Il y a quelques jours, j'appelais un de mes amis en France à qui je n'avais pas parlé depuis longtemps. Alors que nous prenions de nos nouvelles, il m'a dit que son fils était, encore une fois, sans emploi. Pas une bonne nouvelle.
Son fils, qui a maintenant une quarantaine d'années, avait été formé dans la marine marchande, où la plupart des emplois, en France comme partout ailleurs dans le monde du reste, sont maintenant occupés par des citoyens de pays en voie développement prêts à accepter des salaires très bas. Pour se sortir momentanément de son chômage, il avait prit un travail d’enseignant dont le contrat était en train de se terminer.
Après cela, nous avons continué à bavarder de tout et de rien jusqu'à la fin de notre conversation. En raccrochant, je me suis dit: « Que vais-je faire de cet échange ? Je le laisse tomber dans les oubliettes comme c'est le cas avec tant d'entretiens ? En particulier, que pourrais-je faire pour aider le fils de mon ami ? »
C'est là que j'ai compris qu’écouter avec compassion est une chose, mais cela ne change rien si ce n'est pas suivit d'une réflexion et pourquoi pas de solutions. Jusque là, je n'avais jamais bien saisis cette idée, mais c'est tellement vrai. Je me suis donc décidé sur le champ de formuler des idées vagues axées sur une idée en particulier.
J'ai fait une recherche plus poussée et j'ai rapidement trouvé une piste très originale et ciblée qui, espérons-le, permettra de trouver un emploi à ce jeune homme. Nous verrons, et j'espère que cela débouchera sur quelque chose de positif.
Bon, toute cette histoire tout simplement pour dire que lorsque nous entendons les misères des autres, nous devons toujours chercher un moyen de les soulager. Nous sous-estimons trop souvent nos moyens et notre créativité pour dénicher idées et solutions ...
mardi, novembre 20, 2018
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