samedi, octobre 23, 2010

Sommes-nous ce que nous conduisons?

Hier, mon bon ami Bill Bocquet n'a pas pu cacher sa surprise quand il a lu mon blog quotidien, et m'a dit haut et fort qu'il ne m'aurait jamais imaginé au volant d'une Lamborghini. Il me voyait d'avantage aux commandes d'un gros camion du type F350 ou Dodge Ram; vous le voyez le genre, le véhicule-type du bon cow-boy. Eh bien, il s'est trompé sur toute la ligne. Comme je lui ai dit en répondant à son commentaire, il ne me viendrait même plus à l'esprit de monter dans une Lamborghini, car je ne saurai jamais comment sortir d'un habitacle aussi exigu et serré ma ballade finie. J'aurais besoin qu'on m'aide pour m'extraire de cette voiture et j'aurai bien trop peur de me faire un tour de rein.

Je sais, quand j'étais adolescent, je rêvais de posséder une « Fournier Marcadier » (c'est quoi ça?) C'était à l'époque la « Lamborghini du pauvre » qu'il aurait fallu que je construise moi-même (elle était vendu en kit destiné à recevoir un petit moteur Renault R8.) Je ne l'ai jamais fait et, mon acné disparue, ce rêve s'est rapidement évaporé. Aujourd'hui, alors que je ne conduis pas l'énorme « pick-up » dont parle Bill, je conduis quelque chose que j'aime beaucoup, mais qui n'est pas tout à fait ma voiture idéale. Celle-ci est une « auto-culte » en Alaska,
au Colorado, dans l'Utah et le Vermont, elle est semi-utilitaire, mais comble parfaitement tous mes désirs (c'est ça, je n'ai pas dit « besoins. ») J'en ai possédé quelques-unes dans le passé, et quand j'y reviendrai, je vais vous dirai ce que c'est ...

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