Alors que les marchés boursiers fondent sur eux-mêmes, que le chômage n'arrive pas à se résorber et que le reste du monde est en chute libre, chacun se désespère, a bien juste titre, de voir notre économie si malade. En fait, nous sommes tous collectivement coupable de cet état de fait en acceptant de nous baigner et de rester à barboter dans un océan de négativité.
On peut commencer par l'opposition républicaine, qui n'est capable que de s'opposer à toute initiative en provenance de la Maison Blanche, sauf bien entendu quand il s'agit de rester en guerre. Ce groupe politique est à mon avis le coupable le plus notoire; ensuite il y a les médias qui ne peuvent se concentrer que sur la marée noire de BP, faisant de ce désastre un véritable évènement sportif qui pourrait s'apparenter à des « Jeux olympiques de démolition. » Enfin il y a tout le reste du cortège, à commencer par les batailles rangées entre les cartels de la drogue mexicains, la crise grecque et sa cohorte de désaccords sur la meilleure façon de faire face à l'endettement des gouvernements, jusqu'à ce cher Pape Benoît XVI qui refuse de faire face aux problèmes de pédophilie qui ravagent son Église.
Comment est-ce possible pour la plupart des gens de se sentir bien sous cet incessant bombardement négatif? Ne pourrions nous tous pas dépenser un peu plus pour relancer l'économie? Non, nous avons tous beaucoup trop peur. Il est désormais grand-temps que quelqu'un bien en vue (notre président Obama?) prenne le taureau par les cornes et contre-carre toute cette propagande destructrice en trouvant enfin un moyen créatif de nous redonner une vue des choses beaucoup plus positive dans l'intérêt vital de l'Amérique.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire