles ci n'étaient rien d'autre qu'une version « glorifié » du break d'autrefois, peut-être un peu plus robuste et plus haut sur pattes. En tout cas, c'est là que les fabricants ont réalisé qu'ils pouvaient augmenter sensiblement leurs prix et leurs bénéfices tout en donnant au conducteur une vue imprenable ...
La ré-invention de l'industrie automobile américaine va-t'elle ramener un retour au bon sens et légitimer à nouveau ce bon vieux break?
samedi, avril 25, 2009
Plus le temps passe, plus il est précieux ...
C'est tout à fait vrai; rien qu'en passant, le temps prend de la valeur. Je veux dire quand tout le reste va bien; santé, famille, amis, affaires et sentiments. Ce n'est pas un concept nouveau: toute pénurie engendre un renchérissement. Il s'agit peut-être d'un concept des plus évidents, mais jusqu'à ce jour, je n'avais pas réussi à le visualiser de manière aussi brutale. Mon temps, votre temps, celui de tout le monde devient de plus en plus précieux à chaque seconde qui s'écoule.
Que vous soyez avocat, plombier ou jardinier, votre taux horaire devrait grimper continuellement lorsque vous travaillez pour autrui. Il peut s'agir d'un point de vue personnel; après tout, c'est votre propre temps, celui qui vous intéresse le plus. Le service rendu est sans doute meilleur car on peut espérer que vos compétences ne font que s'améliorer au fil des jours, mais votre client ou patron ne voit pas nécessairement les choses sous cet éclairage. Quoi qu'il en soit, que vous sachiez négocier votre temps à sa juste valeur ou que vous le cédiez au rabais, vous êtes désormais prévenu, c'est une denrée de plus en plus rare. A partir d'aujourd'hui, ne la gaspillez plus!
Que vous soyez avocat, plombier ou jardinier, votre taux horaire devrait grimper continuellement lorsque vous travaillez pour autrui. Il peut s'agir d'un point de vue personnel; après tout, c'est votre propre temps, celui qui vous intéresse le plus. Le service rendu est sans doute meilleur car on peut espérer que vos compétences ne font que s'améliorer au fil des jours, mais votre client ou patron ne voit pas nécessairement les choses sous cet éclairage. Quoi qu'il en soit, que vous sachiez négocier votre temps à sa juste valeur ou que vous le cédiez au rabais, vous êtes désormais prévenu, c'est une denrée de plus en plus rare. A partir d'aujourd'hui, ne la gaspillez plus!
vendredi, avril 24, 2009
Toujours des tas d'excuses ...
En essayant de faire avancer les choses, il y a toujours une pléthore de bonnes raisons pour ne rien faire du tout. Chacun à des valeurs différentes, travaille à partir d'ordres du jour bien définis et fonctionne à différentes vitesses. Ces variations ne manquent jamais de créer le genre d'interférences qui vont enrayer la boîte de vitesse et tout amener au point mort.
Les intentions cachées causent souvent les grands problèmes en éliminant la transparence qui devrait être de mise, et sont simplement destinées à promouvoir le statu quo. C'est à ce moment qu'il convient d'arrêter de respecter “les règles du jeu" et de commencer à prendre les initiatives qui s'imposent.
Les intentions cachées causent souvent les grands problèmes en éliminant la transparence qui devrait être de mise, et sont simplement destinées à promouvoir le statu quo. C'est à ce moment qu'il convient d'arrêter de respecter “les règles du jeu" et de commencer à prendre les initiatives qui s'imposent.
jeudi, avril 23, 2009
Innover, prendre l'initiative, ne pas attendre
Si vous avez lu mon blog d'hier, vous comprenez que l'innovation m'est très chère. De la même façon, je considère qu'aller de l'avant est tout aussi important. Simplement se maintenir est beaucoup plus frustrant que chercher à se dépasser ; en effet, juste « rester dans la course » n'est pas très satisfaisant car cela crée beaucoup trop de tension et donne le sentiment de toujours avoir à courir, d'être sur la défensive et de faire un peu les choses à moitié. Mener la danse est beaucoup plus simple et tellement plus grisant car cela apporte à la fois excitation et découverte.
Enfin, si vous êtes convaincus qu'innover et mener sont la bonne marche à suivre, il n'y a aucune raison de retarder leur mise en œuvre. Dire « nous ferons ça plus tard » n'est pas acceptable, car cela ouvre la porte à une foule de « bonnes excuses. » En revanche, si on peut physiquement le faire, il faut y aller sans attendre. Cette mise en œuvre au fur et à mesure constitue une belle habitude toute simple qui va vous élever en permanence, affirmera votre élan et à terme, établira votre avantage sur la concurrence ...
Enfin, si vous êtes convaincus qu'innover et mener sont la bonne marche à suivre, il n'y a aucune raison de retarder leur mise en œuvre. Dire « nous ferons ça plus tard » n'est pas acceptable, car cela ouvre la porte à une foule de « bonnes excuses. » En revanche, si on peut physiquement le faire, il faut y aller sans attendre. Cette mise en œuvre au fur et à mesure constitue une belle habitude toute simple qui va vous élever en permanence, affirmera votre élan et à terme, établira votre avantage sur la concurrence ...
mercredi, avril 22, 2009
Pourquoi innover ?
Quand on les interroge sur leur position face à la crise actuelle, les personnages très en vue, que ceux-ci dirigent nos affaires ou notre politique, semblent toujours mettre l'accent sur la façon dont ils minimisent les coups portés aux domaines qui leur incombent, sauvent « les meubles, » et en fin de compte survivent un peu mieux que la « moyenne. » Rien de bien inspirant, ils veulent tout simplement nous impressionner sur la façon dont ils sont capables de couvrir leurs traces et de s'en sortir à peu près indemne, jusqu'à présent ...
Peut-être suis-je un peu trop exigeant, mais j'attends beaucoup plus que ça. J'aimerai qu'on me montre une image du futur et je voudrai entendre quelles solutions sont proposées pour aller de l'avant. C'est ce à quoi sert l'innovation ; altérer le cours des choses, les changer le plus fondamentalement possible et créer une nouvelle réalité capable d'apporter une amélioration tangible à notre situation. C'est cette démarche qui me manque de la part de ceux qui sont à la tète de nos affaires et de notre politique, et pour être franc, de chacun d'entre-nous à commencer par votre serviteur.
Je me demande pourquoi on ne pense jamais assez à rechercher des solutions alternatives à chaque fois que la réalité nous déplait et pourquoi nous ne mettons jamais assez de ressources en action pour développer ces antidotes. La réalité est que nous sommes devenus un peu trop « gras et contents » et qu'il ne serait pas si mal que nous jeunions pendant quelque temps ...
Peut-être suis-je un peu trop exigeant, mais j'attends beaucoup plus que ça. J'aimerai qu'on me montre une image du futur et je voudrai entendre quelles solutions sont proposées pour aller de l'avant. C'est ce à quoi sert l'innovation ; altérer le cours des choses, les changer le plus fondamentalement possible et créer une nouvelle réalité capable d'apporter une amélioration tangible à notre situation. C'est cette démarche qui me manque de la part de ceux qui sont à la tète de nos affaires et de notre politique, et pour être franc, de chacun d'entre-nous à commencer par votre serviteur.
Je me demande pourquoi on ne pense jamais assez à rechercher des solutions alternatives à chaque fois que la réalité nous déplait et pourquoi nous ne mettons jamais assez de ressources en action pour développer ces antidotes. La réalité est que nous sommes devenus un peu trop « gras et contents » et qu'il ne serait pas si mal que nous jeunions pendant quelque temps ...
mardi, avril 21, 2009
Richesse culturelle
Alors que je regardais le deuxième épisode de "Nous resterons", la saga des Indiens d'Amérique, racontée par ceux-ci, sur la chaîne de télévision publique PBS, un chef tribal interrogé disait que, pour lui, survivre a consisté à extraire le meilleur des deux cultures (la sienne et celle de l'homme blanc.)
Même si je ne suis pas un indien d'Amérique, j'ai suivit cette voie à de nombreuses reprises tout au long de ma vie. Du temps où je travaillais à l'alpage avec mes parents, lorsque nous vivions encore dans des conditions moyenâgeuses, au moment où je me retrouvais pensionnaire au lycée découvrant une forme beaucoup plus raffinée de vie, puis jusqu'au jour où j'atterrissais en l'Amérique, il y a plus de 30 ans.
Depuis, ma femme et moi avons toujours chevauché deux mondes très contrastés, choisissant toujours l'option qui nous paraissait la plus appropriée. À cheval sur différentes cultures et des coutumes s'opposant souvent, il nous a toujours fallut faire le bon choix entre de multiples options, ce qui n'était jamais facile ; mais avec une bonne discipline et un sens de direction bien défini, cela a produit de bons résultats.
Même si je ne suis pas un indien d'Amérique, j'ai suivit cette voie à de nombreuses reprises tout au long de ma vie. Du temps où je travaillais à l'alpage avec mes parents, lorsque nous vivions encore dans des conditions moyenâgeuses, au moment où je me retrouvais pensionnaire au lycée découvrant une forme beaucoup plus raffinée de vie, puis jusqu'au jour où j'atterrissais en l'Amérique, il y a plus de 30 ans.
Depuis, ma femme et moi avons toujours chevauché deux mondes très contrastés, choisissant toujours l'option qui nous paraissait la plus appropriée. À cheval sur différentes cultures et des coutumes s'opposant souvent, il nous a toujours fallut faire le bon choix entre de multiples options, ce qui n'était jamais facile ; mais avec une bonne discipline et un sens de direction bien défini, cela a produit de bons résultats.
lundi, avril 20, 2009
L'art de la persuasion
On peut considérer cela comme l'essence même de la vente, mais il nous faut tous convaincre quelqu'un à un moment donné dans notre vie. Qu'il s'agisse de nos parents, de nos professeurs, du patron, des clients, de son propre conjoint ou encore de ses propres enfants. Certains d'entre nous savent faire ça très bien, d'autres le font si mal qu'ils ne vont jamais très loin avec leurs tentatives de persuasion et renoncent assez vite.
Je ne parle pas de persuasion obtenue par le biais de la réciprocité ou d'autres situations où la décision est soit obtenue par une forme de menace, ou encore par quelque chose de douteux ou manipulatif. Je me limite à proposer une bonne idée qui peut souffrir d'etre peu connue, mais capable d'apporter des avantages bien appréciables.
Allez-vous la présenter immédiatement dans une opération « coup de poing », ou préparerez-vous votre public à absorber la nouvelle, en prenant bien le temps de laisser filtrer et d'essayer de la faire germer dans ces esprits que vous voulez conquérir ? Si l'idée est plutôt complexe, implique un grand changement, la seconde approche pourrait être la meilleure. Êtes-vous d'accord?
Je ne parle pas de persuasion obtenue par le biais de la réciprocité ou d'autres situations où la décision est soit obtenue par une forme de menace, ou encore par quelque chose de douteux ou manipulatif. Je me limite à proposer une bonne idée qui peut souffrir d'etre peu connue, mais capable d'apporter des avantages bien appréciables.
Allez-vous la présenter immédiatement dans une opération « coup de poing », ou préparerez-vous votre public à absorber la nouvelle, en prenant bien le temps de laisser filtrer et d'essayer de la faire germer dans ces esprits que vous voulez conquérir ? Si l'idée est plutôt complexe, implique un grand changement, la seconde approche pourrait être la meilleure. Êtes-vous d'accord?
dimanche, avril 19, 2009
La bonne façon de gérer le courriel
À chaque fois que mon ordinateur meurt subitement, je fais en sorte que tous mes fichiers soient sauvegardés ou soient facilement récupérables. Cela me permet de les ré-installer sans trop de problèmes sur une nouvelle machine. C'est une procédure avec laquelle je suis assez bien à l'aise et le seul domaine où je continue à avoir des tas de difficultés reste la messagerie électronique, dans mon cas bien précis, le logiciel Microsoft Outlook. Après avoir perdu mes données à chaque fois que j'ai du changer d'ordi, j'ai décidé de mettre fin à cette "relation dysfonctionnelle» et de consolider toute ma messagerie dans un service « web. ». Cela n'a pas été facile de trier et réorganiser toutes mes données à l'intérieur de cette nouvelle « maison, » mais après avoir accomplit ce travail de titan je me sens très soulagé et prêt a repartir à fond. Un bon conseil, si vous utilisez Outlook méfiez-vous de ses méchants pièges !
samedi, avril 18, 2009
Une récession déprimante ...
... pourrait-elle se transformer en profonde dépression ? C'est tout à fait possible. Les gens ont peur, ils ont cessé de consommer et ils n'ont jamais été aussi démoralisés en tant d'années. La situation actuelle est un bon exemple qui montre bien que nous sommes soudainement devenus nos pires ennemis. Ce qu'il nous faut maintenant, c'est une inspiration crédible et capable de remonter tous ces morals en berne. Obama peut-il le faire? Probablement pas, car son capital politique ne peut pas lui permettre de se lancer dans une dérive de promesses impossibles à tenir. Ce qu'il nous faut, c'est une initiative créatrice capable de transformer toute cette masse d'énergie négative et d'inertie en une serie d'actions positives menant à un changement de société à la fois dynamique et tonique. Quelqu'un a t-il eu une une idée ?
vendredi, avril 17, 2009
Comparaison : The Canyons et Park City
Aujourd'hui, j'ai skié une journée entière dans mon coin préferré de Park City, à savoir Jupiter. Bien que le temps ait été couvert et brumeux et pas idéal à cause d'une assez mauvaise visibilité, la neige fraîche, bien qu'un peu lourde, était assez exceptionnelle pour avril. J'ai skié suffisamment pour bien redécouvrir mon lieu de prédilection précédent; en fait, le secteur de Jupiter est tout à fait comparable à celui de 9990 aux Canyons et, comparant les deux sites, Jupiter conserve l'avantage d'une plus grande variété de terrain alors que les Canyons offrent des pistes beaucoup plus longues, un télésiège bien plus rapide et un éventail d'options hors-piste supérieur et facilement accessible au terme d'une marche assez courte. Les Canyons ont donc dominés la comparaison et c'est là une raison supplémentaire pour relier nos deux massifs !
jeudi, avril 16, 2009
Fini de souffrir ...
Pendant ces huit derniers mois, j'ai ressenti un point de pression assez mystérieux à la poitrine, tout près de mon cœur ; après m'être fait scanné en long et en large, mon médecin n'arrivait pas à comprendre ce qui pouvait causer cette douleur. J'ai ressentais cette pression très tôt le matin, celle-ci persistait jusque dans le milieu de l'après-midi, et cela quotidiennement sans jamais prendre une seule journée de congé au point que cette souffrance avait fini par devenir une habitude. Au moment où j'étais prêt à retourner chez le médecin il y a tout juste une semaine, la douleur disparaissait exactement comme elle était venue, brusquement, soudainement, sans avertissement et sans la moindre atténuation. Mes tentatives de changer ma position au lit n'avaient eu aucune influence positive et la seule explication plausible est que le maître vaudou qui me piquait sur la poitrine en a eu assez de moi et a réalisé que j'étais trop malin pour lui et que tout cela n'était plus marrant du tout. C'est tout au moins mon diagnostic …
mercredi, avril 15, 2009
Problèmes liés aux excès
Comme beaucoup, je maintiens plusieurs adresses e-mail ; je trouve cela très pratique et les fais toutes suivre sur mon compte principal. Le problème est qu'avec tant de comptes, je ne fais pas un très bon travail de suivi pour chaque adresse. A la suite du récent « décès » de mon ordinateur, je me suis mis à ré-organiser l'ensemble de mes fichiers et je suis en train de reconsidérer la façon dont je gère l'ensemble de ma messagerie.
Ainsi, lorsque mon nouvel ordinateur arrivera en bout de course, je n'aurai pas à paniquer lorsqu'il faudra transférer toutes mes adresses et retrouver mes archives. En examinant de près chacun mes comptes, j'ai trouvé que quelques messages électroniques qui m'étaient adressés étaient regroupés dans le dossier « spam. » J'ai depuis résolu le problème et récupéré tous ces messages manqués, mais la leçon que j'ai tiré de tout ça, est qu'avoir des comptes multiples demande une gestion beaucoup plus attentive...
Ainsi, lorsque mon nouvel ordinateur arrivera en bout de course, je n'aurai pas à paniquer lorsqu'il faudra transférer toutes mes adresses et retrouver mes archives. En examinant de près chacun mes comptes, j'ai trouvé que quelques messages électroniques qui m'étaient adressés étaient regroupés dans le dossier « spam. » J'ai depuis résolu le problème et récupéré tous ces messages manqués, mais la leçon que j'ai tiré de tout ça, est qu'avoir des comptes multiples demande une gestion beaucoup plus attentive...
mardi, avril 14, 2009
Travail d'équipe
La nuit dernière réunissait notre groupe de « Park City Vision » au sein duquel je me suis récemment engagé. Il s'agit d'une équipe de bénévoles dont le travail consiste à prendre des photos et à créer des images qui représentent les différents aspects de notre communauté, incluant des éléments que nous chérissons, d'autres qui nous répugnent ainsi que tous ceux que nous souhaiterions avoir. Ce véritable jeu de puzzle culminera par une présentation faite auprès de toute notre communauté. Celle-ci devrait brosser un tableau de l'aspect que nous voulons que notre très chère ville prenne dans le futur. Nous avons tous beaucoup travaille au cours d'une soirée dans laquelle nous avons discuté et visionne plus de 500 photos. Tout s'est parfaitement bien déroulé, les différents participants travaillant ensemble de façon très ouverte et dans une excellente ambiance, chacun apportant sa meilleure perspective dans le processus. Même si cette séance de travail devait durer trois heures et demie, elle s'est effectuée très efficacement, tout a avancé bien rapidement, dans le respect de chacun tout en laissant suffisamment de place à l'humour et à la bonne humeur tout au cours de la soirée. Nous avons encore un tas de pain sur la planche et d'avantage de travail nous attend ce week-end ...
Libellés :
développement personnel,
societé
lundi, avril 13, 2009
Mort d'un ordi (troisième partie)
Il y a un tas d'informations que je jugeais indispensable et qui est enfermée à tout jamais dans mon vieil ordinateur. C'est fini; je ne verrai plus jamais ça et tout cela sera assez vite oublié, parce que le futur prouvera que je n'en avais pas tellement besoin. Je suis maintenant en train de tourner la page et, ce faisant, de découvrir de nouvelles façons d'accomplir certaines des tâches que j'avais toujours fait sans trop y penser. Après ces deux jours de travail assez dingues, j'en connais maintenant d'avantage sur mon nouvel ordinateur et je me sens désormais beaucoup mieux. En fait, je commence à apprécier la nouveauté et de la personnalité de mon nouveau compagnon électronique. Je ne me sens pas encore totalement ressuscité, mais j'ai désormais beaucoup d'espoir !
dimanche, avril 12, 2009
Mort d'un ordi (deuxième partie)
Ce matin, avant d'aller skier, je décidais de déballer mon nouveau « bébé ». L'odeur du neuf n'était pas sans me déplaire, et bien qu'à mon désarroi ce nouvel ordinateur était équipé de « Vista » au lieu du bon vieux système « XP », qui me dit-on est rempli de problèmes, là encore, je ne m'était pas donné beaucoup de choix ... Le plus gros problème avec un nouvel ordinateur équipé d'un nouveau système est exactement comme de commencer une nouvelle vie ou une nouvelle relation. Il faut changer toutes ces vieilles habitudes auxquelles on s'accroche, il faut apprendre quelque chose de nouveau, renoncer aux vieilles procédures - en un mot, subir une métamorphose assez déplaisante. En fait, ce genre d'incident vous fait réaliser que ce n'est pas seulement la disparition de votre ancien et fidèle assistant administratif qui vous afflige, mais c'est un peu comme s'il s'agissait de la mort d'une partie de vous-même. C'est là qu'on tente de recharger certains programmes qui pourrait paraître futile à beaucoup mais sont si importants pour soi - un signe certain que l'on s'accroche solidement au passé - et que l'on réalise enfin qu'ils sont devenus obsolètes ... Moi qui me fait le chantre de la « ré-invention personnelle,» confronté à cette dernière, je ne sais que la détester. Le changement reste un exercice bien cruel dont personne ne veut vraiment !
samedi, avril 11, 2009
Mort d'un ordi
Ce matin, alors que je tapais furieusement, sur mon ordinateur Dell âge de trois ans, celui-ci est mort sous mes propres main sans même m'avertir à l'avance ce qui m'aurait permit d'effectuer une sauvegarde de dernière minute, afin de pouvoir mettre de cote tous mes fichiers. Tout comme pour les humains, la mort d'un ordi intervient généralement sans prévenir et nous surprend toujours désagréablement. Le pire était que j'avais terriblement besoin de mon outil de travail pour modifier une grande série d'images que je devais préparer pour ce lundi matin. Face à un tel délai, il me fallait une machine de remplacement le plus rapidement possible. Je sautais dans la voiture, descendais à Salt Lake City, trouvais un nouvel ordinateur et payait un supplément faire transférer toutes mes données ce même jour, puis demain était le jour de Pâques et que tout serait fermé. Pas la meilleure façon d'acheter un nouvel outil, pas beaucoup de comparaison entre mes différentes options, mais que faire d'autre quand la résurrection à tout prix est la seule issue !
vendredi, avril 10, 2009
Promouvoir une idée
Il y a deux jours, je discutais l'aspect pratique du lancement réussit d'un concept ou d'une idée. Il existe d’abord la méthode directe qui consiste à charger comme un taureau et foncer dans le vif du sujet, sans trop de préparation ni de stratégie ; cette approche n'est jamais à même de produire des résultats bien positifs. D'un autre coté, il existe une manière de « planter une petite graine » dans l'espoir que celle-ci se développera, germera et se propagera assez vite dans son environnement à la grande surprise de tous.
C'est un processus qui m’attire beaucoup, que j’ai l’intention de mieux comprendre et développer à chaque fois qu’il s’avère opportun d'apporter de bonnes idées nouvelles, encore mal connues, que chacun peut utiliser et profiter. Quand tout est prêt pour introduire ce genre de concept, au lieu de me précipiter sur la tâche en passant sporadiquement d’un élément à un autre, j'ai l'intention de commencer par étudier le sujet en question, bien m'informer sur son environnement, et de là, développer une liste de stratégies appropriées avant d’en choisir une qui aura les meilleures chances d'aboutir. Je trouve ça tout à fait passionnant et compte vous en dire plus dès que le projet prendra forme ...
C'est un processus qui m’attire beaucoup, que j’ai l’intention de mieux comprendre et développer à chaque fois qu’il s’avère opportun d'apporter de bonnes idées nouvelles, encore mal connues, que chacun peut utiliser et profiter. Quand tout est prêt pour introduire ce genre de concept, au lieu de me précipiter sur la tâche en passant sporadiquement d’un élément à un autre, j'ai l'intention de commencer par étudier le sujet en question, bien m'informer sur son environnement, et de là, développer une liste de stratégies appropriées avant d’en choisir une qui aura les meilleures chances d'aboutir. Je trouve ça tout à fait passionnant et compte vous en dire plus dès que le projet prendra forme ...
jeudi, avril 09, 2009
L'éloge de la flexibilité ...
Il est beaucoup plus facile d’être obstine et de ne jamais changer de cap, plutôt que d'être flexible, souple et capable de naviguer au gré d’un courant changeant. Cette approche nécessite plus de travail mais est aussi beaucoup plus exaltante. Cela signifie que chaque jour est différent, que chaque erreur est une autre leçon apprise et que chaque obstacle est un défi qui doit être surmonté. Appelez cela adaptation si vous préférez, mais cette façon d'accepter une réalité en constante évolution est une merveilleuse occasion de se dépasser qui apporte au fil du temps un acquis d’une valeur inestimable ...
mercredi, avril 08, 2009
La différence entre idées et action
Hier, une amie qui connaît mon intérêt pour les questions économiques m'envoyait de l’information sur un livre intitulé "20 propositions pour réformer le capitalisme." Au fil des années, des tas de livres sont apparus avec des noms similaires comme « 7 ceci ou 12 cela... » À chaque fois, la couverture ne manque jamais d’attirer le regard avec un chiffre bien rond ou assez suggestif ; certaines des idées exposées peuvent être fantastiques, mais pas toujours toutes les 12 énumérées en couverture ...
Le gros problème est qu’entre les idées et l'exécution il existe un gouffre qui demande beaucoup de bonnes stratégies et une forte détermination pour réussir à les amener à terme. En fait, il est peut-être préférable d'être pointilleux, de sélectionner l'idée la plus puissante (sur les 12 qui peuvent être listées) et développer une bonne stratégie avant de se lancer dans la bataille. Tant d'inertie, d’ignorance et d'obstructionnisme font de cette entreprise un travail de super-héro. Certaines initiatives ont marché merveilleusement bien, comme les programmes anti-tabac, d'autres sont en progrès comme l'égalité des droits des homosexuels, mais beaucoup trop d’idées louables restent encore étrangères aux gouvernements tout comme aux masses populaires.
Dans cet esprit, il convient de mettre en place un effort parfaitement bien orchestré pour permettre à cette petite idée de prendre racine à l'intérieur des esprits. Parfois, la chance ou le fait de se trouver tout simplement « au bon endroit, au bon moment » fait toute la différence. Oui, le changement est toujours le fruit d’une exécution parfaite et bien planifiée. Bonne chance donc et bonne persévérance à tous ceux d’entre-nous qui voulons changer le monde !
Le gros problème est qu’entre les idées et l'exécution il existe un gouffre qui demande beaucoup de bonnes stratégies et une forte détermination pour réussir à les amener à terme. En fait, il est peut-être préférable d'être pointilleux, de sélectionner l'idée la plus puissante (sur les 12 qui peuvent être listées) et développer une bonne stratégie avant de se lancer dans la bataille. Tant d'inertie, d’ignorance et d'obstructionnisme font de cette entreprise un travail de super-héro. Certaines initiatives ont marché merveilleusement bien, comme les programmes anti-tabac, d'autres sont en progrès comme l'égalité des droits des homosexuels, mais beaucoup trop d’idées louables restent encore étrangères aux gouvernements tout comme aux masses populaires.
Dans cet esprit, il convient de mettre en place un effort parfaitement bien orchestré pour permettre à cette petite idée de prendre racine à l'intérieur des esprits. Parfois, la chance ou le fait de se trouver tout simplement « au bon endroit, au bon moment » fait toute la différence. Oui, le changement est toujours le fruit d’une exécution parfaite et bien planifiée. Bonne chance donc et bonne persévérance à tous ceux d’entre-nous qui voulons changer le monde !
mardi, avril 07, 2009
Rossignol, comme General Motors ?
Au cours des dernières semaines, le groupe Rossignol a dévoilé son grand plan de restructuration et a annoncé le licenciement de 30% de ses effectifs, soient 450 personnes dont 275 d'entre elle en France. La production de skis du groupe passera de 800.000 à 650.000 paires, après que quelques 290.000 paires sont restées invendues cet hiver. Le groupe Rossignol, qui comprend aussi Dynastar, Look et Lange, a ainsi perdu 58 millions d'euros sur un chiffre d'affaires de 270 millions en 2008.
Selon Bruno Cercley, son président, le groupe espère ramener ses comptes à l'équilibre dans les deux ans, et ce sans fermer aucun de ses sites de production en France, Espagne ou Italie, en recherchant au contraire de tabler sur les points forts de ceux-ci. Tout comme pour General Motors, ces mesures représentent une intervention qui « n’est pas assez forte et qui intervient trop tard. » pour la marque au coq tricolore. Avec des gestionnaires qui semblent incapable de prendre des décisions courageuses, comme la consolidation de la fabrication des skis, la réduction du nombre de modèles, le changement de sa philosophie commerciale et l’adoption d’une politique adaptée à la période dans laquelle nous vivons, ceci risque de se révéler un médicament tout à fait inefficace.
Si la grande direction en Isère fait aussi bien que sa filiale américaine à son siège de Park City aux États-Unis, leur manque d'agressivité, d'imagination et de dynamisme commercial ne fait plus partie de la de l'ADN de la société. Pour les détaillants et les consommateurs, il n’y plus rien d’assez excitant ou de radicalement différent pour stimuler l’intérêt et rallier les troupes. Dommage ...
Selon Bruno Cercley, son président, le groupe espère ramener ses comptes à l'équilibre dans les deux ans, et ce sans fermer aucun de ses sites de production en France, Espagne ou Italie, en recherchant au contraire de tabler sur les points forts de ceux-ci. Tout comme pour General Motors, ces mesures représentent une intervention qui « n’est pas assez forte et qui intervient trop tard. » pour la marque au coq tricolore. Avec des gestionnaires qui semblent incapable de prendre des décisions courageuses, comme la consolidation de la fabrication des skis, la réduction du nombre de modèles, le changement de sa philosophie commerciale et l’adoption d’une politique adaptée à la période dans laquelle nous vivons, ceci risque de se révéler un médicament tout à fait inefficace.
Si la grande direction en Isère fait aussi bien que sa filiale américaine à son siège de Park City aux États-Unis, leur manque d'agressivité, d'imagination et de dynamisme commercial ne fait plus partie de la de l'ADN de la société. Pour les détaillants et les consommateurs, il n’y plus rien d’assez excitant ou de radicalement différent pour stimuler l’intérêt et rallier les troupes. Dommage ...
lundi, avril 06, 2009
Place Jean Vuarnet, Avoriaz
Samedi dernier près de 300 personnes assistaient à la cérémonie au cours de laquelle l’aire d’arrivée du téléphérique d’Avoriaz recevait le nom de Jean Vuarnet, celui qui avait remporté la descente olympique de Squaw Valley en 1960. Vuarnet, qui partage son temps de retraité entre le Québec et Morzine, été accompagné pour la circonstance d'un grand nombre d'anciens champions et de personnalités associées à tous ses succès. Après avoir remporté sa médaille d'or, Vuarnet avait su capitaliser sur son titre en lançant la fameuse ligne de lunettes de soleil portant son nom et avait non seulement eu la vision de la station d’Avoriaz, mais aussi contribué à faire des Portes du Soleil une réalité en reliant 8 stations françaises et 4 stations suisses voisines « skis aux pieds. »
Pour ses deux dernières réalisations, rien ne fut facile pour le descendeur, co-crédité avec Georges Joubert pour avoir inventé la « position de l’œuf ; » en effet, il y eut beaucoup d'obstructionnisme, de jalousie et de mesquinerie de la part de la population locale, mettant ainsi les bâtons dans les roues du projet et s’opposant à cette vision. En tout cas, les résultats sont là, incontestables et magnifiques. Jean, tu peux être très fier de toi ; toutes nos félicitations !
Pour ses deux dernières réalisations, rien ne fut facile pour le descendeur, co-crédité avec Georges Joubert pour avoir inventé la « position de l’œuf ; » en effet, il y eut beaucoup d'obstructionnisme, de jalousie et de mesquinerie de la part de la population locale, mettant ainsi les bâtons dans les roues du projet et s’opposant à cette vision. En tout cas, les résultats sont là, incontestables et magnifiques. Jean, tu peux être très fier de toi ; toutes nos félicitations !
dimanche, avril 05, 2009
Le mystère des skieurs disparus enfin résolu
Cet hiver a vu beaucoup moins d’hivernant sur les pistes de Park City que par le passé. Jusqu’alors nous avions attribue cette baisse de fréquentation à la situation financière actuelle ; en fait, nous venons d'apprendre que les raisons sont toutes à fait différente et qu'il s’agit là d'un phénomène inexplicable qui avale les gens se trouvant sur la neige avant de les entraîner dans le sous-sol.
Pendant des années et avant de devenir une station de ski, Park City était une ville minière ou avaient été extraites des quantités impressionnantes de minerai d’argent, à tel point que nos montagnes environnantes sont criblées de tunnels et de puits d'accès tout comme un morceau de gruyère.
La vérité devait se dévoiler au cours de la dernière semaine, lorsque Bruce Rogers un, skieur de Sun Valley, Idaho, évoluait sur les pistes de la station de Deer Valley en compagnie d’une amie. Il skiait l’épaisse couche de poudreuse dans une partie boisée, lorsqu’il décida de s’arrêter pour souffler un peu.
C’est là qu’il fut saisit d’une bien étrange sensation ; la neige s’est mise à se dérober sous ses skis et il s’est soudainement sentit happé par le sol, comme s’il s’était agit de sables mouvants. Monsieur Rogers s’était arrêté en plein sur l’emplacement de l'entrée d’un tunnel d’accès à une ancienne mine dont personne ne soupçonnait l'existence.
Alors que sa compagne l’aidait a ressortir indemne de sa situation bien scabreuse, cet événement hors du commun constituait une preuve sans appel que l'absence de tous ces skieurs pendant la saison était d’avantage liée à ce phénomène « d’aspiration » par le sous-sol, plutôt que par la sévère récession qui nous secoue en ce moment. Cet incident, qui n'est qu’une infime portion de la partie visible de « l'iceberg » est bien entendu « mise en veilleuse » par tous les services de relations publiques de nos trois stations.
En fait, il y a probablement des milliers de skieurs coincés au fond de nos mines. Si nous ne trouvons pas un moyen de les remonter avant Novembre, nous pourrons tirer un trait sur notre prochaine saison d’hiver, tant tous ces skieurs sont nécessaires à notre survie économique. Si un de mes lecteurs peut suggérer un moyen facile et peu coûteux de nous les ramener en surface, n’hésitez pas a m’en faire part...
Pendant des années et avant de devenir une station de ski, Park City était une ville minière ou avaient été extraites des quantités impressionnantes de minerai d’argent, à tel point que nos montagnes environnantes sont criblées de tunnels et de puits d'accès tout comme un morceau de gruyère.
La vérité devait se dévoiler au cours de la dernière semaine, lorsque Bruce Rogers un, skieur de Sun Valley, Idaho, évoluait sur les pistes de la station de Deer Valley en compagnie d’une amie. Il skiait l’épaisse couche de poudreuse dans une partie boisée, lorsqu’il décida de s’arrêter pour souffler un peu.
C’est là qu’il fut saisit d’une bien étrange sensation ; la neige s’est mise à se dérober sous ses skis et il s’est soudainement sentit happé par le sol, comme s’il s’était agit de sables mouvants. Monsieur Rogers s’était arrêté en plein sur l’emplacement de l'entrée d’un tunnel d’accès à une ancienne mine dont personne ne soupçonnait l'existence.
Alors que sa compagne l’aidait a ressortir indemne de sa situation bien scabreuse, cet événement hors du commun constituait une preuve sans appel que l'absence de tous ces skieurs pendant la saison était d’avantage liée à ce phénomène « d’aspiration » par le sous-sol, plutôt que par la sévère récession qui nous secoue en ce moment. Cet incident, qui n'est qu’une infime portion de la partie visible de « l'iceberg » est bien entendu « mise en veilleuse » par tous les services de relations publiques de nos trois stations.
En fait, il y a probablement des milliers de skieurs coincés au fond de nos mines. Si nous ne trouvons pas un moyen de les remonter avant Novembre, nous pourrons tirer un trait sur notre prochaine saison d’hiver, tant tous ces skieurs sont nécessaires à notre survie économique. Si un de mes lecteurs peut suggérer un moyen facile et peu coûteux de nous les ramener en surface, n’hésitez pas a m’en faire part...
samedi, avril 04, 2009
Fin de saison en crescendo
Notre saison hivernale 2008/2009 avait commencé de manière anémique avant d’être sauvée providentiellement, le jour de Noël, par une grosse chute de neige de dernière minute. Le reste de l’hiver connaissait alors un enneigement assez décent, peut-être légèrement inférieur à la moyenne, mais assez bon tout de même. C'était jusqu'à ce que les dieux des neiges se réveillent soudainement il y a 13 jours, et se mettent a déverser avec vengeance une véritable avalanche de neige.
Nous avons skié à plusieurs reprises au cours de la semaine et, avec des températures de milieu d’hiver et un ciel couvert, le ski n'avait jamais été aussi bon de toute la saison. Des conditions alternant entre une profonde jusqu’à la taille et quelques 10 à 15 cm de neige recouvrant des pistes parfaitement préparée au petit matin, nous ont offert les meilleures conditions de l'année. Grâce à cette belle générosité de la Nature, nos trois massifs de Park City fermerons leur remontées mécaniques pour la saison dans seulement 8 jours sur une magnifique note finale et ce, malgré une toile de fond économique bien morose ...
Nous avons skié à plusieurs reprises au cours de la semaine et, avec des températures de milieu d’hiver et un ciel couvert, le ski n'avait jamais été aussi bon de toute la saison. Des conditions alternant entre une profonde jusqu’à la taille et quelques 10 à 15 cm de neige recouvrant des pistes parfaitement préparée au petit matin, nous ont offert les meilleures conditions de l'année. Grâce à cette belle générosité de la Nature, nos trois massifs de Park City fermerons leur remontées mécaniques pour la saison dans seulement 8 jours sur une magnifique note finale et ce, malgré une toile de fond économique bien morose ...
vendredi, avril 03, 2009
Le prix de l’éloignement
Hier, j'apprenais que mon grand-frère venait juste d'avoir une crise cardiaque ; bien que celle-ci fut assez faible, c’était quand même un infarctus. Il avait été hospitalisé dans l'attente d'examens destinés à définir la meilleure marche à suivre. Tout cela pour dire que lorsque surviennent ces genres d'événements, être au loin reste toujours frustrant et mets la personne éloignée dans une situation difficile pour offrir le soutien qui s’impose et accomplir une démarche plus concrète qu’un simple appel téléphonique. Alors que la vie moderne déplace les gens de par le monde et que ceux-ci deviennent beaucoup plus mobiles, ce genre de situation est susceptible de devenir la norme plus que l'exception et définira un luxe nouveau dans nos relations, à savoir, pouvoir être juste là avec un sourire et une main tendue ...
jeudi, avril 02, 2009
G20: Un résultat décevant
Comme prévu, le G20 n'a rien apporte d’extraordinaire au chevet de la finance et des économies internationales. Le montant de 1.100 milliards de dollars en aide ne représente pas grand chose par rapport à un PIB planétaire qui se monte a 70.000 milliards de dollars et pâlit en comparaison avec les deux ou trois mille milliards que les États-Unis ont déjà pompé dans un effort de sauver leur propre économie.
Ce qui pour moi est parfaitement démagogique est l'accord sur « un plafond de rémunération et de bonus pour les dirigeants de banques » qui semble être, et est sans l’ombre d’un doute, un geste symbolique pour apaiser ceux qui pensent s'être fait « plumés » par leurs propres institutions financières. Ne pas être allé de l'avant avec la création d'un organisme international de réglementation financière est manifestement le plus gros échec de cette réunion.
Cela démontre clairement que les grandes institutions financières restent autant incroyablement puissantes qu'influentes et constituent bien le « marionnettiste » qui fait valser nos politiciens américains par l'entremise des doigts habiles et bien trompeurs de notre ami Tim Geithner ...
Ce qui pour moi est parfaitement démagogique est l'accord sur « un plafond de rémunération et de bonus pour les dirigeants de banques » qui semble être, et est sans l’ombre d’un doute, un geste symbolique pour apaiser ceux qui pensent s'être fait « plumés » par leurs propres institutions financières. Ne pas être allé de l'avant avec la création d'un organisme international de réglementation financière est manifestement le plus gros échec de cette réunion.
Cela démontre clairement que les grandes institutions financières restent autant incroyablement puissantes qu'influentes et constituent bien le « marionnettiste » qui fait valser nos politiciens américains par l'entremise des doigts habiles et bien trompeurs de notre ami Tim Geithner ...
mercredi, avril 01, 2009
Temps de revoir la politique anti-drogue
Alors que les cartels de drogue Mexicains se livrent une lutte d'influence sans merci au sud de la frontière américaine, cela devrait nous rappeler l'échec abject de notre politique en matière de lutte contre la drogue et signaler qu'il est peut-être temps pour une approche totalement nouvelle à l'encontre du fléau. Tout comme l'interdiction de l'alcool au début du siècle dernier, la « guerre contre la drogue » reste un rêve qui ne sera jamais « gagné. »
J'ai longtemps été un partisan de la légalisation des drogues, de leur fiscalisation ainsi que de la réhabilitation des usagers au lieu de les jeter en prison. Cela coûterait beaucoup moins d'argent à la société et porterait enfin un coup fatal à toutes ces économies souterraines que la drogue entretient et qui sont en train de détruire le monde, de l'Afghanistan aux États-Unis.
Alors que nous souhaitons des innovations en matière de politique, un contrôle par voie de légalisation des drogues serait un moyen de remettre une grande partie de notre société dans un état de droit. Ce aussi serait un bel exemple de courage politique (un autre élément bien trop rare !) et serait susceptible de conduire à des résultats totalement différents et beaucoup plus positifs. Qu'en pensez-vous?
J'ai longtemps été un partisan de la légalisation des drogues, de leur fiscalisation ainsi que de la réhabilitation des usagers au lieu de les jeter en prison. Cela coûterait beaucoup moins d'argent à la société et porterait enfin un coup fatal à toutes ces économies souterraines que la drogue entretient et qui sont en train de détruire le monde, de l'Afghanistan aux États-Unis.
Alors que nous souhaitons des innovations en matière de politique, un contrôle par voie de légalisation des drogues serait un moyen de remettre une grande partie de notre société dans un état de droit. Ce aussi serait un bel exemple de courage politique (un autre élément bien trop rare !) et serait susceptible de conduire à des résultats totalement différents et beaucoup plus positifs. Qu'en pensez-vous?
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