mardi, novembre 13, 2007
Quand mauvais veut dire bon
Si vous êtes un investisseur, vous devez être prêt à affronter les hauts et les bas qui servent de toile de fond à cette activité et qui vous ferons passer successivement d’une joie extrême à une dépression sans fond. Quand le marché monte et que vos investissements suivent ou dépassent sa progression, il est très facile de conclure que – d’une certain façon – vous êtes un véritable génie. Des l’instant où cette pensée pénètre votre conscience, il est temps de vendre et de réaliser vos gains, si vous êtes en fait si bon. Cette intervention se produit rarement car nous ne sommes pas aussi malin que nous croyons. La situation inverse est en parfaite symétrie. Quand tout s’écroule et que la bourse suit le mouvement, le désespoir empoisonne tout et l’on veut simplement disparaître, hiberner pour une très longue période ou juste tout abandonner. Le paradoxe est que c’est justement au moment ou l’on touche le fond qu’il faudrait être prêt à acheter. Bien sur, cette théorie est beaucoup plus facile à exposer qu’à exécuter, et pour la mettre en oeuvre il faut d’abord écouter le premier précepte développé plus haut, celui qui consiste à vendre au bon moment, afin de lever les fonds nécessaires, quand tout va si bien et que l’on se sent SI intelligent. Très difficile en realité...
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