Il se pourrai bien que je sois la personne la plus optimiste de la famille. D'une manière générale, je vois le bon côté des choses dans la plupart des cas, suis très tenace et prêts à assumer plus que ma part de risque et, Dieu merci, j'ai toujours réussi à retomber sur mes pieds . Étais-je toujours comme ça? Peut-être, mais franchement, je n'en suis pas trop sûr. J'ai eu des moments de désespoir et de mécontentement, mais ceux-ci étaient sans doute justifiés. Quand je suis arrivé en Amérique, je suis me suis entiché de la théorie de « pensée positive » et celle-ci a gouverné ma vie professionnelle. Ensuite, il y avait toujours eu mon coté rêveur, imaginatif, ma soif d'aventures et de découvertes, tous nourris par une curiosité sans bornes.
Avant mon arrivée en Amérique, deux expériences ont marqué ma vie. Tout d'abord, ma mère s'inquiétait pour la moindre chose et j'ai très vite réalisé qu'une telle préoccupation constituait un terrible gaspillage de temps et de ressources. Cette habitude est bien trop stressante est aussi dévorante et dans 99% des cas, totalement injustifiée. Plus tard, quand j'étais au lycée, mon camarade de classe Mychel Blanc proclamait que tant que nos profs, surveillants et directeurs d'école ne nous avait pas exécuté par pendaison, tout allait bien. Aussi infantile que cette vue puisse paraître, cela m'a inspiré et guidé dans plus d'une situation désastreuse qu'il m'est arrivé de rencontrer.
Comme je l'indiquais plus tôt, mon courage a également été un pilier essentiel de mon optimisme, et il a fallu que je commence à collectionner quelques accidents de ski pour me calmer un peu. Toutefois, dans l'ensemble, je crois profondément aux avantages de l'optimisme, et suis si heureux de voir le bon coté des choses que j'ai l'intention de travailler à perfectionner ce trait entre aujourd'hui et le reste de ma vie!
mardi, juillet 20, 2010
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