Hier, j'ai pris le temps de bien suivre le discours du président Obama. Alors que j'aurais aimé qu'il soit un peu plus spécifique en ce qui concerne Bahreïn et l'Arabie saoudite, en les plaçant dans le camp des « méchants, » je l'ai surtout entendu enfin préciser la position de son administration sur un retour aux frontières israélo-palestiniennes d'avant1967, comme base de départ pour un accord de paix.
Comme on pouvait s'y attendre, le gouvernement israélien rejette cette condition et ela ne manquera pas de faire perdurer l'impasse dans lequel s'enlise ce conflit, qui n'est pas prêt d’être réglé de si tôt et restera encore en gestation probablement pendant bien longtemps. Ceci conforte mon opinion qu'au bout du compte, cette bataille ne pourra guère être résolue que sous la forme d'une solution à un État unique ...
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