J'avais raison, Olivier était bien un compatriote qui vivait en ville depuis 5 ans après son arrivée à San Francisco il y a une vingtaine d'années. Je lui ai suggéré de skier avec moi sur Thaynes et dès le jeune homme est allé à fond la caisse, ce qui m'a obligé à le suivre.
En me voyant à ses cotés, il a accéléré, mais n'a quand meme pas pu me suivre jusqu'en bas. Nous avons fait une autre piste et il a dit: « Allons doucement, cette fois-ci ». J'ai acquiescé, mais il est repartit comme un boulet de canon et j'ai dû le battre une seconde fois.Quand nous sommes remontés pour la troisième fois, il a dit qu'il devait partir chercher son fils à l'école. Dommage, on ne dit jamais deux sans trois !
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