Si Trump et son équipe voulaient bien oublier Hillary pour un soir, ils pourraient se tourner vers le besoin criant d'améliorer le ski aux États-Unis.
Cela serai beaucoup plus amusant que d'essayer de parler de la sécurité, du travail, de la proéminence américaine et de sa grandeur.
Républicains, indépendants, libertaires, verts et démocrates veulent tous une poudreuse légère et profonde. Tous feraient n'importe quoi pour avoir des début de saison très précoces et un forfait universel.
Donald n'aurait qu'à intervenir en Europe pour y fermer toutes les stations de ski, forcer ensuite Chinois et Japonais à venir skier chez nous, dans les Rocheuses, et rapatrier ainsi une partie de leur excédent commercial.
Bien entendu la construction du mur irait toujours de l'avant, mais celui-ci serait beaucoup plus grand et bien assez haut pour qu'il soit recouvert de neige naturelle, il atteindrait son point culminant à la frontière, serait incliné vers le Nord depuis le Mexique et vers les États-Unis. On pourrait toujours le louer aux Canadiens et continuer de facturer les Mexicains pour sa construction !
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